Diaspora: Les 26 Lauréats du Prix d'excellence et constance patriotique sur la RDC !
dimanche 31 janvier 2021, 01:19 Freddy Mulongo Lien permanent
Diaspora: Les 26 Lauréats du Prix d'excellence et constance patriotique sur la RDC !
Freddy Mulongo Mukena, Réveil FM International
Beaucoup d'appelés, mais peu d'élus ! Deux critères sur plusieurs d'autres ont prévalu: la constance et durée dans l'engagement au sein de la diaspora congolaise. Les versatiles, farfelus et saugrenus ont été éjectés de la liste initiale. 26 lauréats méritent ce prix d'excellence pour la constance patriotique sur la RDC: Honoré Ngbanda, Djamba Yohé, Robert Mbelo, Charles Onana, Berry Muekatone...

Ils sont 26 personnalités qui se sont distinguées dans la diaspora congolaise pour la constance de leur engagement. Les versatiles et farfelus se sont dégagés par eux-mêmes. Les travailleurs de la 26 heures ne peuvent récolter comme ceux de la première heure. La versatilité de certains de nos compatriotes étonne plus d'un. De Kabila dégage à Tshilombo Moyibi Ya Muana Mboka, plusieurs sont tombés dans le panneau. Certains par tribalisme exacerbé, d'autres par lassitude. Les activistes engagés de circonstance se sont vite essoufflés. Essorés par la dureté de la lutte pour des valeurs et convictions, les aplaventristes se sont étalés. La Nomination électorale de Tshilombo, Monsieur 15%, par Alias Kabila, après un odieux deal contre le peuple congolais, a mis à nu des infiltrés, des sans convictions, des girouettes et profito-situationnistes qui écumaient la diaspora congolaise. La souveraineté du peuple congolais est au dessus de toutes les légalités. Alias Kabila et son masque, Tshilombo se joue et se moque éperdument du peuple congolais. La théâtralisation de la vie politique congolaise à Kinshasa, est triste et honteux. L'amour de patrie ne se décrète pas. Le patriotisme ne s'achète pas. Des fanatiques extrémistes tribaux, tribalistes, tribalisés écervelés ont cru prendre en otage la résistance congolaise. Un pays se construit avec avec tous ses fils et filles mais surtout avec des hommes et femmes conscients qui croient en leur pays, mais luttent surtout pour les générations futures. Deux ans après le putsch électorale de Tshilombo par deal, la République démocratique du Congo est pareille que sous Alias Kabila: tueries à l'Est, pillage des ressources, gabegie financière et enrichissement illicite d'Angwalima Tshintuntu Tshifueba et sa bande des checkuleurs, le Congolais vit toujours sans salaire, sans eau, sans électricité, sans soins de santé, sans carte d'identité...sans rien ! Des ignares zombifiés crient à tue-tête: Etat de droit ! Fatshi Béton ! L'horloge tourne, l'histoire s'écrit avec ou sans nous. Aucun ventriote n'a été retenu pour ce prix d'excellence et constance patriotique pour la République démocratique du Congo. Ceux qui ont abandonné la lutte pour un Congo libre non occupé , se sont trahis eux-mêmes. Ils ne se battaient pas pour des valeurs et convictions. Sans le "Patriotisme" et la "Résistance", deux valeurs intrinsèques le Grand Congo est balkanisé. Le patriotisme, c'est l'amour de la patrie. Et la résistance doit s'exercer si le pays est en danger d'invasion-occupation.
Avec le Covid-19, ses variants et effets collatéraux: confinement, couvre feu, gestes barrières, il est impossible de nous retrouver dans une salle. Ce diplôme d'excellence et trophée seront envoyés à chaque lauréat à l'adresse physique qui sera communiqué au mail de notre rédaction: freddy.mulongo11@gmail.com
1. Jean-Kalama Ilunga et Pierre Péan, prix d'excellence et constance patriotique à titre posthume !

La voix baryton de Jean Kalama-Ilunga s'est éteinte à Nemours en France ! Mzéeïste, Grand Résistant, Grand Patriote, Homme politique et artiste engagé, Jean Kalama-Ilunga a été un amoureux de la République démocratique du Congo et des congolais. Anti-Balkanisation du Congo et contre l'imposture sur le trône du Congo, Jean Kalama-Ilunga aura éclairé ses compatriotes par ses idées et refléxions... Il a été l'un des meilleurs projectivistes Congolais de la diaspora. Jean-Kalama Ilunga savait théoriser le combat de libération que le peuple congolais. Jean Kalama-Ilunga a été un Grand Patriote, Grand Résistant, Homme politique et artiste engagé. Dans sa lutte pour un Congo-démocratique, Jean Kalama-Ilunga est demeuré "Constant" sans versatilité.

Pour la République démocratique du Congo, Jean Kalama Ilunga demeurera dans la mémoire de nos compatriotes un exemple ! Son maxime est toujours d'actualité: "Seul le Mzéeïsme équivaut au Kabilisme. Le Joséphisme est une invention frelatée de l'histoire" ! Avec le Front Civil de Résistance Populaire-FCRP, il avait infinité une émission "Tango Ya Kopapa" consacrée aux militaires, policiers et agents de sécurité les rappelant leurs missions de protection des populations civiles. Ce prix lui est décerné à titre posthume.

Pierre Péan, grand journaliste d'investigation, aura été la voix des sans voix de l'Afrique francophone. Il a été titillant contre la Françafrique, la République des mallettes, les Affaires africaines...Pierre Péan était foncièrement Français. Il aimait sa France. Il était patriote pour la France, mais en même temps, il était un "Citoyen du monde". Les Africains aiment la France de Victor Hugo, Jean de la Fontaine, Voltaire, Jean-Paul Sartre, Simone Veil, Pierre Bourdier, Restos du cœur...Ils sont nombreux des Français qui ont fait battre le cœur des autres à travers le monde, ou qui réveillé l'intelligence des autres à travers leur engagement. La France est aimée pour ses hommes et femmes de culture, pour son patrimoine, mais aussi et surtout pour ses hommes et femmes engagés pour de causes, qui sont devenues universelles par la suite. C'est qui est le cas de Pierre Péan. Grand journaliste Français d'investigation, Pierre Péan a été enterré au cimetière de Bouffémont, dans le Val d'Oise, dans la région parisienne, le mercredi le 31 juillet 2019, après une importante messe à l'Église Saint-George.

Auteur de nombreux livres à succès, figure mythique du « journaliste d’investigation » à la française, l’écrivain Pierre Péan s’est éteint « des suites d’une longue maladie », à 81 ans, à l’hôpital d’Argenteuil. Pour le travail de vérité abattu par Pierre Péan pour les pays des Grands Lacs, les Congolais étaient nombreux pour l'accompagner le grand journaliste d'investigation à son dernier demeure à Bouffemont. Les Congolais de la diaspora ne sont ni amnésiques ni inconscients. Les Résistants-Patriotes-Combattants sont conscients des vrais enjeux actuels et futurs de la République démocratique du Congo: pillages et recels de ses ressources...par Machiavélisme, les agresseurs Ougando-Rwandais se victimisent ! Ce prix posthume à Pierre Péan est la reconnaissance pour le travail de vérité abattu dans les pays des Grands-Lacs.
3. Honoré Ngbanda Nzambo Ko Atumba, meilleur acteur politique de la diaspora congolaise !

Il est " l'apôtre Paul de la classe politique congolaise ", après avoir été proche collaborateur du Maréchal Mobutu Sese Seko et fait un Mea Culpa public sur les années de la gestion Mobutiste, Honoré NGBANDA par son travail de mobilisation et sensibilisation des congolais sur les dangers qu'encourent la République Démocratique du Congo, pour sa liquidation, est redevenu un acteur politique congolais de premier ordre. Le président de l'Alliance des Patriotes pour la Refondation du Congo (APARECO) joue un rôle prépondérant d'un éveilleur de conscience de ses compatriotes sur les méfaits de différentes guerres que subissent les Congolais, la volonté de la balkanisation de la République Démocratique du Congo, la "mainmise" des ressources minières et naturelles par les entreprises multinationales, les soutiens avérés des seigneurs de guerre par les réseaux maffieux... Honoré Ngbanda est l'un de très rares politiciens congolais-écrivains qui écrivent et publient leurs réflexions et révélations. En plus, le président de l'APARECO, maîtrise les nouvelles technologies de communication et informe par téléphone, sms, mails...Vilipendé pour avoir été conseiller spécial du Maréchal Mobutu, Honoré Ngbanda Nzambo Ko Atumba encaisse mais demeure debout et constant. Tous ceux qui l'ont injurié sont à la mangeoire à Kinshasa, entrain de ramasser des miettes. "Père de la résistance congolaise", on lui discute ce titre qu'il mérite. Il faut être de mauvaise foi pour ne pas reconnaitre l'apport d'Honoré Ngbanda Nzambo Ko Atumba, dans la lutte contre l'occupation de la RDC par des puissances étrangères et multinationaux pilleurs de ressources du Congo. Sa constance dans ses prises de décisions sur la situation chaotique de la République démocratique du Congo, lui fait courir des risques. Depuis l'assassinat de M'Zée Laurent-Désiré Kabila en janvier 2001 à aujourd'hui, Honoré Ngbanda Nzambo Ko Atumba n'a pas changé d'un iota. Il fustige le régime d'imposture, d'usurpation, d'occupation de Kinshasa et des pantins-marionnettes.

