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mercredi 4 mai 2022

3 MAI 2022 : JOURNÉE MONDIALE DE LA LIBERTÉ DE LA PRESSE : CHARLES ONANA, UN DIGNE FILS D'AFRIQUE MIS EN EXAMEN POUR "NÉGATIONNISME"!

3 MAI 2022 : Journée mondiale de la liberté de la presse : Charles Onana, digne fils d'Afrique mis en examen pour Négationnisme !

Freddy Mulongo Mukena, Réveil FM International 

FB_IMG_1651635894595.jpg, mai 2022

Puisque Charles Onana est contraint au silence jusqu'à son procès et jugement, c'est à nous ses confrères et amis qui devront parler pour lui. Pourquoi cette mise en examen à la réélection du président Emmanuel Macron et non pas à son premier mandat ?

Paul Kagame, Hitler Noir va-t-il réussir à faire condamner Charles Onana pour mieux piller les ressources du Kongo ? Le génocide rwandais est son fonds de commerce, c'est son SATAN II pour museler des journalistes et bâillonner des universitaires. 

KONGO EST LA CHAMBRE À COUCHER DE MFUMU TATA KIMBANGU DIANTUNGUNUA ! LE SOL ET SOUS-SOL DU KONGO APPARTIENNENT À MVULUZI. 

Son ouvrage : "Rwanda : vérité sur l'opération turquoise" publié en 2019, Charles Onana l'a dédié à son ami, Pierre Péan, figure emblématique du journalisme d'enquête français, qui  a été à l’initiative de révélations sur le passé de François Mitterrand durant l’Occupation, ou encore sur la Françafrique et ses réseaux avec l’affaire des diamants de Bokassa. 

Charles Onana révèle dans "Rwanda : Vérité de l'opération turquoise" le "COUP D'ETAT CONTRE LE ZAÏRE DE MOBUTU SESE SEKO POUR MIEUX PILLER SES RESSOURCES PAR DES PAYS VOISINS : OUGANDA, RWANDA, BURUNDI des écrans des multinationaux prédateurs et pillards. 

Incroyable ! Paul Kagame Hitler Noir n'est pas seulement élancé, il a aussi des bras longs. Le Führer rwandais veut faire taire le politicologue, journaliste et écrivain, le très grand Charles Onana, un digne fils d'Afrique.

Charles Onana a un mental haut et moral d'acier. Il a décidé d'être du côté de la vérité. Elle coûte très chère, la vérité. Mais elle triomphe toujours face aux mensonges boutiquées pour nuire. 

Brillantissime, Charles Onana détricote minutieusement le fonds de commerce de Paul Kagame, Hitler Noir, bourreau du peuple Kongo, pillard et receleur des richesses et ressources Kongo. On doit parler du génocide des Rwandais car les Tutsis, Hutus et Twa ont été tués. Or pour le régime Kagamiste de Kigali, qui fait trembler les pays occidentaux, seuls les Tutsis ont été massacrés, tous les Hutus sont des génocidaires y compris ceux qui naissent pendant que j'écris ces lignes, quant aux Twa qui sont des pygmées, personne n'en parle. 

Son ouvrage "RWANDA : vérité sur l'opération turquoise" est le fruit de sa thèse académique défendue à l'université de Lyon. Les éminents professeurs se sont-ils trompés en lui octroyant une mention lors de sa défense de son doctorat en politique ? La France va-t-elle condamner ses propres professeurs rôdés dans l'exercice du savoir, qui exercent librement selon la dévise de la République : liberté-égalité-fraternité ? 

Le vrai "Négationniste", c'est Paul Kagame, Hitler Noir avec ses crimes contre l'humanité, crimes de génocide, crimes de terrorisme, crimes de guerre, crimes de sang au Kongo !

Le Führer rwandais, Paul Kagame a plus de 18 Millions de morts Kongo sur sa conscience. De morts pour rien que personne ne veut voir et parler. Les génocidés Kongo font partie de l'Empire du Silence. L'omerta est placé sur les crimes du Führer rwandais au Kongo. Ouvrir la marmite du génocide rwandais au Kongo pour piller ses ressources, c'est accepter la diabolisation et un procès pour "Négationnisme"! 

Chevalier de la vérité, Charles Onana n'a jamais tué personne. Criminel et génocidaire au Kongo, Paul Kagame, Hitler Noir est un NÉGATIONNISTE EN PUISSANCE QUI JOUIT DE TOUTES LES IMPUNITÉS. 

Laissez libre le Dr. Charles Onana !

Nous, Congolais disséminés à travers la planète, avons découvert avec stupeur et indignation, par un article signé par Raphaël Doridant intitulé « Charles Onana mis en examen », qu’une plainte a été déposée en justice en France contre le politologue, journaliste et écrivain franco-camerounais, et ce pour « négationnisme ».

