Kinshasa: Pas des questions au Führer Paul Kagame ni à son Maréchal Pétain Tshilombo
samedi 27 novembre 2021, 22:07 Freddy Mulongo Lien permanent
Kinshasa: Pas des questions au Führer Paul Kagame ni à son Maréchal Pétain Tshilombo
Freddy Mulongo Mukena, Réveil FM International
Nous pouvons reprendre les propos de Rama Yade concernant le Führer Kagame à Kinshasa : " Notre pays n'est pas un paillasson sur lequel un dirigeant terroriste peut venir s'essuyer les pieds du sang de ses forfaits". Bourreau de notre peuple, pillard et receleur de nos ressources, Hitler Noir Paul Kagamé a marché sur le tapis rouge, rouge du sang de nos martyrs. Pas des questions de journalistes.

Rejeté par ses fabricateurs anglo-saxons et américains, le Führer Noir Paul Kagame était à Kinshasa, le 25 novembre pour montrer à ses anciens patrons prédateurs qu'il dirige la RDC. C'est lui le Chief ! Paul Kagame, bourreau du peuple Kongo, avec 18 millions de morts, pillard et receleur des ressources du Kongo, était à Kinshasa invité par son laquais, le Maréchal Pétain Bizimungu Tshilombo Tshintuntu Fakwa.
Le mausolée de M'Zée Laurent-Désiré Kabila au dos, Hitler africain Paul Kagamé s'est essuyé ses pieds ensanglantés du sang du peuple Kongo, sur le tapis rouge et a même passé la garde républicaine en revue au palais de la Nation, il était suivi très loin derrière par son pantin-marionnette Tshilombo Tshintuntu le Fakwa. M'Zée Laurent-Désiré Kabila avait laissé un testament au peuple Kongo: "Chaque fils et fille Kongo doit défendre son pays avec ce qu'il a entre les mains. Face à une guerre d'agression-invasion, battez-vous et défendez-vous. N'acceptez pas de devenir des esclaves dans votre propre pays".
Le Kongo est sous occupation ougando-rwandaise. Après le point de presse commun, le Führer Paul Kagame et son Maréchal Pétain Tshilombo ont refusé aux journalistes présents de poser leurs questions. Quel mépris pour les journalistes. Les deux dealeurs cachent le soleil avec leurs mains. Pourquoi
Tshilombo Tshintuntu est coupable de haute trahison et sera frappé d'indignité nationale par Bakolo Kongo,Bana Bilaka, Bana Elonga Ya KIMBANGU DIANTUNGUNUA !
Le 24 octobre 1940, le maréchal Pétain rencontre pour la première fois Hitler et son ministre des Affaires étrangères dans la gare de Montoire-sur-le-Loir (Loir-et-Cher). Après une poignée de main échangée entre les deux hommes sur le quai, la discussion se déroule dans un wagon du train personnel du Führer. Précédée et préparée par la rencontre du 22 octobre entre Pierre Laval (alors ministre des Affaires étrangères), Hitler et von Ribbentrop, cette entrevue visant à préciser les principes de la collaboration du gouvernement français avec l’Allemagne nazie n’a pas de caractère officiel et ne débouche sur aucune mesure précise.
Elle comporte toutefois une forte valeur symbolique, qui lui confère une importance historique et politique. Une entrevue qui consacre la collaboration du régime de Vichy. Quelques mois après la débâcle française et la signature de l'armistice, le 22 juin, Hitler traverse la France en secret pour se rendre à Hendaye, à quelques kilomètres de la frontière franco-espagnole, où il doit s'entretenir avec le dictateur espagnol Franco. Sur le chemin du retour et à la suite d'une rencontre, deux jours auparavant, avec le vice-président du Conseil sous le régime de Vichy, Pierre Laval, il est convenu que le Führer réalise une escale pour voir le maréchal Pétain. C'est dans son train privé, arrêté à la gare de Montoire-sur-le-Loir (Loir-et-Cher), au nord de Tours, qu'Hitler s'entretient donc avec le chef de l'Etat français.
Bien qu'aucun accord politique ne soit réellement trouvé (la question d'une alliance contre l'Angleterre n'aboutit pas), la rencontre est largement médiatisée par le ministère de la propagande allemande qui en orchestre la mise en scène. Ainsi, cette poignée de main échangée à Montoire marque définitivement les esprits, symbolisant le début d'une des périodes les plus sombres de notre Histoire : la collaboration entre le régime de Vichy et le 3e Reich.
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