Tshilombo, masque d'Alias Kabila et voleur de destin du peuple congolais, par son odieux deal, a cru l'appâter à un moment: échec et mât. Les imposteurs sont ceux qui avaient pris la mauvaise habitude de le vilipender. Avec le temps, la tactique des mangéristes outrancières s'est dévoilé sous le soleil. A 74 ans 1/2, Honoré Ngbanda Nzambo Ko Atumba ne bat plus pour lui. C'est le présent qui préfigure l'avenir du Congo libéré qui est son leitmotiv.
4. Youyou Muntu Mosi, meilleur femme activiste congolaise qui excelle sur les réseaux sociaux !

Brillante et pertinente, Ma YouYou Muntu Mosi brille dans la Twittosphère de la République démocratique du Congo. "Kozala Mayele Ezalaka Na Elengi Moko Boye" ! Dame de fer, qui s'y frotte s'y pique. Sur la RDC, elle est incollable. Elle tweete, retwette et re-retweete sur l'actualité de la RDC. Elle informe, analyse, donne son opinion. Qui a dit que la RDC n'a pas une élite patriote ? Cette dernière existe, elle est visible et intransigeante sur les vrais enjeux du Congo. Ma Youyou Muntu Mosi est l'une de l'incarnation de l'intelligence faîte femme. Elle est cultivée, elle a été bien formée à la faculté catholique d'Assas à Paris. Son raisonnement est plutôt carré qu'une courbe. Ma Youyou Muntu Mosi est l'une des femmes qui font la fierté du combat de la diaspora contre le régime de Kinshasa. Exceller sur twitter n'est pas donnée à tout le monde.

Ma Youyou Mutntu Mosi excelle et brille sur le twittosphère de la République démocratique du Congo.
5. Djamba Yohé, l'encrier de l'atlantique du Nord !

Ils prennent des pseudos car ils ont peur de se montrer. Contrairement aux bigorneaux et autres Fantômas qui tapissent l'internet pour défendre la dictature totalitaire qui sévit en République démocratique du Congo, un régime usurpateur et d'occupation, M'zée Djamba Yohé, l'Encrier de l'Atlantique Nord existe, il est bel et bien vivant, sa plume navigue à contre courant de défenseurs de l'imposture au Congo. Son combat pour un Congo libre et libéré est connu de tous et il ne s'en cache pas. Payés par le pouvoir de Kinshasa, certains écrivaillons, Vuvuzélateurs et thuriféraires essayent de s'attaquer abusivement à l'Encrier de l'Atlantique Nord, sans doute pour le décourager. Ce n'est pas avec la bouche de l'Encrier de l'Atlantique Nord que les fanatiques patentés arriveront à manger leur piment ! Chaque attaque tarabiscotée est toujours repoussée avec vaillance ! M'zée Djamba Yohé au delà d'être journaliste, écrivain, homme de culture est une bibliothèque vivante au sein de la diaspora congolaise. Amoureux de l'écriture et de ceux qui écrivent, M'zée Djamba Yohé lit les autres congolais. Il s`imprègne, suit, accompagne ceux qui, au sein de la diaspora à travers l'internet écrivent, réfléchissent, tempêtent, réfutent, analysent et donnent leur point de vue sur la République démocratique du Congo et ses soubresauts. Le "Grand Congo" étant le seul bien en commun entre tous les Congolais, dans ses machiavéliques épreuves imposées et voulues, ce dernier mérite la compassion mais aussi la défense de ses fils et filles de l'intérieur comme de l'extérieur.

6. Roger Bongos, journaliste engagé et initiateur de plusieurs actions pour la diaspora congolaise

Courageux, baroudeur, batailleur, combatif, pugnace et culotté, Roger Bongos est le journaliste d'investigation de la diaspora congolaise qui ose ! Qui s'y frotte s'y pique ! Il a conceptualisé le journalisme d'engagement du seul fait que la RDC n'est pas un pays normal. Journaliste engagé, s'attaquer arbitrairement à Roger Bongos, c'est déclencher une guerre de 100 ans qui risque d'être, longue et populaire car il ne lâche rien. Myra Ndjoku, de triste mémoire, le fameux barbouze et ex-ambassadeur plénipotentiaire de la RDC en France fut convoqué à plusieurs reprises au Quai d'Orsay. Lui qui faisait fouetter des compatriotes au sein de l'ambassade au 32 Cours Albert I dans le 7è arrondissement de Paris et qui s'était juré d'éradiquer la résistance congolaise en a eu pour son compte. Pour avoir cassé la caméra de Roger Bongos à la Gare de Nord, le Barbouze-Ambassadeur a été quadrillé, secoué, malaxé, traqué à tel point sur son lit de mort il interrogeait "Nasala Ba journalistes ya Paris Nini ?". Goliath du net, avec sa plume au vitriol, Roger Bongos est un journaliste engagé contre les dictateurs, imposteurs, fourbes, roublards, requins, incapacitaires et autres enfarineurs de tout acabit, mais humain avec les victimes de toutes les injustices. Son père, qui travaillait à l'Unesco portait sa cravate en défiant le dictateur Mobutu et sa politique d'authenticité.
"Les principes journalistiques sont au demeurant universels. Ces principes sont également orientés par des drames que sa population ou les populations lointains soient-ils, vivent. Puisque au point de vue morale, ces éléments lointains me dit-on, forgent, orientent nos appréciations, bousculent par ailleurs nos habitudes et au final, marque votre travail. Contrairement à ce que la presse occidentale dit dans son insouciance ou mépris et dans des termes journalistiques : « mort-kilomètre » ou « kilomètre-compassion » … qui dit que : « généralement on est touché par ce à quoi nous pouvons nous identifier ». Où on reste un journaliste quelconque qui commente l’actualité comme des milliers tant d’autres, comme on peut les trouver sur la planète. Où, on casse les codes, tout en restant dans la déontologie, on devient un journaliste « engagé » …Simplement, le bon sens. Pourquoi engagé ? Cela coule de source, face à l’injustice, la révolte vous habite et on s’interroge sur l’insensibilité de cette société dépourvue des vrais repères et vraies valeurs. Loin de là, avec l’idée de se lancer dans l’angélisme… Certains ferment les yeux sous pression de leur rédaction, bâillonnés par la peur de se faire jeter. Comme le métier du journalisme est dans d’une grande précarité, payé à coup de lance pierre, on ferme « sa gueule ». Et moi, je dis non…Raison, pour laquelle, j’avais écarté l’idée de faire carrière classique dans une rédaction et j’en eu des propositions…