Le but de cette action initiée par l’association Survie, très proche du régime de Kigali, n’est autre que de tenter de museler l’un des rares journalistes et écrivains en France à avoir enquêté courageusement sur les tragédies survenues dans la région des Grands-Lacs africains (Rwanda, Burundi et RDC, notamment) depuis le début des années 1990s et dans lesquelles l’implication du chef de l’État rwandais et son armée ne fait aucun doute. La commission d’enquête des Nations Unies de juin 1998, le Rapport Mapping (2010) et plusieurs autres, se basant sur un examen minutieux des preuves, établissent clairement que les atrocités commises principalement par Paul Kagame et son armée « pouvaient être considérées comme des actes de génocide », si elles étaient prouvées devant les juridictions compétentes. Bref, les thèses défendues par le chercheur Charles Onana relèvent des questions soulevées autant par les instances de l’ONU, des sociétés civiles (non-inféodées) de la sous-région des Grands-lacs que par la communauté scientifique…

En traquant inlassablement la vérité sur l’attentat terroriste dans lequel furent tués deux chefs d’État africains en exercice, Charles Onana fut le premier à publier un ouvrage en 2005 sous le titre « Les secrets du génocide rwandais, enquête sur les mystères d’un président ». Cette enquête journalistique fouillée qui imputait au FPR et à M. Kagame la responsabilité de l’attentat contre l’avion présidentiel avait déjà valu à l’époque une plainte de l’État rwandais et de Paul Kagame contre M. Onana. Mais, avant la tenue du procès, les plaignants avaient retiré leur plainte devant les preuves solides et accablantes déposées par les avocats d’Onana. Sauf que depuis lors, en poursuivant ses recherches solidement documentées sur les enjeux cachés de la guerre du Rwanda, publiant près d’une dizaine d’ouvrages sur le sujet, le Dr. Onana était devenu un homme à abattre pour le régime de Kigali et ses relais occidentaux dont Survie fait partie.

Il est important de souligner que l’ouvrage « La vérité sur l’opération Turquoise » qui est aujourd’hui attaqué est le fruit de la thèse de doctorat défendue par Charles Onana en 2017 à l’université de Lyon devant un jury international qui en a reconnu toutes les qualités scientifiques. Dans ce livre, l’auteur explore justement l’un des enjeux géopolitiques majeurs de la guerre du Rwanda de 1994, à savoir : faire avancer, via le rôle de « proxy », l’intérêt des États-Unis pour les immenses richesses naturelles de la République démocratique du Congo. Le Congo en a payé un lourd tribut en termes de millions de morts, de viols, massacres et de pillage éhonté de ses ressources, ce dont témoigne entre autres le « rapport Mapping » des experts de l’ONU qui démontre le rôle de l’APR et de Paul Kagame dans ces crimes de guerre, crimes contre l’humanité et probablement crimes de génocide commis au Congo, au moins jusqu’en 2003.

Il est clair que de la tragédie rwandaise de 1994 « reste un certain nombre de zones d’ombre ».  Les enquêtes du docteur Onana apportent une contribution importante qui ne peut que déranger ceux/celles dont la conscience ne serait pas tranquille pour des raisons faciles à constater. Par ailleurs, comme le fait observer René Lemarchand (« Rwanda : État des recherches » (2013 : https://www.sciencespo.fr/mass-violence-war-massacre-resistance/fr/document/rwanda-etat-des-recherches.html), « la prise de Kigali par le FPR (Front Patriotique Rwandais) de Paul Kagame, le 4 juillet 1994 a marqué la fin des tueries de Tutsi, mais non celles de Hutu. De même qu’au cours de la guerre civile, de nombreux civils hutus avaient été délibérément massacrés par les troupes du FPR – un fait confirmé par le rapport Gersony, du nom du fonctionnaire des Nations Unies qui a enquêté sur les tueries –, après la défaite des génocidaires, un nombre encore plus élevé de Hutu ont perdu la vie à l’intérieur et à l’extérieur des frontières du Rwanda du fait du FPR (Alison Des Forges, Aucun témoin ne doit survivre : le génocide au Rwanda, 1999, 726-34).

Nous dénonçons les tentatives d’instrumentalisation de la justice destinées à faire diversion sur les crimes de Kagame au Rwanda et au Congo, en voulant faire taire l’un des rares chercheurs le plus rigoureux sur la tragédie dans la région des Grands Lacs qu’est Charles Onana. On ne peut que s’interroger : pourquoi veut-on taire la recherche de la vérité sur une tragédie qui contient encore des questions irrésolues et dont les mêmes acteurs impliqués jadis au Rwanda continuent à endeuiller la région des Grands Lacs en toute impunité à ce jour ? Nous exhortons les juges français à dire le droit en toute indépendance, et d’assurer à Charles Onana, à qui nous exprimons notre sympathie et notre total soutien, la liberté de poursuivre ses investigations sur ce sujet qui n’a pas livré tous ses secrets à l’humanité.

