Accords mafieux d'impunité: Félix Tshilombo et Alias Kabila, deux roublards !
vendredi 22 février 2019, 16:58 Freddy Mulongo Lien permanent

Alias Kabila et Félix Tshilombo deux mafieux caïds qui vont vendu le Congo
A Kinshasa, les Accords mafieux d'impunité signés entre FCC-UDPS-CACH sont une sorte d'"Arlésienne", aucun média n'en parle, les thuriféraires sont dans l`encensement du caïd sortant au mafieux entrant. De la pure distraction ! Dès la connaissance des résultats de l'élection présidentielle du 30 décembre 2018, les apparatchiks et Mammouths Joséphistes qui ont compris que Martin Fayulu candidat N°4 a gagné haut la main, ont tenté de se rapprocher à lui pour négocier. Le Niet de l'équipe de Fayulu les a refroidi. C'est alors qu'ils se sont tournés vers le plus faible et malléable de tous Félix Tshilombo Monsieur 16% qui a été humilié à plusieurs reprises à sa résidence de GLM (Groupe Litho Moboti-l'histoire remonte en 1997 à l'entrée de l'Afdl. Célestin Lwanghi, alors ministre de la Justice et Garde des Sceaux avait ordonné à l'Obma nouvellement mis en place de procéder illico à la réquisition de biens présumés mal acquis. C'est en cet instant-là que tous les biens immeubles appartenant au Groupe Litho Moboti, Glm seront également épinglés.).
Monsieur 15% Félix Tshilombo Bizimungu wa Kanambe
Félix Tshilombo Tshisekedi s'est agenouillé, a rampé, a pleuré à chaudes larmes devant son "Raïs Alias Kabila" qui lui a promis le pouvoir. Impossible de tout dire ici, ce qu'a subi Félix Tshilombo avant qu'Alias Kabila se décide lui donner le pouvoir en le nommant comme pseudo-président de la République. D'ailleurs, c'est à genou qu'il a signé les accords FCC-UDPS-CACH en présence d'Alexis Tambwe Mwamba, ministre de la justice du régime d'imposture, d'occupation et de prédation d'Alias Kabila. Ce-jour là , il a même demandé à son "Raïs" de téléphoner à sa mère, Marthe Tshisekedi en pleurant pour lui signifier qu'il était Nommé ! C'est alors que son discours a viré à 800°, juste après sa proclamation par la fameuse CENI , le nouveau président a rendu un hommage à Joseph Kabila qu'il considère désormais comme un allié politique pour avoir accepté de `` quitter le pouvoir »: "Le Président Kabila est le plus grand démocrate. Il est une grande personnalité à qui il va confier la fonction d'ambassadeur pour le pays"
Félix Tshilombo Bizimungu est un pantin, guignol et valet d'Alias Kabila
Qu'est-ce que les accords FCC-UDPS-CACH ? Quel est le contenu de ces accords ? Tout le monde en parle mais personne ne sait ...C'est le journal Zambien "Zambian Observer" qui vient de le mettre sur la place publique. Le journal Zambien révèle que les accords qui ont permis la nomination de Félix Tshilombo Bizimungu wa Kanambe comme président Nommé de la République démocratique du Congo stipule que le "Raïs Alias Kabila de son vrai nom Hippolyte Kanambe Kazembere Mtwale et ses apparatchiks dinosaures Mobutistes mués en Mammouths Joséphistes ne seront jamais poursuivi poursuivi pour haute trahison, crimes de sang, crimes économiques, crimes de génocide, crimes contre l'humanité pendant les 19 ans qu'ils ont été au pouvoir. Félix Tshilombo Bizimungu wa Kanambe, garçon de course, pantin, valet d'Alias Kabila a été nommé président pour assurer la continuité de l'impunité aux assassins, criminels, mafieux et prédateurs qui écument cette classe politique toxique, corrompue, ventriote, mangecrate et mangeuse à tous les rà¢teliers. Les apparatchiks pressent Félix Tshilombo de lever les sanctions de l'Union européenne et des Etats-Unis contre eux! C'est aussi dans les accords ! C'est pourquoi l'imposteur et collabo Félix Tshilombo conditionne la réouverture de la maison Schengen à Kinshasa contre la levée des sanctions de l'Union européenne.