En réalité que dit réellement, les principes du journalisme ? D’avoir simplement un engagement sans passion, pondéré et réfléchi de ce qu’on fait, à savoir :
- De s’abstenir, et s’astreindre tant bien que mal au respect de la vérité, même au delà des pressions financières, tentative de corruption, ce qui est monnaie courante dans le métier. La pression psychologique, et menaces physique allant jusqu’à la menace de mort… D’ailleurs, en RDC depuis que nous avons à la tête de la Nation un usurpateur « Kadogo » jeune soldat sans formation, plus de 18 journalistes ont été assassinés.
A titre d’exemple : moi et Freddy Mulongo, nous avions organisé un premier forum de la liberté de la presse au Press-Club de France à Paris, le 27 mars 2014, où on n’avait mis l’accent sur l’indépendance journalistique, le travail des journalistes en Afrique, sur l’impunité des despotes qui s’en prennent aux chevaliers de la plume. Tout cela pour faire avancer la cause du métier qu’on affectionne. Tout journaliste peut vous le dire, lorsqu’on met le doigt dessus, c’est difficile de se défaire de ce métier et de faire autre chose. On est journaliste, jusqu’à la fin de votre vie…
- Penser à une seule chose, pourquoi on exerce ce métier, qui dans l’absolu, est un métier ingrat. Mais faisant abstraction à cela, on doit se préoccuper en priorité à l’intérêts du citoyen, par extension, si vous êtes engagé, à l’intérêt de la Nation qui vous a vue naître. Et vous portez par essence même, la responsabilité de la défense au péril de votre vie…
Qu’est ce qu’on appel, un engagement ? Une mission sacerdotale, qui rend certains réfractaires à vos publications subissant la foudre de ceux qui ne veulent pas les choses évoluer (dictature). Et, pour les autres, une aubaine, une source intarissable d’information fiable et s’abreuvent de vos écrits sans modération à l’heure où l’Internet a libéralisé cette corporation…Le quatrième pouvoir qui devient la force de chose, le premier pouvoir.
Où les informations ne sont plus confisquées, traitées de manière intéressée et surtout caporalisée dans le but d’orienter les consciences. Ce que, un magnant de la presse américaine disant avant l’avènement de la presse en ligne, il disait, je cite : « Je crée une rumeur le matin, le soir elle devient une vérité. Je peux faire quelqu’un le matin et le défaire le soir »…Fin de citation !
- Tout cela dans le respect déontologique, loin d’une manipulation des masses. En étant par définition, très pointilleux au niveau des informations que vous diffuser. Je tiens à préciser que le journalisme par essence est précis suivant les règles d’une recherche scientifique et fondamentale.
- De faire attention de n’est pas être au service d’une entité, d’un gouvernement ou des certains lobbyistes. C’est à partir de ces collisions qu’on commence à perdre son indépendance à l’égard de ceux dont on relate l’action, l’investigation, etc.
La morale de cette histoire ; il serait mieux d’exercer un autre métier que de se lancer dans cette aventure qui souvent, vous perdez les plumes et quelques fois, sa famille (femme et enfants). Si on veut être riche, comme disant mon professeur de communication, ce n’est pas le métier idéal. On meurt souvent pauvre et dans l’indifférence totale.
- Etre, dans la mesure du possible, le représentant, de ceux qui n’ont pas l’accès à la presse, aux médias institutionnels qui souvent sont influencés par les politiques, puisqu’ils tirent leur substance dans des subventions étatiques.
- Pour terminer, se doter d’une bonne conscience, et se tenir qu’à la vérité guidée par sa propre conscience. Une conscience rendue ferme par ce que vous savez faire. De par vos sources et investigations. Si vous ne publiez pas les informations capitales que vous disposez, vous ressemblez à un criminel après avoir tué quelqu’un et se promène avec une conscience chargée…
Voilà pourquoi je n’épargne personne. Je n’ai pas de scrupule à dénoncer ceux qui font le jeu d’une quelconque dictature, féroce soit-elle. Je ne prends pas beaucoup de précaution pour ma vie, et je me remets à Dieu, si je peux le dire avec conviction. Je suis inébranlable, comparativement à un Baobab, grâce à ma foi…
La foi m’a beaucoup aidé dans toutes les actions que je mène, qui souvent sont en relation avec la morale. Je ne triche pas et je mets quiconque au défi de m’apporter un début de preuve, d’une cupidité quelconque que j’ai fait l’objet.
Tant que l’Afrique, particulièrement, le Congo sera dans les griffes d’un imposteur qui est venu de très loin, mais très loin avec ses bottes de jardinier, fauchant tous les jours la vie des personnes sans défense, puisqu’il détient l’armée, le peuple aura d’après ce que l’histoire nous enseigne, le dernier mot, grâce à ce qu’on fait comme travail de sensibilisation…Il pourra corrompre tout le monde, il y en restera quelques uns qui seront là pour le faire chuter et il chutera… « Nous, la montre et nous sommes les maîtres des horloges ».
Mobutu dans ses années de gloire était beaucoup plus puissant que cela, il a été balayé par des porteurs des bottes de jardinier (Kadogo)…
Qui eut cru ?
" Journaliste engagé, Roger Bongos est le premier à médiatiser depuis Paris, les manifestations des Congolais dans la ville lumière. Il est un grand défenseur de la cause congolaise.
7. Charles Onana, meilleur panafricain et vrai "ambassadeur itinérant et plénipotentiaire de la RDC" !

Journaliste et politicologue, Charles Onana a mis plus de vingt-ans de sa vie pour ses investigations sur l'Afrique des Grands Lacs. Il en est l'un des experts. Personne ne nie qu'il y a eu génocide au Rwanda en 1994. Panafricaniste avéré et digne fils d'Afrique, Charles Onana a braqué ses projecteurs sur les morts Congolais. Il est devenu l'ambassadeur itinérant et plénipotentiaire des victimes congolaises du régime dictatorial du Rwanda. Paul Kagamé et ses affidés européens et anglo-saxons ont "boutiqué" l'histoire du génocide au Rwanda. Ce génocide rwandais est devenu un fonds de commerce pour Paul Kagamé, qui le brandit pour culpabiliser le monde entier d'avoir laissé faire. C'est son faire valoir. C'est l'histoire des vainqueurs. Or il s'est avéré que le même Paul Kagamé qui crie au génocide pour son peuple, commet des crimes de sang, crimes de génocide et crimes contre l'humanité en République démocratique du Congo. Mieux, Kagamé pille et recel les ressources du Congo en toute impunité. Ayant culpabilisé le monde entier, les crimes de Kagamé sont tus, ignorés et oubliés. Et Charles Onana à la manière d'Emile Zola au cours de l'affaire Dreyfus dit: "J'accuse Paul Kagame de massacrer les populations congolaises pour piller les ressources du Congo". Cela choque et gène, tous ceux qui ont bâti le château des cartes de Paul Kagamé sur des mensonges et manipulations. A la différence de Pierre Péan, Charles Onana est un africain, on ne peut donc pas l'accuser de raciste. Et donc on l'accuse d'être "Négationniste" ! Simplement parce qu'Onana a choisi d'écrire l'histoire avec une paire de lunette du gibier pas avec celle du chasseur.

Sauf que dans les pays des Grands Lacs: prédateurs, pillards, receleurs et chasseurs de minerais sont nombreux. Les victimes, plus de 15 millions de morts uniquement en RDC, les Hutus et Twa Rwandais sont décimés, on regarde ailleurs. Un mort est un mort qu'il soit Congolais, Hutu, Tutsi ou Twa dans les pays des Grands Lacs. Pour décourager Charles Onana, on le diabolise, on lui intente des procès...
8. Berry Muekatone, le meilleur de la Twitosphère sur la RDC !

Berry Muekatone dit qu'il est un lanceur de mots et pour lui, la lapidation médiatique est un devoir de citoyen pour mettre fin à cette dérive dictatoriale en RDC. Il n’a pas peur des mots, il appelle un chat, un chat et un bandit, un bandit ! Garçon de bonne famille, derrière ses tweets enragés, contre le régime d'imposture, d'occupation et des médiocres, Berry Muekatone a le niveau de cadre...Il fait parti des marcheurs et marcheuses congolais contre le viol des femmes en République démocratique du Congo, qui étaient partis de Paris le 30 juin 2011 et étaient arrivés à Bruxelles le mardi 13 juillet 2011 à 16h25 en face de l’Union Européenne, au Rond-Point Schuman. Un exploit d'une marche mémorable: Paris-Bruxelles: 309 KM contre les violences sexuelles en République démocratique du Congo ! Cette marche contre les viols des femmes congolaises contribuera au prix Nobel de paix du Docteur Denis Mukwnge en 2018.

Twitter impose un exercice pas toujours facile car celui qui tweet doit résumer sa pensée qu'à 140 mots. Les blablateurs fuient Twitter pour d'autres réseaux sociaux. Berry Muekatone, qui maîtrise Twitter et ses contours, est le meilleur de la twittosphère sur la République démocratique du Congo. Avec son français châtié, Berry Muekatone excelle dans des tweets politiques engagés...Avec un français châtié, avec sa conscience, il commente de l’actualité de la République démocratique du Congo. Berry Muekatone titille ! Ses expressions sont devenues populaires utilisés sur des plateaux de télévision à Kinshasa: union sucrée, Talibans, Dealombo...Alors que Tshilombo lance l'union sacrée, le 6 décembre dernier, pour flouer son incompétence, ses 177 voyages inutiles, son dépassement du budget à 140.000% de sa présidence usurpée...Tshilombo illégitime et non-élu a fait un deal avec son prédécesseur pour bénéficier d'une nomination électorale, conséquence: il enfarine, enfarine et enfarine. "Dealombo" n'a pas été épargné par Muekatone. Après deux de deal enfarinant le peuple congolais. Le gugusse appelle à l'"union sacrée", s'était sans compter avec Berry Muekatone, qui sort l'artillerie lourde parlant de l'union salée-sucrée. Cette expression est devenue populaire dans toute la RDC y compris dans sa diaspora. L’intransigeance des Extrémistes de l'Udps, l'avait poussé à qualifier les Udpsiens des "Talibans", cela depuis le 1 juillet 2013 ! Pour un Congolais, les "Talibans" sont de l'Udps.
9. Alphonse Kangafu Vingi Gudubangana, meilleur sage et intelligence engagée !