Le comité de soutien de Charles Onana.

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mardi 8 février 2022

BENA MPUKA : CHARLES ONANA, UN DIGNE FILS DE MAMA KONGO ET MAMA AFRIKA KATIOPA !

BENA MPUKA : CHARLES ONANA, UN DIGNE FILS DE MAMA KONGO ET DE MAMA AFRIKA KATIOPA !

Freddy Mulongo Mukena, Réveil FM International 

ob_5e1e6d_freddy-mulongo-onana.jpg, fév. 2022

Pour l'encourager et le consoler, j'appelle Charles Onana "MUANA YA LEMBA"!  LEMBA est la commune des intellectuels de la capitale Kongo, par sa proximité avec l'université de Kinshasa (UNIKIN). 

Brillantissime, Charles Onana détricote minutieusement le fonds de commerce de Paul Kagame, Hitler Noir, bourreau du peuple Kongo, pillard et receleur des richesses et ressources Kongo. On doit parler du génocide des Rwandais car les Tutsis, Hutus et Twa ont été tués. Or pour le régime Kagamiste de Kigali, qui fait trembler les pays occidentaux, seuls les Tutsis ont été massacrés, tous les Hutus sont des génocidaires y compris ceux qui naissent pendant que j'écris ces lignes, quant aux Twa qui sont des pygmées, personne n'en parle. 

 Charles Onana est interdit de passer dans tous les Médias publics en France à cause de sa lutte acharnée pour la reconnaissance du Kongo-Zaïre comme pays agressé, envahi et pillé par ses voisins: le Rwanda, Burundi et l'Ouganda. 

Journaliste et politologue, Charles Onana, Franco-Camerounais, n'a jamais mis ses pieds au Kongo, il est le plus grand défenseur du Kongo en France. Il porte bien le flambeau que lui a laissé son ami :  Pierre Péan. Le jour de l'enterrement de Péan, il l'a accompagné jusqu'au bout. 

Homme des convictions, il défend les valeurs. Charles Onana est le premier à avoir levé la voix par ses écrits que le président Mobutu du Zaïre a connu "UN COUP D'ÉTAT" des pays voisins pour mieux piller ses richesses et ressources.

Charles Onana a un mental haut et moral d'acier. Il a décidé d'être du côté de la vérité. Elle coûte très chère.

Il est diabolisé comme étant un négationniste du génocide des Tutsi au Rwanda. Si Paul Kagame, Hitler Noir et bourreau du peuple Kongo est en quête des têtes de ceux qui réveille sa conscience et l'empêche de dormir, celle de Charles Onana n'est loin.

La majorité de mes articles sur Charles Onana Blog Mediapart on été dépubliés. La fameuse association "Communauté Rwandaise de France" qui ne représente que des femmes Tutsies qui ont épousé des Français a tenté un procès contre moi.

A Erevan en Arménie, lors du Sommet de la Francophonie où la Kagamiste et ministre des affaires étrangères du Rwanda, Louise Mushikiwabo a été désignée pour succéder à la Canadienne Michaël Jean, au secrétariat général... A la conférence de presse, j'ai été privé de parole. Il ne fallait pas qu'un journaliste Kongo pose la question à une rwandaise, dont le pays avait éjecté le français comme langue officielle, le Rwanda où les journalistes n'ont pas droit de s'exprimer librement.

Permettre à Charles Onana de s'exprimer librement, c'est parfois s'exposer aux ennuis. Souvent ce sont des journalistes africains qui sont instrumentalisés par des mentors coloniaux tireurs de ficelles et leurs petits couteaux suisses, pour s'attaquer au cheval blanc:  Charles Onana !

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mardi 10 mars 2020

Paris: Des fanfarons du régime oppressionniste de Kigali ont échoué la conférence sur les grands Lacs a eu lieu au Sénat !

Paris: Des fanfarons du régime oppressionniste de Kigali ont échoué ! La conférence sur les Grands Lacs a eu lieu au Sénat !

Freddy Mulongo, Réveil FM International
Freddy Mulongo-Sénat.jpg, mar. 2020

Mensonges et Manipulations des extrémistes Rwandais pro-Kagamé. Ils récusent la vérité des autres et ne veulent que la leur. Or la vérité vient toujours par l'escalier pendant les affabulations empruntent l'ascenseur. Hier, des Fanfarons du régime oppressionniste de Kigali n'ont cessé de vilipender la France par des tweeters . Les des extrémistes Rwandais pro-dictature Kagamiste et leurs affidés refusent le débat, à croire qu'ils ont des choses à cacher. Prévu le lundi 9 mars, au Palais de Luxembourg, siège du Sénat français, la conférence intitulé: "L'Afrique des Grands Lacs, 60 ans de tragique instabilité" s'est déroulé comme prévu. Les demandes du président du Sénat rwandais et celles des associations de victimes du génocide des Rwandais Tutsi  n'ont pas suffi ! 