Félix Tshilombo Bizimungu est le garçon de course d'Alias Kabila
Massacre des Bundia ia Kongo ? Silence! Assassinat de Floribert Chebeya, Fidèle Bazana, Rossy Mukendi, Thèrès Kapangala...? Silence ! Massacre de Makobola, Mwenga ? Silence! Massacre du Kasaï avec les Bana Mura ? Silence ! Fosses communes de Maluka, Kasaï, Yumbi ? Silence! Massacres de Beni-Butembo-Lubero ? Silence ! Panama Papers ? Silence ! La guerre de 6 jours à Kisangani entre deux armées étrangères Rwandaise et Ougandaise d'occupation ? Silence ! L'entrée de l'armée Rwandaise à l'Est de la RDC avec armes, vaches et bibelots ? Silence ! Assassinat du Colonel Mammadou Ndala ? Silence ! Mort mystérieuse du Général Bahuma, Mbuza Mabe et tous les officiers congolais de la deuxième république sous Mobutu ? Silence ! Assassinat de Michael Sharp et Zaida Catalan, deux experts de l'ONU au Kasaï ? Silence ! La République démocratique du Congo est-elle un "abattoir d'êtres humains" ? Doit-elle le demeurer avec Félix Tshilombo Bizimungu wa Kanambe avec la continuité du régime d'imposture, d'occupation et de prédation qui sévit en RDC en toute impunité ?
Mépris du peuple congolais les accords FCC-UDPS-CACH stipulent que la Constitution congolaise doit être modifiée pour permettre que le président de la République démocratique du Congo soit élu au parlement par des grands électeurs et non plus par le peuple congolais. Or la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) a frauduleusement donné la majorité au FCC d'Alias Kabila. Les élections des gouverneurs et celles des sénateurs sont prévues au mois de mars 2019. Ces derniers sont élus par les députés provinciaux, donc au niveau des Assemblées provinciales. L'affaire s'est ébruitée, les députés provinciaux de Kinshasa réclament 50.000 dollars américains à chaque candidat gouverneur et sénateur !
Originaire d`Italie, la mafia est une organisation criminelle très structurée et reposant sur l`infiltration de la société civile et des institutions. Les mafias fonctionnent en partie sur le même principe que les cartels (établir un territoire, avoir le monopole des affaires, obtenir des accords avec les autres groupes mafieux…).Son système fonctionne sur un modèle économique parallèle et souterrain. Une mafia touche à toutes les formes de trafics (drogue, armes, prostitution, racket, trafic d`œ“uvres d`art, trafic d`organes…). Contrairement aux cartels, les mafias préfèrent bien souvent avoir recours à l`intimidation, au chantage ou à la corruption pour obtenir ce qu`elles souhaitent plutà´t que d`utiliser la force.
Election Louis Michel 2006: Antoine Gizenga fait alliance avec l'imposteur Alias Joseph Kabila Kanambe Kazembere Mtwale
1. C'est la mafia politique qu'il faut combattre en RDC. Alias Kabila est un grand caïd mafieux qui n'a jamais respecté sa parole ! Lors des élections Louis Michel 2006, avec les doutes sur sa nationalité congolaise, Alias Kabila a trouvé le moyen de s'allier à Antoine Gizenga, arrivé troisième de l'élection présidentielle, mais aussi et surtout monument vivant à l'époque, car étant l'un des derniers pères de l'indépendance. Leader dans le Bandundu à l'ouest du pays avec son Parti lumbiste unifié (Palu), ce dernier a permis à Alias Kabila de contrer efficacement son grand rival, Jean-Pierre Bemba, lors du deuxième tour de l'élection. Avec la contribution de Modeste Mutinga Mutuishayi, président de la Haute Autorité des Médias (HAM) qui musela des journalistes, médias et opposants. Le roublard et fourbe annula le débat démocratique qui devait opposer Jean-Pierre Bemba à Alias Kabila ! Grà¢ce à Antoine Gizenga, Alias Kabila va gagner ainsi le pari de la légitimité...l'imposteur cachera son imposture en devenant un président élu frauduleusement par les urnes par Malu Malu, abbé tricheur et président de la Commission Électorale Indépendante (CEI). En 2006 pour qu'Antoine Gizenga lui donne la légitimité qu'il n'a pas Alias Kabila avait promis au patriarche Gizenga qu'il serait son dauphin lors de son deuxième mandat constitutionnel, chose qui ne s'est jamais réalisée, et qui a poussé un des fidèles d'Antoine Gizenga, en l'occurrence d'Adolph Muzito, ancien Premier ministre de Kabila, à claquer la porte de la mouvance présidentielle pour rejoindre l'opposition.
Etienne Tshisekedi s'est autoproclamé président de la RDC après avoir rejeté la victoire d'Alias Kabila
2. N'ayant pas pris part à ce premier rendez-vous de l'élection Louis Michel 2006, Étienne Tshisekedi fait un retour triomphal au pays pour se préparer aux élections de 2011. Lucide et surtout conscient du poids politique d' Etienne Tshisekedi, l'imposteur et usurpateur Alias Kabila va à cet effet multiplier les stratagèmes jusqu'à changer les règles de jeu en pleine compétition, à l'instar de la révision des quelques dispositions constitutionnelles concernant l'élection présidentielle. Alors à deux tours, elle sera à un seul tour, ce en vue d'éviter le scénario de 2006. Il se voit une fois de plus être proclamé vainqueur par le sur fond de vives contestations du fait d'irrégularités qui ont émaillé le processus, mais aussi de la mort de milliers de civils tués dans la répression. Etienne Tshisekedi, qui a rejeté la réélection d'Alias Kabila à la présidentielle et s'est autoproclamé président "élu" de la République démocratique du Congo, a prêté serment vendredi 23 décembre 2011, dans le jardin de sa maison située dans la commune de Limeté à Kinshasa, après avoir été empêché par la police de le faire au stade des Martyrs enceinte de 80.000 places comme il le souhaitait. Etienne Tshisekedi a prêté serment en présence de plusieurs dizaines de ses partisans et de responsables politiques de l'opposition. Avant la prestation, son directeur de cabinet, Albert Moleka, a lu une déclaration affirmant qu'"aujourd'hui marque d'une empreinte indélébile l'histoire de notre pays, qui est passé du régime dictatorial transitant, par celui oligarchique, animé par Kabila et sa suite, à celui réellement démocratique, où le peuple congolais s'est choisi un président de la République par la voie des urnes". Etienne Tshisekedi a ensuite prêté serment chemise blanche, costume et cravate sombre et portant son éternelle casquette, la main droite levée et la gauche sur une bible. Un tapis rouge avait été déroulé jusqu'à l'endroit il se tenait debout. "Je jure solennellement de respecter la Constitution et les lois de la République et de défendre son unité nationale et l'intégrité de son territoire" (...) "Ce jour du 23 décembre 2011 représente pour le peuple congolais l'aboutissement de 30 ans de lutte pour la démocratie et l'Etat de droit" (...)"Votre confiance ne sera pas déçue. Nous allons construire un pays, notre pays, plus beau qu'avant", avait-t-il promis avant d'annoncer la publication dans les prochains jours d'un "programme de gouvernement" qui n'a jamais vu le jour !
Les Évêques de la CENCO impliqués pour l'accord de la Saint-Sylvestre
3. La Constitution congolaise du 5 février 2006 consacre un mandat de cinq ans renouvelable une seule fois. Voilà Alias Kabila en plein dans son deuxième mandat constitutionnel usurpé. Après plusieurs tentatives de modification constitutionnelle, l'imposteur va tenter au début de l'année 2015 de conditionner les élections de décembre 2016 à l'identification nationale sachant que cette opération prendra plus ou moins trois ans. Là , les choses se compliquent car il a dà» affronter la résistance de la population et de la diaspora congolaise trois jours durant avec plusieurs morts au bout. Conséquence : la dissolution de l'Onup, structure devant assurer l'enregistrement ou l'identification de tout citoyen congolais avant l'organisation des élections. La ligne rouge tracée en 2016. Des appels à la manifestation pacifique sous la houlette d'Étienne Tshisekedi s'accentuent en vue d'exiger le respect de l'ordre constitutionnel. Alias Kabila contraint de trouver une piste pour se maintenir au pouvoir va miser sur les évêques catholiques à l'issue d'un dialogue `` jugé non-inclusif » à la Cité de l'Union africaine de Kinshasa, dialogue conduit par l'ancien Premier ministre togolais, Edem Kodjo, et boycotté par une grande partie de l'opposition. La Cenco se verra alors confiée l'ultime mission d'initier un nouveau dialogue plus inclusif. Face à la Cenco, l'opposant emblématique et radical Étienne Tshisekedi à la tête d'une large coalition de l'opposition politique (Le Rassemblement) avec le très actif Moise Katumbi. Dans un tel contexte, les chances de Kabila de se maintenir sont faibles, très faibles mais l'Église catholique, très écoutée, réussit finalement à faire fléchir ces opposants radicaux et dans la nuit de la Saint-Sylvestre 2016, un `` pré-accord » va être signé qui prévoit un `` arrangement particulier ».

Martin Fayulu, président élu du peuple congolais
Les élections sont fixées à décembre 2017, soit une année de report, la primature devra revenir à l'opposition et Joseph Kabila ne devra pas briguer un troisième mandat présidentiel. Le tournant de la mort d'Étienne Tshisekedi Hélas, deux mois après la signature dudit accord, Étienne Tshisekedi meurt. Alias Kabila en profite et édulcore l'esprit et la lettre de l'arrangement particulier qui attribuait à l'opposition le droit de nommer le Premier ministre. Et voilà Alias Kabila qui exige que l'opposition lui fournisse une panoplie de noms d'opposants pour le poste de Premier ministre, une façon pour lui de nommer un Premier ministre de son choix. En avril, Bruno Tshibala un des fidèles de Tshisekedi est nommé Premier ministre après une scission de l'opposition mettant ainsi fin à la médiation des évêques catholiques. Victimes à leur tour de la fourberie d'Alias Kabila, les évêques qualifient alors la nomination de Tshibala d'`` entorse à l'accord ». Diviser pour mieux régner… Conséquence sur le terrain : les partis et coalitions de l'opposition se scindent en plusieurs groupes et des responsables de l'opposition font une transhumance vers le pouvoir. Résultat : Alias Kabila, revigoré, obtient un glissement de deux ans en toute quiétude. Les élections seront ainsi renvoyées en décembre 2018. Des suspicions sur un troisième mandat anticonstitutionnel refont surface et après avoir laissé planer le doute sur sa volonté de briguer un nouveau mandat, Alias Kabila renonce et sort de sa poche dé le 8 aoà»t 2018 son ex-ministre de l'Intérieur et secrétaire permanent du PPRD au pouvoir, Emmanuel Ramzani Shadary, qu'il désigne comme le candidat de son camp au présidentiel !
Qui peut croire à la fourberie d'Alias Kabila ! Qui croit à Monsieur 16 % Félix Tshilombo Bizimungu wa Kanambe, imposteur, usurpateur, collabo, Traître...? Alias Kabila et Félix Tshilombo sont deux mafieux !