Consultant retraité de l’UNESCO vivant à Lucerne, Papa Alphonse Kangafu Vingi Gudubangana est le sage de la communauté congolaise en Suisse. A ses rendez-vous, il est ponctuel comme l'horloge suisse. Papa Alphonse Kangafu Vingi Gudubangana soutient des patriotes congolais vivant à Lucerne et Zurich. Philosophe, laborieux et intellectuel brillant, Papa Alphonse Kangafu Vingi pond ouvrage sur ouvrage sur la RDC. Il encourage les jeunes congolais à prendre leur destin en main. Du Mobutisme à la résistance, papa Alphonse Kangafu Gudubangana est ferme. Il y a un refus de lui à soutenir tout régime dictatorial au Congo. Il a fait une croix sur son passé. Depuis Lucerne en Suisse où il réside, son combat contre la dictature continue. Il anime des conférences et participe aux manifestations...Papa Alphonse Kangafu Gudubangana est une figure marquante de la diaspora congolaise en Suisse. Il est de tous les combats. Sa ponctualité désarçonne. S'il te fixe rendez-vous à 10h, il est présent au lieu de rendez-vous 15 minutes avant.

Il a été le second directeur de l'Institut Makanda Kabobi de 1980 à 1990, après Honoré Mpinga Kasenda de 1974 à 1979. Et le Professeur Samba Kaputo fut le directeur de cabinet de Papa Kangafu Vingi Gudumbagana. Le jour où Mobutu a démissionné du MPR-Parti-Etat, il n'était plus président de la République. Depuis, papa Kangafu est constant dans ses prises de position.
10. Fabien Kusuanika, meilleur journaliste analyste des infos sur la RDC

"Tala ku nseki, tala ku mamba" ! "Journaliste engagé" pour le meilleur du Congo. Avec une pincée d'humour Fabien Kusuanika a l'art de détricoter dans les infos sur la RDC, le bon du f distinguant le bien du mal, le juste de l’injuste, la vérité du mensonge, le vrai du faux, préférant le durable à l’éphémère et la construction, l’éducation à la destruction. est un de ces hommes des médias congolais qui dénoncent avec véhémence le drame qui se déroule au Congo. Les viols, les massacres, les tueries, les pillages, les déplacements massifs des populations, la destruction de l’environnement (les parcs nationaux) à l’Est du Congo, la menace de la balkanisation, l’occupation, le génocide congolais … sont des sujets qui ne passionnent pas les pouvoirs publics congolais, ni les médias publics ou privés, ni la classe politique, encore moins l’élite intellectuelle et le peuple. Fabien Kusuanika combat le bon combat pour le Congo, avec énergie et persévérance sans se compromettre. Depuis qu'en âme et conscience, il a refusé de soutenir l'imposteur et usurpateur de fils, Tshilombo, Monsieur 15%, alors qu'il était proche du père, Etienne Tshisekedi ayant couvert toutes ses activités en Belgique...Injures, mensonges, accusations, calomnies et mépris pleuvent sur lui. Bien orchestré par des Bena Mpuka, Talibans, Tribalo-Ethniques, Wewcrates et Extrémistes Udpsiens… contre Fabien Kusuanika. qui ne se laisse pas démonter. Adulé par certains, exécré par d’autres, le journaliste Fabien Kusuanika ne laisse personne indifférent. L’homme aime rappeler ses débuts à la télévision commerciale « Raga » à Kinshasa. C’était le 29 août 2000. A Bruxelles, il a dirigé les médias en ligne « K-Concept-over-blog » et « Congo Lex ». La webtv « Télé Tshangu » est le couronnement d’un travail mérité.

Lors de la présidentielle du 28 novembre 2011, « Fabien » a fait partie de la grande majorité des Congolais qui soutenait la candidature du leader de l’UDPS, le regretté Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Il était là avec sa caméra dans toutes les manifestations organisées en Belgique. Il était là également lorsque des Congolais de Belgique entonnait: « Ohoo Ya Tshitshi, zongisa ye na Rwanda ».
Menaces de mort et injures tribalistes pleuvent en cascades contre le confère Fabien Kusuanika de Télé Tshangu. Comme le journaliste a de la mémoire, pour calmer les tribaux, Télé Tshangu a largué une bombe ! Une vraie Tomawk ! On voit dans la vidéo de 2011, Étienne Tshisekedi, candidat à l'élection présidentielle, incapable de dire le nom du www.etiennetshisekedi2011.net.
Bombe atomique avec l'uranium de Shinkolowe du Katanga ? Tomahawk missile politique à la congolaise ? La diffusion de la vidéo de Télé Tshangu est révélateur de trois vérités:
1. En 2011, le candidat à l'élection présidentielle, Étienne Tshisekedi "Mula Nkuasa" n'avait plus toute sa tête. Amnésique, il n'arrivait même pas à répéter le www.etiennetshisekedi2011.net! Et que notre confrère Flavien Kusuanika de Télé Tshangu a dû s'époumoner pour coacher un vieux dont la mémoire flanchait et jouait au yoyo.
2. L'Udps, Tshilombo, Marthe Kasalu Jibikila... sont coupables de haute trahison. Ils savaient tous que le vieux Étienne Tshisekedi n'était plus en bonne santé. Mais l'ont imposé comme candidat à l'élection présidentielle. Avec toutes les conséquences que cela aurait causé au pays. Si Étienne Tshisekedi était élu que nous serait-il arriver au Congo ? Son corps serait présent au palais de la Nation mais son esprit à la 10è rue de Limeté ou à Kabeya Kamuanga. Il allait commencer à signer n'importe quoi sur le Congo et contre le pays. Passer son temps à roupiller, ignorant son boulot comme Antoine Gizenga, Premier ministre, qui après quelques mois à la primature, à vite jeter l'éponge. Il pouvait aussi passer son temps dans des hôpitaux pour soins. Le pays serait suspendu sur l'état de santé d'un grabataire.
3. De 2011 à son décès en février 2017 à Bruxelles, Étienne Tshisekedi était gravement malade. Souffrait-il de la maladie d'Alzheimer ? On comprend maintenant pourquoi Marthe Kasalu Jibikila qui négociait déjà du vivant du vieux, avec le régime d'Alias Kabila, à viré tous les secrétaires généraux non Kasaïens : Valentin Mubake, Albert Moleka, Rémy Massamba, Bruno Mavungu, ainsi que tous les intellectuels que regorgaient l'Udps, pour préparer son fils Tshivube Angwalima Tshilombo Tshintuntu Tshifueba. Étienne Tshisekedi malade, à son insu, l'Udps en quête d'argent a négocié avec le régime à Ibiza, Vénise, Monaco, Paris, Bruxelles et Kinshasa. Lorsque Mubake disait que le vrai dauphin d'Alias Kabila était dans l'opposition. Il ne croyait pas bien dire. Tshivube Angwalima Tshilombo Tshintuntu Tshifueba était le candidat d'Alias Kabila pour l'élection présidentielle de 2018. Renier sa signature à Genève n'était qu'une mascarade et suite logique d'un deal longtemps orchestré. Angwalima Tshilombo n'a jamais manifesté contre le régime d'Alias Kabila. Il a toujours fui.
Menaces de mort et injures tribalistes tribalisés pleuvent en cascades contre Flavien Kusuanika et Télé Tshangu. Les Bena Mpuka, Talibans, Tribalo-Ethniques et Wewaïstes fanatiques se déchaînent abusivement contre un confère qui ne fait que son travail. Excéder, Flavien Kusuanika a balancé cette vidéo qui a calmé temporairement les tribaux, Tribalistes Tribalisés. Leur gourou d'Étienne Tshisekedi avait pour coach en 2011, un journaliste Congolais originaire de Bandundu, que les Tshilomboïstes insultent: Muyaka. N'est-ce pas le monde à l'envers. C'est comme si Adolphe Hitler, qui haïssait des juifs, avait un médecin juif !
Le journaliste a de la mémoire. Les Tribaux, Tribalistes Tribalisés l'apprennent à leurs dépends. Menacer un journaliste de mort, c'est le raidir ! L'arrêter et le jeter en prison, c'est le radicaliser. Dans des pays développés, les gouvernants écoutent des critiques formulées par des journalistes pour s'améliorer. Depuis la nomination électorale de Tshivube Angwalima Tshilombo Tshintuntu Tshifueba, des Tribaux, Tribalistes et Tribalisés menacent, injurient et insultent des journalistes indépendants de la diaspora. Diviser pour mieux régner, la dictature Tshilombo achète des "Coupagistes", "Thuriféraires", "Djaleloïstes", "Quados" et "Journalistes Prépayés" pour défendre un régime aux abois, pris en otage par des chekuleurs et frappeurs patentés.
11. Robert Mbelo, meilleur diplomate de la cause congolaise !