Freddy Mulongo-Ibuka.jpg, mar. 2020

Les extrémistes Rwandais s'accrochent au génocide comme un bouée de sauvetage. Victimes d'agression-invasion, pillages et recels des ressources de la part du régime Hitlérien de Paul Kagamé, les Congolais veulent la réactivation du Mapping Report des Nations Unies  afin que des noms soient cités et des accusations engagées contre ces personnes, et cela au plus tard en mai 2020 en prévision du Sommet France Afrique de juin 2020 à Bordeaux.

Les demandes du président du Sénat rwandais et celles des associations de victimes du génocide des Tutsi n’ont pas suffi. Le colloque intitulé « L’Afrique des Grands-Lacs, 60 ans de tragique instabilité » s’est déroulé comme prévu, lundi 9 mars, au Sénat français. 

Sénat français : colloque sur l'Afrique des grands lacs: 60 ans de tragique instabilité

Ce 9 mars 2020, au cours de ce colloque de haut niveau auquel j'ai, personnellement pris part, c'était une véritable douche froide contre le pouvoir rwandais déstabilisateur du Congo et de l'Afrique centrale. Malgré l'opposition du lobbyng tutsi qui a saisi les autorités françaises et demandé l'annulation, le colloque a bel et bien eu lieu au grand dam du régime de Kigali. Au cours de celui-ci, d'éminents chercheurs et des politiques ont fait le point sur les conflits qui dévastent cette région dite "de grands lacs" depuis 60 ans et, ont analysé les intérêts géopolitiques et économiques, les ambitions régionales et les groupes de pression actifs dans cette partie de l'Afrique. 

 
La bonne nouvelle, c'est que la vérité commence à faire petit à petit son chemin. La responsabilité notamment du Rwanda et l'Ouganda dans les massacres, viols, pillages en RDC a été démontré scientiquement et aussi politiquement. Les intimidations et menaces des intervenants n'ont rien empêché. Le mensonge des politiciens rwando-ougandais ont été étalés au grand jour au coeur même du pouvoir français au Sénat. Les patriotes congolais ont saisi l'opportunité pour interpeller la France de ne pas faire assez pour aider la RDC, le plus grand pays francophone déstabilisé par les anglo-saxons et d'avoir parachuté, une anglophone, à la tête de la francophonie favorisant ainsi l'hégémonie des anglo-saxons au détriment des francophones.


En matinée, après l'ouverture par l'ancien ministre, le sénateur Alain Richard et l'intervention du secrétaire Perpétuel de la société savante Académie d'Outre-mer française, une vidéo d'extrait du discours du Prix Nobel de la Paix, Dr Denis Mukwege a été projetée.

Ensuite, l'ambassadeur honoraire Johan Swinnen, Olivier Lanotte, ambassadeur honoraire Pierre Jacquemont et le prof. Isidore Ndaywel ont intervenu. A l'exception d'Olivier Lanotte qui a soutenu la thèse pro-Kagame d'inculpation supposée de la France au Rwanda, les autres intervenants ont éclairé les participants sur la réalité de ce que vivent les congolais au quotidien dans l'indifférence et complicité de la Communauté internationale. Je souligne l'intervention édifiante du prof. Ndaywel : il a relevé 34 contrevérités rwandaises et, cartographie à l 'appui, il a démontré qu'il n'y a jamais eu par le passé une portion du territoire congolais qui aurait appartenu au Rwanda avant 1885 (Conférence de Berlin) ajoutant même que s'il y avait de portion de territoire à réclamer, c'est plutôt la RDC qui pourrait le faire étant donné que le Rwanda dans ses frontières actuelles comprend une portion du territoire qui appartenait au Congo.


L'après-midi, c'était le tour de l'ancien ministre des Affaires étrangères français et secrétaire de l'Élysée Hubert Vedrine, ambassadeur honoraire le rwandais Jean-marie Vianney Ndagijimana, Mme l'américaine Helen Epstein, Mme la canadienne Judi Rever, le camerounais Charles Onana et deTimothy Reid de griller définitivement les criminels Kagame et Museveni, puis s'en est suivi la conclusion de l'ancien ministre de la défense française M. Gérard Longuet.


Je vous épargne du débat très enrichissant et révélateur des agendas cachés rwando-ougandais au Congo. La tenue de ce colloque est une victoire des intelligences acquises au changement de la gouvernance en Afrique centrale et hostiles aux mensonges véhiculés depuis deux décennies sur le leadership de Kagame et Museveni dans cette partie de l'Afrique. Dom-Martin Content Puludin-Facebook

La plupart des panélistes ont fustigé le Front patriotique rwandais (FPR), un groupe politico-militaire de rebelles tutsi qui infligea une défaite aux forces gouvernementales, mettant ainsi un terme au génocide dont le bilan s’élève à 800 000 morts selon l’ONU au sein de la minorité tutsi. Ils lui ont reproché, ainsi qu’à son leader Paul Kagame, président du Rwanda depuis 2000, d’avoir mené des massacres contre les Hutu lors de la reconquête du pays, puis sur le territoire de la République démocratique du Congo (RDC).

« Il n’y a pas de négation du génocide, a déclaré en préambule Hubert Védrine, secrétaire général de l’Elysée en 1994 puis ministre des affaires étrangères. Les débats portent sur les trois ou quatre millions de morts qu’il y a eus après, en République démocratique du Congo. Sur la question d’un double génocide [qui aurait été commis par les soldats tutsi du FPR contre les réfugiés hutu], il faut débattre. L’histoire est une révision permanente et c’est tout à l’honneur du Sénat d’organiser cette rencontre. »

Après avoir rendu hommage au journaliste Pierre Péan, décédé en juillet 2019 et auteur de plusieurs livres controversés sur la question rwandaise, Judi Rever a estimé que « la reconnaissance des souffrances et des crimes commis par les deux camps était essentielle pour la réconciliation et pour établir une vérité historique. » 

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dimanche 8 mars 2020

L'Afrique des Grands Lacs au Sénat français avec Denis Mukwege, Hubert Védrine, Charles Onana, judi Rever, Jean-Marie Vianney Ndagijimana...et plusieurs autres intervenants !

L'Afrique des Grands Lacs au Sénat français avec Denis Mukwege, Hubert Védrine, Charles Onana, judi Rever, Jean-Marie Vianney Ndagijimana...et plusieurs autres intervenants !

Freddy Mulongo, Réveil FM International

Freddy Mulongo-Denis Mukwege X.jpg, mar. 2020

La France est toujours pointé du doigt par des extrémistes Rwandais pro-dictature Kagamiste pour la salir, l'humilier et l'outrager comme le pays qui a laissé faire le génocide au Rwanda en 1994. Les pointeurs du doigt contre la France sont aphones et cyniques face régime totalitaire stalinien-Hitlérien de Paul Kagamé au Rwanda, qui est également bourreau du peuple congolais, avec 12 millions des morts, pillages et recels des ressources de la République démocratique du Congo.

Freddy Mulongo-Hubert Védrine.jpg, mar. 2020

Pays de droit, la France ouvre le Palais du Luxembourg, siège de son sénat pour la conférence dont les organisateurs qui a pour titre: " L’Afrique des Grands Lacs, soixante ans de tragiques instabilités". Les Africains doivent se montrer dignes pour cette conférence. Une occasion en or, pour ceux qui pérorent en cachette d'apporter des preuves contraires sur les écrits de Charles Onana, journaliste d'investigation et politologue, auteur de plusieurs ouvrages dont le dernier: Rwanda, la vérité de l'opération turquoise" et Judi Rever, journaliste Canadienne et auteur de l'ouvrage "In Praise of Blood", qui a gagné très rapidement une audience internationale. Il consiste en une double mise en accusation : celle du Front patriotique rwandais (FPR) et de son chef, Paul Kagame (actuel président du Rwanda), mais aussi celle des États et des institutions internationales, notamment le Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR), qui ont contribué à ce que les crimes commis par le FPR contre des civils hutus depuis 1990 demeurent impunis.

Freddy Mulongo-Charles Onana.jpg, mar. 2020

N'est pas conspirationniste qui veut ! N'est pas non plus Négationniste qui veut ! Il ne suffit pas de qualifier quelqu'un de Négationniste qu'il le devient. Surtout pas des journalistes qui ont l'art d'écrire et fouine dans des preuves.

Freddy Mulongo-Judi Rever 3.jpg, mar. 2020

C'est sur des preuves scientifiques décortiquées que reposent les ouvrages de Charles Onana et Judi Rever. Ceux qui adorent la contradiction et ont des preuves palpables n'ont qu'à participer à la conférence de demain. Dans le cas contraire, les Museleurs-Blablateurs idéologiques et professionnels qui se nourrissent aux mamelles du régime dictatoriale de Kigali, ne doivent plus continuer à museler tous ceux qui ne pensent pas comme eux.

Les populations des pays des Grands Lacs sont victimes des dirigeants autocrates, pillards et receleurs. Pour développer son pays a-t-on besoin des piller les ressources du pays voisin ? Demain, il ne faudra pas tourner autour du pot: les pillages de ressources de la République démocratique du Congo sont à la base de l'instabilité dans la région des Grands Lacs. Par quelle magie, le Rwanda qui n'a pas le Coltan dans son sous-sol, peut devenir le premier producteur de ce minerai coté en bourse en Grande-Bretagne ? Le Coltan n'est pas le champignon que l'on va cueillir dans la forêt quand on veut !

Lundi 9 mars 2020

L’Afrique des Grands Lacs : 60 ans de tragique instabilité

Avec le soutien du Docteur Mukwege, Prix Nobel de la Paix, et le parrainage de l’Académie des Sciences d’Outre-mer.
Animé par Vincent Hervouët

Le docteur Denis Mukwege, dans son discours de remise du prix Nobel de la Paix, le 10 décembre 2018, a demandé que cesse enfin l’impunité dont jouissent les coupables de crimes perpétrés dans la région des Grands Lacs.

L’objet de ce colloque est de faire le point sur les conflits qui dévastent cette région depuis 60 ans et d’analyser, grâce aux interventions de spécialistes internationaux, les intérêts géopolitiques et économiques, les ambitions régionales et les groupes de pression actifs dans cette partie de l’Afrique.

Adresse : Palais du Luxembourg 15, rue de Vaugirard 75006 PARIS
Salle Médicis […]

9h00 : Accueil
9h15 : Ouverture du colloque par le sénateur Alain Richard, ancien ministre .
Mot du secrétaire perpétuel de l’Académie des Sciences d’Outre Mer,
9h30-12h15 : Historique, constat, 60 ans de massacres, de violences de masse, de crimes contre l’humanité et de génocide.
Intervenants :
– Professeur Olivier Lanotte, docteur en sciences politiques (Belgique)
– Pierre Jacquemot, ancien Ambassadeur (France)
– Johan Swinnen, ambassadeur honoraire (Belgique)
– Timothy Reid, ancien cadre onusien, responsable du désarmement et des droits de l’homme dans la région des Grands Lacs (Canada)
– Isidore Ndaywel, historien, professeur émérite de l’université de Kinshasa
12h15-13h45 : Pause déjeuner
14h15-17h15: Analyses des enjeux politiques, économiques, judiciaires et de mémoire. Responsabilités régionales et internationales
– Hubert Védrine, ancien ministre des Affaires étrangères (France)
– Judi Rever, journaliste et auteure de l’ouvrage In Praise of Blood, the Crimes of the Rwandan Patriotic Front (Canada)
– Charles Onana, docteur en Sciences Politiques (France/Cameroun)
– Helen Epstein, professeur droits de l’homme au Bard College US (États-Unis)
– Jean-Marie Vianney Ndagijimana, ambassadeur, essayiste, spécialiste des conflits dans la région des Grands Lacs (France/Rwanda).
17h15 : Conclusion par le sénateur Gérard Longuet, ancien Ministre.

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lundi 2 mars 2020

RÉACTION AU REPORTAGE DE VOXAFRICA SUR LE BOTSWANA INTITULÉ:" L'AFRIQUE EST-ELLE MAUDITE ? "

TRIBUNE DE CHARLIE MINGIEDI

 Freddy Mulongo-VoxAfrica.png, mar. 2020
J'ai suivi religieusement ce reportage et avec beaucoup d'intérêts. Malheureusement là où le bât blesse, c'est la partie où le rapporteur de Voxafrica fait allusion au *RWANDA*. Je reprends ce que le rapporteur a dit pour vous donner une idée de mon indignation et surtout de ma colère: "À côté du Botswana, on peut parler des pays comme l'île Maurice, le Cap-Vert l'Éthiopie ... Oui l'Éthiopie , vous ne rêvez pas !!! Ce pays qu'il y a encore quelques années, était la honte du continent dévasté par la famine, est devenu grâce ses leaders une référence en Afrique et dans le monde. Bien entendu dans cette liste, nous ne pouvons pas oublier de citer le RWANDA. Ces pays ont en commun, le fait d'avoir eu a leur tête , à un moment donné dans leur histoire des dirigeants éclairés et soucieux de l'intérêt général." Fin de citation.
 Le Rwanda ne peut pas être citer parmi ces pays qui font la fierté de l'Afrique. Dire cela, signifierait cracher sur les 10 millions de congolais qui sont morts depuis l'invasion rwandaise sur notre territoire national au su et au vu de tous les pays du monde! Pour expliciter ce que je viens d'écrire, je m'en vais rappeler ce que mon estimé frère de lutte (que j'aime beaucoup) monsieur CHARLES ONANA a dit sur le plateau de Sputnik France où il a été reçu par une journaliste blanche pour parler de son livre: "RWANDA: LA VÉRITÉ SUR L'OPÉRATION TURQUOISE." Voici ce qu'il avait donné réponse à cette journaliste concernant le Rwanda qui est présenté comme le modèle de l'Afrique et étant [un modèle Ndlr ] sur le plan économique : " Non, mais ça c'est de la propagande d'ailleurs ! C'est qui sera intéressant, ce qu'on sache d'où... Écoutez !!!
 Quand on me parle du GHANA, on me dit que le Ghana est un pays qui se bat... C'est parce que le Ghana travaille qu'avec ses ressources. Le Ghana ne va pas piller les ressources de son voisin. Alors que le Rwanda, il faut qu'on nous dise d'où viennent les ressources du Rwanda pour faire ce qu'ils sont en train de faire au Rwanda. Je pense, que ce soit les occidentaux ou les Africains qui prennent le Rwanda comme modèle , il faut qu'ils demandent clairement d'où viennent les ressources du Rwanda pour construire ce pays. Si on viole des femmes à l'Est de la RDC et qu'on se tait ; Si on massacre les populations civiles ; Si on utilise les enfants dans les mines des diamants et de coltan; Si chaque jour les populations sont en instabilité permanente jusqu'à la tête du pays parce que le Rwanda mène des incursions qui sont aujourd'hui démontrées par la MONUSCO. Je pense que ce n'est pas très sérieux , ce n'est pas très correct. " Fin de citation. Après avoir suivi cette interview je m'attendais au licenciement de cette journaliste comme fut le cas de notre compatriote JACQUES MATAND journaliste de son état qui a eu juste le malheur de recevoir monsieur Charles Onana sur la radio BBC-AFRIQUE. 
J'ai vite réalisé que c'est le conseiller du tout puissant président du Rwanda Paul Kagame, qui est monsieur l'ex premier ministre britannique TONY BLAIR qui avait très bien fait son travail ignoble. J'interpelle les Africains d'arrêter de faire la politique de l'autruche vis-à-vis de tout ce que le Rwanda fait chez nous en RDC.

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vendredi 21 février 2020

Affaire Jacques Matand: BBC Afrique à Dakar, chien couchant du gouvernement rwandais, RSF dénonce le licenciement du journaliste !

Affaire Jacques Matand: BBC Afrique à Dakar, chien couchant du gouvernement rwandais, RSF dénonce le licenciement du journaliste !

Freddy Mulongo, Réveil FM International

freddy-mulongo-jacques-matand-2.jpg, fév. 2020

Devenu premier producteur du Coltan minerai qui ne se trouve pas dans son sol mais dont 85 % de la production se trouve en République démocratique du Congo, l'arrogance du Rwanda pillard et receleur des ressources du Congo devient insupportable.

Singapour de l'Afrique ? La Suisse de l'Afrique... des qualificatifs pompeux sont abusivements donnés au Rwanda, un pays dont le boum économique provient des rapines et des crimes contre l'humanité, crimes de sang et crimes de génocide au Congo.

Paul Kagame, Hitler Noir et bourreau du peuple congolais se croit tout permis. Son gouvernement mono-ethnique vient de faire virer le journaliste congolais Jacques Matand Diyambi de la BBC Afrique à cause de l'interview accordée à Charles Onana auteur de :"Rwanda, la vérité de l'opération Turquoise"!

Paul Kagame, dictateur Rwandais décide qui BBC Afrique peut interview ou non ! Lui le criminel sanguinaire se donne tous les pouvoirs et permet tout. Mais au nom de quoi peut-il interdite à un journaliste d'interviewé un autre journaliste qui de surcroît est un enquêteur et écrivain ? Depuis deux décennies la dictature rwandaise outrepasse ses tentacules. Il invective, assassine, tue, muselé, bâillonne en toute impunité hors de ses frontières, toutes les personnes qui dénoncent ce qui ne va pas. Pris la main dans le sac, avec le tollé que cela a occasionné, le gouvernement de Kigali dément qu'il n'a jamais fait pression sur BBC Afrique. A moins d'être naïf ! Quelle personne sensée peut-elle croire le régime sanguinaire rwandais ?

Voici le communiqué de RSF :

Licenciement d’un journaliste de BBC Afrique : RSF dénonce une décision disproportionnée et dangereuse

Un journaliste de la BBC Afrique a été licencié, pour une interview sur le génocide rwandais qui n’aurait pas plu au gouvernement du Rwanda. Reporters sans frontières (RSF) dénonce une sanction disproportionnée qui va contribuer à intimider les journalistes travaillant sur ce sujet sensible, y compris en dehors du Rwanda. Le journaliste congolais Jacques Matand Diyambi en service à BBC Afrique, à Dakar au Sénégal, a été licencié pour “faute grave”, suite à une interview réalisée en novembre 2019, avec l’écrivain franco-camerounais Charles Onana, qui venait de publier un livre sur le génocide rwandais : "Rwanda, la vérité sur l'opération Turquoise".

Dans la lettre de licenciement consultée par RSF, la direction de la BBC Afrique explique avoir reçu une “plainte” du gouvernement rwandais résultant de la diffusion de cette interview. Ce dernier aurait accusé la radio internationale d’avoir été “injuste, biaisée et inexacte” et indiqué qu’il se réservait le droit de “prendre des sanctions” contre la BBC.

Contacté par RSF, le secrétaire d’Etat au ministère rwandais des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe a déclaré que Kigali ‘’ne s’est jamais formellement plaint” de cette interview auprès de la BBC. “C’est un problème interne du groupe de presse britannique’’ a-t-il ajouté. Interrogé sur le contenu et l’existence de cette plainte, le service de presse de la BBC a répondu à RSF qu’il “ne commentait pas les questions liées à son personnel” et indiqué que tous ses journalistes devaient “se conformer au respect des standards éditoriaux rigoureux de la chaîne”.

‘’Cette décision est à la fois regrettable et disproportionnée, estime le directeur du bureau Afrique de l’ouest de RSF,Assane Diagne. Si la BBC estime que son journaliste a manqué à son devoir d’équilibre, il y avait bien d’autres façons de pouvoir lui signifier ou de faire entendre d’autres voix sans prendre une sanction aussi lourde.”

“Il est étonnant et dangereux qu’un média international réputé pour son indépendance cède aussi facilement aux pressions qu’auraient exercées le gouvernement rwandais, et ce d’autant plus que la BBC a elle même été victime de la censure à grande échelle de la part des autorités rwandaises contre celles et ceux qui s’écartent du discours officiel, estime pour sa part le responsable du bureau Afrique de RSF, Arnaud Froger. Cette décision contribue à terroriser les journalistes qui travaillent sur ce sujet sensible. Elle traduit aussi une dangereuse exportation de la politique de répression et d'intimidation contre le journalisme indépendant menée par les autorités rwandaises”.

Le licenciement a suscité une vague d’indignations. Au Sénégal, le Syndicat des professionnels de l’information et de la communication sociale (SYNPICS) dont Jacques Matand dirige la section BBC est monté au créneau pour dénoncer ‘’une fuite en avant de la rédactrice en chef, qui n’assume pas son rôle, de premier responsable de la diffusion de tout sujet ».

En République démocratique du Congo, pays d’origine du journaliste, le président de l’Union nationale de la presse du Congo (UNPC), Boucard Kasonga Tshilunde, a menacé d’inviter ‘’tous les Congolais à ne plus suivre’’ la BBC et les médias qui prennent le relais de ne plus le faire’’.

Les très populaires programmes de la BBC en kinyarwanda sont suspendus depuis 2014 au Rwanda à la suite de la diffusion d’un documentaire sur le génocide de 1994 qualifié de “négationniste” par les autorités rwandaise. L'enquête du média britannique soulevait notamment la thèse controversée d’une possible implication du président Paul Kagamé dans l’assassinat de son prédécesseur Juvénal Habyarimana, événement ayant déclenché le génocide qui a fait plus de 800 000 morts dans le pays.

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Francophonie: Le Rwanda fait virer un journaliste de la BBC Afrique à cause de l'interview accordée à Charles Onana auteur du :"Rwanda, la vérité de l'opération Turquoise"!

Francophonie: Le Rwanda fait virer un journaliste de la BBC Afrique à cause de l'interview accordée à Charles Onana auteur du :"Rwanda, la vérité de l'opération Turquoise"!

Freddy Mulongo, Réveil FM International

freddy-mulongo-louise-mushikiwabo.jpg, fév. 2020

Où allons nous avec une francophonie censeuse des écrivains francophones ? Depuis que l'ancienne Ministre des Affaires étrangères du Rwanda, Louise Mushikiwabo a été placée à la tête de l'OIF, elle est de marbre, ne bouge pas mais surtout aphone sur les atteintes à la liberté d'expression que son pays, le Rwanda s' offre en spectacle, muselant des caricaturistes par ici, bâillonnant des journalistes par là. La liberté d'expression est une valeur importante et universelle qui mérite d'être respectée par tous. Pourquoi Louise Mushikiwabo ne dénonce ni ne proteste contre des agissements anti-démocratiques de son pays le Rwanda contre l'espace francophone ?

freddy-mulongo-charles-onana-1.jpg, fév. 2020

Le Rwanda dictatorial tend ses tentacules partout. Paul Kagame, Hitler Noir et bourreau du peuple congolais fait plier des pays aux traditions démocratiques pour imposer sa vision alambiquée de la dictature. Le Rwanda vient de faire virer de la BBC, le journaliste congolais Jacques Matand Diyambi à cause de l'interview accordée à Charles Onana auteur du livre : "Rwanda, la vérité de l'opération Turquoise"!

Réfractaire à la critique, l'ogre de Kigali use et abuse des méthodes fortes. Il vient de noyer le Sénégal ! Pays de Léopold Sédar Senghor, père de la négritude et l'un des fondateurs de la Francophonie, Cheick Anta Diop, un savant, de Wade... d'Abdou Diouf, ancien Secrétaire Général de l'OIF et ancien président de la République ! C'est À Dakar, au Sénégal que la BBC Afrique s'est fourvoyée en licenciant le journaliste congolais.

freddy-mulongo-jacques-matand-1.jpg, fév. 2020

Pourquoi Charles Onana politicologue et journaliste doit-il subir un bannissement arbitraire dans l'espace francophone ? Contrairement à Paul Kagame, dictateur Rwandais, Charles Onana n'a jamais tué personne. Il n'a jamais organisé des rébellions pour piller et être receleur des ressources d'un pays africain. