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mardi 4 avril 2017

Bordeaux. Des jeunes étudiants visibles et engagés de la diaspora africaine !

Riana, étudiante et bénévole des journées nationales des diasporas africaines

Chaque année, le continent africain élit domicile à  Bordeaux, dans le sud-ouest de la France. Aujourd`hui dans un monde globalisé, nous devons donc être à  la fois des citoyens à  part entière pour nos propres pays, mais aussi des citoyens à  part entière pour le monde où nous habitons. C'est-à -dire qu`il faut être utile à  la fois à  son pays d'origine et au pays d'adoption. Dans l'équipe d'accueil des journées nationales des diasporas africaines, plus des filles que des garçons...tous universitaires, tous arborant un T-shirt blanc avec un badge.

Ils sont nés en France, ils sont fiers d'être Français. Ils sont noires avec des mentalités françaises: A l'heure pour accueillir les invités des journées nationales des diasporas africaines. Ils font leur job avec empathie. Ils sont pour la majorité des étudiants à  l'université de Bordeaux. Une trentaine de jeunes ont donné de leurs temps aux journées nationales des diasporas africaines. Impossible de retenir le nom de chacun mais des très bons souvenirs, l'avenir est assuré. Bordeaux a la réputation d`être calme, tranquille. Bordeaux a une certaine légitimité de "parrainer" les journées nationales des diasporas africaines. Bordeaux a une longue tradition de relations économique, universitaire et humaine : Il y a une forte communauté africaine à  Bordeaux, mais aussi une présence bordelaise en Afrique.

Il n`est pas réaliste d`envisager que les diasporas africaines vont revenir sur le continent pour y être absorbées. Elles ne reviendront pas, car elles sont bien installées là  où elles sont. Au contraire, il faut plutà´t considérer l`exode des cerveaux comme une chance pour les possibles africains.

Chaque composante des diasporas africaines doit se poser la question de savoir, à  partir de l`endroit où je suis, qu`est-ce que je peux faire pour mon continent.

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dimanche 2 avril 2017

JNDA 2017 à  Bordeaux: Moïse Katumbi demande une minute de silence pour les massacrés du Kasaï et rencontre la communauté congolaise !

Moïse Katumbi à  la Mairie de Bordeaux pour les journées nationales des diasporas africaines

Contrairement aux ministres du régime d'imposture de la République démocratique du Congo qui rasent les murs, se déguisent et cachent lorsqu'ils sont viennent en France, Moïse Katumbi l'ancien gouverneur du Katanga et candidat déclaré à  l'élection présidentielle se promène sans cohorte de gardes de corps. En marge des journées nationales des diasporas africaines, la communauté congolaise de Bordeaux a désiré rencontré Moïse Katumbi, sans protocole cela a été fait. Cela c'est passé dans un climat paisible.

Invité d'honneur aux journées nationales des diasporas africaines-JNDA 2017 à  Bordeaux, en patriote Moïse Katumbi a demandé une minute de silence pour les massacrés du Kasaï en République démocratique du Congo avant de débuter son allocution. Il est vrai que la RDC apparaît comme un Enfer à  ciel avec des viols de femmes congolaises utilisés comme arme de guerre, des populations congolaises déplacées devenues des réfugiés dans leur propre pays, des crimes à  Beni-Butembo, des tueries dans le Kongo-Central et des massacres au Kasaï...

Des jeunes kasaïens sont zigouillés maison par maison, leur crime faire partie de la jeunesse, l'avenir et la relève d'un pays. La protection des congolais est la moindre de préoccupation des politicailleurs ventriotes dont le régime d'usurpation est autiste dont l'objectif est avant tout est l'enrichissement personne. Aucune institution est légitime en République démocratique du Congo. Le Président de la République n'a plus de légitimité depuis le 19 décembre à  23h59, les députés et sénateurs godillots, applaudisseurs corrompus n'ont plus de légitimité depuis le 5 février dernier. Bizarre pour un pays , qui est membre de l'ONU qui ne respecte jamais rien.