Diplomate honoraire, cela fait longtemps que Robert Mbelo n'use ni n'abuse plus de la langue de bois diplomatique. A lire ses écrits dans nos fora, c'est la langue de soie, c'est-à-dire la langue de vérité que Robert Mbelo nous a accoutumé. Face aux fantômas, bigorneaux, ayatollahs, ethno-tribalo-claniques mais surtout provinciaux du net payés par le régime d'imposture et d'occupation pour embrouiller tous les congolais qui ne veulent pas se taire, par sa pugnacité Robert Mbelo apparaît comme un éléphant qui se bat avec un troupeau des buffles, mais il ne se laisse jamais faire et ne se dégonfle pas. Les Mbakasa et Yongololo n'ont qu'à aller se rhabiller. Robert Mbelo tient le cap ! On n'a le droit de se poser la question: pourquoi cristallise-t-il tant des passions dans nos fora ? Courageux, il est le premier congolais à avoir démissionné avec fracas de la Coalition des Congolais pour la Transition (CCT) où Emery Kalwira, soutenu par Azarias Ruberwa et tous les prétendus "Tutsis-Congolais", "Banyamulenge", "Banaviula" etc... voulait prendre en otage la diaspora congolaise. Les Congolais meurent dans l'indifférence totale de ses pseudos dirigeants. Pour mieux piller ses ressources, la République démocratique du Congo se meurt ! Le peuple congolais meurt dans l'indifférence totale de ses pseudos dirigeants. L'ignorance politique de Félix Tshilombo est affligeante. Il apparaît de plus en plus comme un analphabète politique, pantin, clone, masque et bouclier d'Alias Kabila.

Robert Mbelo a pondu plusieurs documents de la première grande conférence internationale à Nuremberg sur les Trois génocides des Congolais:
1. Le premier génocide date de l'époque de l'esclavage: le bilan est de plus de 10.000.000 d'âmes.
2. Le deuxième génocide date de 1885-1908: Il a été commis par Léopold II roi des Belges. Le Congo fut sa propriété privée et les Congolais ses sujets. Ses atrocités ont été dénoncées par le Britannique Edouard Morel à qui nous rendons hommage. Le bilan de ce génocide léopoldien est lourd, plus de 15.000.000 d’innocentes victimes congolaises.
3. Le troisième génocide est celui commis par Paul Kagamé, Hitler africain et dictateur au Rwanda. Quel est le bilan de ce génocide Kagaméen: 12.000.000 ? 16.000.000? 18.000.000? Les Congolais continuent de mourir au moment où nous couchons ces lignes.
La guerre déclenchée au Congo en 1996 perdure en guerre de basse intensité. Il s'agit de plus de deux décennies de crimes indicibles qui ensanglantent la République démocratique du Congo dans une indifférence totale de la communauté internationale. En 1996, le Zaïre devenu RDC, a été envahi par une coalition des armées étrangères parrainées discrètement par les Etats-Unis et leurs alliés Anglo-Saxons. Les armées du Rwanda et de l'Ouganda formèrent l'essentiel des troupes.
L'enjeu, pour les puissances anglo-saxonnes et leurs multinationales, s'accaparer au moindre frais des ressources minières du Congo. Les nouveaux Conquistadors ferment les yeux sur les morts congolais qui comme des feuilles mortes se ramassent à la pelle. Du Coltan, encore du Coltan, minerai indispensable à l'industrie des produits électroniques: téléphones portables, ordinateurs, consoles de jeu...Le Coltan n'est pas une légume qui pousse sur n'importe quelle terre. Pillard et receleur des minerais du Congo, le Rwanda de l'autocrate Paul Kagamé devient le premier producteur du Coltan, un minerai qui ne se trouve pas dans son sous-sol.
Il faut rendre hommage aux 52 rabbins de Londres qui avaient signé une Tribune, le 23 avril 2010 dans "The Guardian" où ils ont déclaré ce qui suit: " Si l'on considère la souffrance et l'ampleur des atrocités commises en RD Congo, nous ne pouvons que nous rappeler nos propres 6 millions de victimes du génocide Nazi. Le " Ne rien entendre, ne rien voir et ne rien faire" ne remplit pas la promesse du "plus jamais ça".
Il faut rendre hommage au grand journaliste d'investigation et politologue Franco-Camerounais Charles Onana. Dans son livre : Ces tueurs tutsis Edition Duboiris, il pointe du doigt le génocide silencieux des Congolais.
Il faut rendre hommage à notre cher compatriote Boniface Musavuli pour son livre : Les génocides des Congolais. De Léopold II à Paul Kagamé. Des témoignages qui donnent des larmes au cœur. Robert Mbelo est constant dans son combat pour un Congo libéré de l'occupation et libre.
12. Odon Mbo, meilleur activiste et Mobundeli Ya Ekolo Congo !

Odon Mbo est l'un des Patriotes-Résistants-Combattants de France. Il est très pédagogique dans ses explications et analyses. "Mobundeli Ya Mboka" ! "Le Colonel Odon Mbo " est l'un des précurseurs et pionniers de la Fatwa Anti-Concerts en France, dans la résistance congolaise. Il suffit de revoir les archives vidéos de notre aîné et confrère Bongos Roger, qui a propulsé la résistance congolaise pour s'en rendre compte. Quoique vilipendé et diabolisé par des Bena Mpuka, Talibans et Tribalo-Ethniques, Odon Mbo est demeuré constant, lucide et visionnaire. Il n'a pas bronché dans son radicalisme et la Fatwa Anti-Concerts. Face aux attaques y compris personnelles, Odon Odon Mbo a adopté la tactique du roseau qui plie mais ne rompt pas.
La Fatwa Anti-concerts a révélé beaucoup des choses. Les Congolais, dans le silence qui est la musique de l'âme, ont commencé à s'intéresser à leur pays d'origine: ils ont vu des fosses communes, massacres, tueries, dépeuplements de nos territoires, invasions et agressions du Congo, pillages et recels des ressources de la RDC par le Rwanda et l'Ouganda, complicité des multinationaux pillards...Le Rwanda fonctionne par "Ubuengwé" c'est-à-dire avec des "mensonges et manipulations" ! Et les Udpsiens envoûtés par des Rwandais ont adopté le même modus operandi: ils sont devenus des menteurs, manipulateurs et fourbes.

Comment peuvent-ils fabriquer et diffuser des images d'un Airbus A 380, un avion d'Air France, très gros-porteur long-courrier quadriréacteur à double pont (Passagers : 407 - 538 en 3 classes, longueur : 73 m, hauteur : 24,09 m, vitesse de croisière maximale : 903 km/h (Mach 0,85), à l'aéroport International de Ndjili à Kinshasa avec des patriotes-Résistants-Combattants refoulés ?Alors qu'aucun Congolais n'a été refoulé du sol français. Même le compatriote sans papier a été relâché.
Les Patriotes-Résistants-Combattants ne se sont pas battus contre le concert de Fally Ipupa, mais contre des puissances, principautés et lobbystes qui voulaient à tout pris que le concert de Fally Ipupa se produise, alors que le soir même d'autres crimes imprescriptibles ont été commises à l'Est de la RDC. Le Covid-19 est devenu l'allié naturel de la Fatwa-Anticoncerts. Le confinement aide. Tshilombo étant par ailleurs égal à Alias Kabila. Aucun concert à Paris et en Europe, avant la libération totale du Congo de l'occupation. Après tant des morts dans la communauté congolaise, avec le concert de Fally Ipupa, le 28 août dernier, à Paris-Bercy, Les Trémousseurs patentés doivent encore patienter.
13. Mama Brigitte Mungala, meilleure animatrice pour l'éveil de la conscience sur la RDC !

Ses émissions en Lingala ont un succès fou sur les réseaux sociaux. Sous Alias Kabila, on pouvait encore dénoncer. Avec Tshilombo, dénoncer les dérives autoritaires et l'occupation, c'est s'attirer les foudres de la part des Talibans et Tribalo-Ethniques. Sa pagne bien ceinturée, Maman Brigitte Mungala tient bon. Elle interpelle la communauté congolaise sur la situation du pays.

kaka levy Kintawusi :Les belges ne savent pas que Félix faisait des chèques volés ,bino bozalaki koseka Kabila azalaki chauffeur taxi mais ezalaki mosala moko ,kabila ayebi tshilombo azalaki kopeta chèques na belgique na ba faux diplomes na ye . Svpl :sinon bokoloba ngai na tshilombo tozali ndenge moko na komi diplome accent circonflexe ezali kosala te na ordinateur na ngai. Maman ,je suis d'accord avec vous ,vous avez raison d'insulter ces faux politiciens incompétent ,corrompus et voleurs.
Veronique Ngokadi :Tshilombo aza ko marcher na ideologie ya tata na ye ya lokuta, trahison , ya koteka mboka asangisi na groupe ya ba taliban tribalo fanatico aveugle
Kabitshi: Mama Mungala: ekomi tango ya ba MAMANS KONGOLAISES batelema, basala ba marches tt les jours mêmes ou 1 fois par semain - pikayi nionso, y compris na kati ya Kongo.! Pona ko bundela mboka, pona avenir ya Bana na bango pe ya jeunesses. Ba MAMANS totelema totelema totelema - c’est le moment Ingeta
Désiré CANDON :Maman , tu as raison parce que le vieux Tshisekedi malgré tous se défauts n'aurait jamais accepté de se rabaisser à ce niveau parce qu'il avait compris qu'il incarnait un symbole qui le dépassait.
Idrissa Mandulu: Mais oyo peuples ya ndenge nini ?totelama na Revolution populaire po to bengana ba occupants rwandais na ba collaborateurs na bango nyonso...
Kabidji : Ba ndoki ya Kongo ba Talibans tozali na temps na bino te. Bozali bana Lucifer, bino bozali ba ndoki bolingi mabe po na Congo. Kongo ezali na passi koleka ba pays nionso ya monde, kassi bozali ko soutenir mabe, ba occupants. Bo kokende na lifelo pe kala te boko suka mabe. Eloko pe bozali kozwa te. 0$ franchement bozali ba NIAMA
Mami Abosa: Mama Mongala longonia,vérité nde ekangolaka. Association ya ba bomi;toyebi bango. Temps k ba Rwandains bazali kk na mboka wana. Tokotika bango te. Ingeta
Ricardo Padrinho: Congo eza na kati ya jungle. Bato balingi bosembo te. Moto ya lokuta, mobomi na moyibi nde ye wana moto ya lokumu. Soki olingi o dénoncé, bako finga yo , bako sabotter yo . Moto ya bosembo nde moto mabe, moto ya lokuta nde moto malamu. Peuple akoki ko bénéficier na richesse ya mboka te. Wana eza mpo ya bampaya na bakonzi ya mboka. Ki fanatisme ya musique ekoti na politique, ekoti mpe na ba églises. Ba politiciens bazo exploiter peuple, ba pasteurs mpe bazo exploiter peule. Bato bazosambela mais balingi ba diriger Nzambe, asalaka nde volonté na bango, apesaka bango mbongo na miracle "Nzambe akosala, Nzambe akosala". Bomengo oyo Nzambe atie na Congo, balingi kobundela yango te.
14. Kerwin Mayizo, meilleur journaliste et analyste des infos sur la RDC !

Kerwin Mayizo est le meilleur d'entre nous. Il a rèsussi à faire aimer la politique aux Congolais, par ses analyses pointues dans un language adapté. Il n'est rare de suivre dans une maison congolaise de la diaspora, l'analyse de Mayizo sur le grand écran. Correspondant de RFI, Kerwin Mayizo est bien connu au sein de la diaspora congolaise par ses multiples conférences organisées.

Kerwin Mayizo est un journaliste et fin analyste politique sur la République démocratique du Congo. Il est rigoureux, profond et patriote militant, Kerwin Mayizo . Plus un arbre est plus haut, plus il prend du vent. Les Bena Mpuka, Talibans, Tribalo-Ethniques, Extrémistes n'épargne personne dans la diaspora de leurs injures acerbes. Chaque journaliste Congolais de la diaspora joue son rôle en tenant compte de nouveau paradygme . Se faire insulter parce qu'on ne sait journaliste et on ne peut pas plaire à tout le monde.
15. Chick Osonga Munduki, meilleur caricaturiste et un héros dans l'ombre !

Il transpire l'humilité, n'aime pas que l'on parle de lui et n'a besoin d'aucune publicité. Chick Osonga Munduki est un vrai héros dans l'ombre. Il est le meilleur caricaturiste de la diaspora congolaise. Chick Osonga Munduki a investi son temps et son argent pour la cause du Congo en Suisse. C'est lui qui couvrait toutes les manifestations de la résistance congolaise en Suisse. Avec son talent, il faisait le montage puis le diffusait. On ne peut pas parler du combat en Suisse, sans faire référence à Chick Osonga Munduki.

La majorité des premières vidéos sur les congolais de la Suisse résistante ont été réalisés par Chick Munduki Osonga. Il participe à toutes les manifestations qui ont lieu à Zurich.
16. Patrick Mbeko, meilleur analyste et écrivain sur les méandres de la RDC !

Pour faire taire Patrick Mbeko, un activiste de droit de l'homme a porté plainte contre l'une des personnalités qui fait la fierté de la diapora congolaise. Ce prix est pour marqué notre soutien et solidarité à Patrick Mbeko.
Procès à venir Paul Nsapu vs Patrick Mbeko
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Paul Nsapu a introduit une demande d’injonction permanente à mon endroit devant la Cour du Québec par le biais de son avocate, qui est une grande militante Tshisekediste et une tribaliste assumée. L’objectif de cette action en justice est de me faire taire. Étant candidat à la CENI pour le compte de qui nous savons, Paul Nsapu ne veut pas que ses actions soient examinées, analysées voire critiquées.
Paul Nsapu affirme dans le document déposé en Cour que je le tiens implicitement responsable de la dernière élection présidentielle de décembre 2018. ÉNORME quand même ! Il affirme que son honneur et son estime ont été affectés et demande des dommages-intérêts et punitifs de 50 000 dollars. Voilà en gros la situation.
Pour des raisons que j’expliquerai prochainement, nous nous sommes tus et avons suivi à la trace les actions de ce compatriote. Et je peux maintenant annoncer ici que nous acceptons de relever le défi d’aller en procès. Les intimidations des Tshisekedistes ne passeront pas. Sous Joseph Kabila, que lui Paul Nsapu a traité de tous les noms d’oiseaux, on n’avait jamais vu ça. Nous n’allons aucunement plier face à ces gens qui veulent soumettre les Congolais à leurs desiderata.
Celles et ceux qui voudront soutenir ce combat pourront le faire en contribuant à la collecte de fonds que nous allons mettre en place très prochainement, comme l’ont suggéré des compatriotes. Car ce combat n’est pas seulement le mien, il est aussi le vôtre.
Le procès étant public, vous serez tenus au courant de TOUT ce qui sera dit et des pièces qui seront déposées en Cour. Et des pièces, il y en a. Nous nous sommes également assurés que l’affaire soit répercutée au pays. Les Congolais ont le droit de connaître le profil de celui qui se propose de prendre la tête de leur CENI quand même. Pour finir : celles et ceux qui ont des témoignages à nous faire parvenir peuvent entrer en contact avec moi ou Kerwin Mayizo.
La CENI mérite mieux, et personne ne se laissera intimider par les Tshisekedistes...

Patrick Mbeko, Bolingo ya Mboka !
Même si Félix Tshisekedi avait la volonté de changer les choses en RD Congo, il ne pourra rien faire. Il le sait. Il sait qu’il s’est mis dans une position intenable. Sa vie en dépend. Les Occidentaux le savent; raison pour laquelle ils observent de loin en lui donnant l’impression de le soutenir. Mais en réalité, personne n’est dupe. Coincé par le système Kabila à l’interne, phagocyté par le système Kagame à l’est, son ultime recours à l’étranger reste l’Angola. Mais que pensera Paul Kagame d’un rapprochement avec Luanda ? L’homme fort de Kigali a besoin d'un Félix faible pour ses aventures et sa politique dans la sous-région. Il a aussi besoin de Félix pour court-circuiter ou simplement ignorer la campagne que le docteur Mukwege vient de lancer autour du Rapport Mapping et de la mise en place d’un tribunal pénal international pour le Congo. Même si les deux hommes se sont rencontrés à New York, je crains, au regard des informations en ma possession, que Félix, en tant que "président" du Congo, n’accompagne le docteur dans sa démarche. La plus belle femme ne donne que ce qu’elle a. On ne peut pas demander à une marionnette de jouer le marionnettiste. La situation du Congo est bien pire qu’on le croit...
17. Lilo Miango, meilleur doyen des journalistes Congolais en France et Europe !

Affable et simple, le Doyen Lilo Miango est le premier journaliste congolais qui a ouvert le chemin à l'international aux journalistes Congolais après lui. Premier journaliste africain à occuper le poste de Secrétaire Général de l'association de la presse étrangère (APE), le Doyen Lilo Miango en organisant plusieurs conférences de presse avec des hommes politiques africains et congolais de passage à Paris, a contribué au panafricanisme et n'a pas oublié la RDC, son pays d'origine.

Le doyen Lilo est toujours prêt à rendre service à la corporation.
18. Fweley Diangitukwa

Le brillantissime Professeur Fweley Diangitukwa. Aucun congolais de la diaspora n'a publié autant des ouvrages sur le Congo et divers sujets que le professeur Fweley Diangitukwa, qui réside à Vevey et sillonne le monde pour enseigner. Sur son blog le 10 mai 2007, le professeur Fweley Diangitukwa écrivait: Sommes-nous conscients que nous avons le pays le plus beau, le plus magnifique, le plus riche du monde (potentiellement) et le plus convoité du monde ? Sommes-nous également conscients que nous sommes le peuple le plus naïf, le plus docile et le plus exploité du monde depuis l’époque coloniale ? Nous avons été exploités d’abord par les Arabes, ensuite par les Occidentaux avant que les pays voisins ne nous envahissent et ne nous pillent. Depuis l’indépendance, les pays colonisateurs, qui nous ont « chosifiés » sans état d’âme et qui nous ont appris à admirer leur langue et leur culture, tout en pillant nos richesses minières et nos œuvres d’art, c’est-à-dire notre âme et notre moi intérieur, s’appuient aujourd’hui sur des Congolais sans moral et sans remords. Ceux-ci se mettent du côté des colons d’hier et se comportent exactement comme les « maîtres » se comportaient dans nos pays conquis. Quelle honte et quelle misère ! Comme les colons d’hier, ils tiennent les nationaux à distance et préfèrent habiter dans les quartiers huppés loin du peuple. Ils sont toujours seuls dans leur voiture achetée avec la sueur du peuple.

Ils ne s’arrêtent pas pendant que les bus publics sont bondés à craquer. Ils regardent le peuple avec dédain mais ils prétendent gouverner pour eux. Ceux-là, ce sont nos « nouveaux colons », représentants attitrés des anciens colonisateurs. Ils obéissent aux ordres venus d’ailleurs et ils agissent localement pour défendre les intérêts de leurs maîtres. Ceux-là, ce sont nos dirigeants dirigés de l’extérieur qui se croient plus importants que nous mais qui sont incapables de voir plus loin que leur nombril. Voilà. Des chiens de chasse indispensables à l’Occident pour tenir la RD Congo en laisse !
Le chien est un animal docile qui a été dompté afin de servir les intérêts de son maître qu’il ne quitte plus. Depuis qu’il a été élevé au rang de compagnon de l’homme, le chien se dresse contre sa race, contre les autres animaux qu’il chasse dans la forêt pour assouvir les appétits de son maître. Voilà pourquoi le chien alerte toujours son maître en aboyant très fort dès qu’il voit un animal de son espèce. Mais le chien n’a jamais été plus fort que son maître, il n’a jamais été plus intelligent que son maître. Son rôle est de trahir et de livrer sa proie à son maître. A l’heure du festin, c’est sous la table qu’il manifeste sa présence en brandissant sa queue afin que le maître ne l’oublie pas. Si celui-ci se nourrit de la bonne viande, le chien n’a droit qu’aux os.
Il y a dans notre pays, de nombreux Congolais qui jouent le rôle de chien. Ils applaudissent le maître en espérant qu’il les élèvera au rang de représentant, peutêtre à celui de ministre, d’ambassadeur ou quelque chose comme ça. Ils guettent des occasions et ils sont pleins de courtoisie même lorsque les leurs sont matraqués et tués. Ils flattent et ils flattent encore jusqu’au jour où ils sont récompensés. Ils quittent alors précipitamment le quartier de leur enfance pour aller vivre dans les quartiers huppés habités jadis par les colons, là où ils peuvent mieux se mettre du côté des bourreaux. Ceux-là sont les vrais ennemis du Congo et c’est contre ceux-là que le peuple doit agir pour priver les ennemis du Congo de leurs représentants locaux.
Depuis l’indépendance, les Occidentaux passent par les nationaux pour gouverner les pays africains et pour les piller. Il faut donc se débarrasser de ces « chiens de chasse » pour obliger les vrais bourreaux à négocier directement avec le peuple, car tant que le peuple ne parviendra pas à se séparer de tous ceux qui le maltraitent quotidiennement et qui le tuent, la guerre et l’exploitation illicite des richesses du Congo se poursuivront.
Pour se libérer, il y a trois étapes : l’observation, la prise de conscience et l’engagement. La troisième phase doit être menée avec une grande détermination. Cette dernière étape peut être longue et difficile. Il faut donc recourir à la stratégie – le discours n’étant pas toujours le seul et le meilleur moyen. Il faut également constituer des réseaux et faire en sorte que les rapports de force basculent en faveur du camp du peuple qui voudrait changer la réalité et sortir le pays de la dépendance.
Donc, après avoir observé et pris conscience, il faut agir, car sans action, on reste dans l’abstrait et dans la spéculation intellectuelle.
Concernant les frauduleuses élections en République démocratique du Congo. Après le premier hold-up électoral d'Alias Joseph Kabila Kanambe Kazembere Mtwale par son poulain Louis Michel, le 22 avril 2007, le professeur Fweley écrivait "La RDC en impasse !": Celui qui croit en l’avenir de son pays défend la cause de son peuple et il le protège contre toute agression extérieure.
En Afrique, la « science électorale » se construit et s’explique sur la base du patronage, du néo-patrimonialisme et du clientélisme. Pour gagner, il faut en plus des cadeaux, établir des alliances, nouer des amitiés solides, construire des réseaux, corrompre les représentants des électeurs et les différentes classes sociales (nobles, bourgeois, riches, pauvres, etc.) sans oublier de s’attirer la faveur des chefs spirituels – les prêtres et les pasteurs –; il faut approcher régulièrement les syndicats, les responsables des secteurs privés, les patrons d’entreprises, sans oublier les universités et la classe intellectuelle.
La possession du pouvoir se résume et se réduit à l’art de distribuer les postes politiques les plus importants dans le cercle de ses relations, non en fonction des compétences de chacun, mais plutôt en fonction du degré d’affinité, de soumission et de confiance envers le pourvoyeur des postes politiques. On comprend dès lors l’influence des hommes politiques sur leurs familles et dans leurs contrées.
Puissants personnages et puissants représentants du pouvoir central, riches, courtisés, jouissant du double prestige du titre et de la fortune, investis de l’autorité politique et matérielle, il leur est facile de faire sentir leur influence et d’imposer leur choix sur la population, par des promesses ou par la corruption. Les électeurs sont sous leur dépendance comme les pauvres et les ouvriers qui vivent sous la dépendance des riches et des patrons.
La « science électorale » cherche à expliquer le comportement électoral et le choix électoral, mais elle a également pour objet de réprimer les pratiques frauduleuses et les actes de corruption qui accompagnent les opérations électorales.
Elle exige ainsi la désignation des gardiens impartiaux, par lesquels se transmet et s’enrichit la connaissance des scrutins, qui privilégient l’intérêt supérieur de la nation, comme le Parlement de l’Ukraine l’a fait en décembre 2004 au moment où ce pays traversait les fraudes électorales les plus graves de son histoire, en rétablissant la vérité. Mais que faire lorsqu’une république bananière nomme des magistrats partiaux qui ne travaillent que pour les intérêts de celui qui les a nommés ? En d’autres termes, à qui le peuple doit-il s’adresser s’il découvre que les magistrats de la Cour suprême de Justice de leur pays sont immoraux et iniques, qu’ils ne disent pas la justice, qu’ils travaillent pour les intérêts d’une coterie là où ils doivent garantir la volonté générale ? Que doit faire un peuple, lorsqu’il découvre que la justice est inféodée au pouvoir exécutif et au chef de l’État et ne défend pas les intérêts des citoyens ? A qui le peuple doit-il s’adresser ? Doit-il très librement se faire justice tout en sachant qu’il sera écrasé par les chars de l’armée, que personne ne le protégera ni ne le défendra ou doit-il s’adresser à la justice communautaire, c’est-à-dire au Tribunal international de La Haye tout en sachant que même cette instance internationale de justice peut être pervertie et protéger les intérêts des grandes puissances qui financent son existence ? Que doit donc faire un peuple
Lorsqu’il découvre que les intérêts supérieurs de la nation ne sont protégés ni par la justice nationale et ni par la justice internationale ? Devant une telle réalité, peut-on reprocher à un peuple d’utiliser la rue ou un autre moyen pour se faire justice si les acteurs qui, par principe, doivent garantir et défendre les pratiques démocratiques, se mettent à servir uniquement les intérêts partisans ? Pour éviter les fraudes, le favoritisme et l’impunité, ne faudrait-il pas exiger que les juges, à tous les niveaux, soient élus au suffrage universel sur la base de leur moralité, parce que le système de nomination favorise largement le clientélisme et a déjà montré ses limites ?
Dans un système de nomination, ne doit-on pas s’attendre à ce que les juges décident toujours en faveur de la personne qui les a nommés ?
Avant sa mort, le cardinal Frédéric Etsou a laissé le message suivant au peuple congolais : « Nous, pasteurs du peuple de Dieu, avons une mission délicate et difficile, celle d’être serviteurs du Logos, serviteurs du Verbe Incarné, serviteurs de la Vérité et non du mensonge. Et cela, avec courage […] Ouvrons les yeux dans les diocèses pour voir la misère de notre peuple, ouvrons nos coeurs devant plus de millions de Congolais tués par une guerre inutile d’occupation. […] Comme tout le monde, nous disposons des informations sur les vrais résultats électoraux […] Ces résultats diffèrent de loin de la mascarade politique que nous venons de vivre le mercredi 15 novembre par la déclaration de la CEI et du verdict de la Cour suprême de Justice du lundi 27 novembre 2006. Nous ne devons pas entrer dans cette grande comédie […] Nous devons fermement condamner la logique dans laquelle la communauté internationale avec la complicité de quelques Congolais nous a enfermés […] Le message que cette communauté internationale nous flanque non seulement est fallacieux, mais également subtil et dangereux et contribue à l’hypothèque de notre pays. […] Dans les eaux troubles, les Congolais qui n’aiment pas le Congo se plaisent dans la corruption et dans un enrichissement scandaleux en dépit de la misère de nos populations. Nous, comme pasteurs, nous sommes avec le peuple et au service de la vérité. On ne peut pas, au nom de la violence et du mensonge, museler la bouche des serviteurs de la Parole qui ont le souci réel des populations congolaises si paupérisées ».
Lorsque l’armée a tiré à l’arme lourde sur 14 Ambassadeurs du CIAT, dont celui de la Belgique, le monde politique occidental est resté indifférent. La Cour suprême de Juste n’a rien dit. Pas une seule protestation. Tout s’est passé comme si le président actuel de la RD Congo a obtenu de ses parrains un permis de tuer. Dans des circonstances analogues, l’armée a tiré sur les paisibles citoyens du Bas-Kongo, membres de la secte corruption lors des élections sénatoriales. La Cour suprême de Justice, inféodée au pouvoir, n’a vu la faute que du côté de ceux qui protestaient. Elle n’a pas condamné ceux qui ont organisé les fraudes. Lors des accrochages entre les milices du président et celles du sénateur Jean-Pierre Bemba, des civils ont été tués mais la Cour suprême de Justice ne s’est pas intéressée à eux et à leurs familles. Dans plusieurs autres circonstances, la Cour suprême n’a pas pratiqué la justice qui est sa mission.
De nombreux Congolais croupissent dans les prisons et attendent leur procès, mais l’on sait d’ores et déjà le sort qui leur sera réservé et la protection que le pouvoir recevra. Les hommes de main du pouvoir continueront à opérer dans l’ombre sans s’inquiéter outre mesure des conséquences des leurs actes. Dès lors, que doit-on penser de la Cour suprême de Justice en RD Congo ?
Malgré le courage du mea culpa du cardinal Frédéric Etsou, les Congolais n’ont maintenant aucun moyen de changer les résultats électoraux. Alors et encore, cette éternelle question d’ordre juridique : « A qui un peuple doit-il s’adresser lorsqu’il découvre que le pouvoir judiciaire de son pays a cessé d’être juste, qu’il est corrompu et est au service du pouvoir politique ?
19. Paul Kahumbu Ntumba, meilleur ancien engagé dans la résistance congolaise !

Elu, Paul Kahumbu Ntumba a dirigé le Conseil National de résistance congolaise (CNRC). A la fin de son mandat, il a tout fait pour une passation de pouvoir avec le nouveau Coordonateur. Ancien président de l'Udps en Suisse, Paul Kahumbu Ntumba a tourné cette page et n'y reveint plus. Pour avoir dénoncé dans en 2011, la réunion de Bruxelles entre Etienne Tshisekedi-Léonbitch Kengo wa Dondo, Paul Kahumbu Ntumba n'a pas que des amis. On ne critique pas Etienne Tshisekedi, les "Ayatollahs, Talibans et autres tribalo-ethniques veillent. Paul Kahumbu Ntumba a eu le courage de critiquer cette réunion des "Baloki Ya Congo". Arrivée à Kinshasa, Léonbitch Kengo Wa Dondo, l'édenté de la Gare du Nord, a simplement renié le deal du soutien à Etienne Tshisekedi. La Tutsi Power avait fait son boulot.

20. Charlie Mingiedi Mbala, meilleur fédérateur de la communauté congolaise en Afrique du Sud !


La communauté Congolaise d`Afrique du Sud souffre énormément de l`existence de nombreuses fractures dans son sein. Ces fractures sont un frein à l'unité.
La CCRSA se veut donc être porteuse d`espoir de la capacité des Congolais à prendre en main leur destin et à dépasser, avec sagesse et pragmatisme, ses fractures pour construire une communauté harmonieuse et dotée d`un futur viable.
21. Patrick Yombi, meilleur professeur et enseignant pour réveiller la diaspora congolaise !

14 février 2019. La naïveté et la maladresse, de la déclaration alambiquée par Tshilombo sur les réfugiés politiques, avaient révolté : le professeur Patrick Thona Yiombi en Corée du Sud. Sa révolte avait enflammé la diaspora congolaise sur les réseaux sociaux. Les 146 mots ci-après que Tshilombo avait déclaré au Kenya a envoyé une onde de choc dans la diaspora. Comment se fait-il qu'un président bénéficiaire d'une nomination électorale qui n'a pas encore de domicile, sans aucune contrôle des organes de sécurités, sans aucune préparation pour accueillir les refugies pouvait-il déclarer que: "L’exil, c’est fini ! Les réfugiés politiques, c’est fini ! Tous les Congolais doivent rentrer à la maison. Il y a de la place. S’il y en a qui ont fait du mal, les victimes vont saisir les juridictions compétentes et on va ouvrir leurs dossiers. Mais, plus jamais, nous allons faire fuir nos compatriotes. Ils vivent à l’étranger dans des conditions difficiles".

Pantin , Tshilombo ne répondait qu'aux requêtes de ceux qui l'avaient nommé. Les Rwandais souffrent de la diaspora congolaise. En exigeant le retour de la diaspora, n'avait pour seul but d'affaiblir la résistance congolaise. Depuis le professeur Patrick Yombi est le chouchou de la diaspora. Il anime des émissions pour mobiliser la diaspora congolaise.
22. Pasteur Joel Konde, meilleur sensibilisateur de la diaspora !

S'engager pour la sortie de son pays du gouffre est aussi un sacerdoce. La République démocratique du Congo n'est pas normal. Le berger sort pour aller chercher les brebis égarées. Les politicailleurs-ventriotes sont tous les dimanches dans les églises. La question est simple pourquoi n'arrivent-ils pas à appliquer les Evangiles pour la transformation de leur vie ? Ils sont corrompus, méprisants , ennemis du peuple...tout le contraire de la recommandation de l'amour du prochain.

Serviteur de Dieu au service de son peuple. Pasteur Joel Konde joue son rôle de sentinelle. Il avertit la diaspora sur ce qui se trame dans les hauts sphères.
23. Westhi Welimo Epondja éveilleur de conscience patriotique dans la diaspora !

Depuis la nomination électorale de Tshilombo par deal, nombreux ceux qui ne font plus des directs comme avant. La mangeoire Tshilombienne a appâté plus d'un. Il y a ceux qui resiste. Patrick Wetshi Welimo Epondja est un vrai résistant. Il est le plus actif et pacifique de la résistance congolaise. Il s'époumone nuits et jours pour informer à la communauté. Il ne s'arrête pas aux critiques, il fait des propositions concrètes. Toujours un grand plaisir de suivre ses directs sur les réseaux sociaux.

24. Babin Masombo, meilleur combattant et résilience dans la lutte !

Il est l'un des résistants congolais qui se bat pour ses convictions sans corruption et par amour pour son peuple et son pays, la RDC. Il a beaucoup perdu mais , il est toujours debout. Babin Masombo est très courageux.

25. Yves Malou, meilleur groupe Facebook rassembleur de la communauté congolaise !

Kinshasa Makambo est le meilleur groupe Facebook avec plus d'1 million 500 mille membre. qui rassemble les Congolais de la diaspora et ceux restés au pays. Son fondateur Yves Malou vit en Irlande depuis 17 ans. Kinshasa Makambo est devenu une fondation qui soutien, les veuves, orphelins et sinistrés. Yves Malou et Kinshasa Makambo assistent des artistes: musiciens et comédiens. La liberté d'expression s'arrête là où commence la vérité qui dérange. "Quand la vérité n'est pas libre, la liberté n'est pas vraie"-Jacques Prévert. Pour l'année 2020 finissant, La palme d'or de la liberté d'expression revient à Yves Malou de Kinshasa Makambo, groupe Facebook de plus 1 million 500 mille Congolais, de la diaspora et ceux restés au pays.

26. Patrick Tshibangu, meilleur gardien du temple de la résistance.

François Mbuku a été chassé de la résistance congolaise.