Des congolais qui vivent à  l'étranger aiment leur pays la RDC. Ce sont eux qui nourrissent, scolarisent et font soigner des familles restées au pays. Les autres africains votent dans leurs ambassades, les Congolais de la RDC n'ont aucun droit dans leur pays d'origine sauf le droit d'aider la famille restée au pays de la dictature. Comment encourager les congolais qui veulent retourner au Congo de le faire ? La République est un pays adémocratique qui ignore tout, ou une partie des principes démocratique ! Un régime adémocratique relève de la gouvernance légale, non transparente (occulte) par des acteurs non légitimes du fait de leur nature, car non indépendants économiquement, non élus démocratiquement, les décisions sont insuffisamment participatives, ne respectant pas l`Etat de droit et les lois, ne permettant pas l`égalité des conditions.

Aux compatriotes congolais qui lui expliquent le parcours de combattant pour investir en RDC, Moïse Katumbi réplique qu'il est lui même aussi un exilé forcé et signifie aux compatriotes les difficultés qui ont été les siennes en tant que gouverneur du Katanga. Il a écrit plus de 2000 lettres au gouvernement central et n'a reçu que 16 réponses. Il est devenu la bête noire puisqu'il a toujours sur la rétrocession constitutionnelle de 40 % du gouvernement central aux provinces. Comme le Katanga était tropgrand et revendicatif, le régime à  appliquer une résolution qui n'était vraiment prioritaire le régime a subdivisé les 11 provinces qui sont devenus au nombre de 26 ! Certaines provincettes n'ont ni bà¢timent administratif, ni budget de fonctionnement, même pas un vélo pour le gouvernorat !

"Ne coupez jamais le pont avec le Congo" ! Henry Lopez, l'ancien ambassadeur et écrivain en parlant de deux Congo a utilisé l'image de la 2CV pour le Congo-Brazzaville et la grosse Mercedès pour la République démocratique du Congo, pour sa grandeur, densité...Ce qu'a renchérit tout de suite Moïse Katumbi que la Mercèdes était sans carburant qui est le manque de volonté politique de la faire rouler mais le moteur, c'est la population congolaise déterminée avec ses atouts et potentialités du pays finiront par permettre à  la grosse de rouler enfin.

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vendredi 31 mars 2017

Bordeaux: Alain Juppé ouvre les journées nationales des diasporas africaines !

Alain Juppé ouvre les journées nationales des diasporas africaines à  Bordeaux

La 5ème édition des journées nationales des diasporas africaines est dédiée aux femmes. Pour Alain Juppé, maire de Bordeaux, président de bordeaux métropole et ancien Premier ministre: "Bordeaux et l'Afrique partagent une communauté de destin basée sur des liens historiques, culturels, économiques, universitaires et humains. L'année dernière,la journée dédiée aux femmes de la diaspora,actrices du développement, a montré combien elles jouent et joueront un rà´le important.

Je salue la fidélité de Dénise Epoté, directrice de TV5 Monde Afrique, qui revient cette année en tant que présidente d'honneur de cette journée femmes. Et je suis heureux d'accueillir Leila Aïchi, une femme engagée, sénatrice et avocate, marraine de cette édition 2017. Je crois profondément que le continent africain est la grande puissance de demain.

Depuis des siècles, les Africains sont présents partout dans le monde et l'Afrique a connu tant d'influences étrangères que c'est aujourd'hui le continent le mieux à  même de répondre aux défis de la mondialisation. Je remerie mon adjoint Pierre De Gaetan Njikam Mouliom, initiateur de ces journées nationales des diasporas africaines qui perpétuent nos liens avec Bordeaux et les renforcent.

Comme il le dit, "Bordeaux accueille des communautés africaines qui arrivent avec un savoir-vivre communicable aux autres, partagent un capital humain et culturel avec les gens qui reçoivent, et c'est une vraie richesse pour notre ville".

Dans ce nouveau "temps de l'Afrique" où émergent des dynamiquent nouvelles, la parole des femmes des diasporas est particulièrement inspirante. je vous invite à  écouter leurs témoignages puissants et complémentaires car il nous revient à  tous, femmes et hommes, partout dans le monde, de lutter contre les stéréotypes et les injonctions collectives qui perpétuent les inégalités entre les sexes.

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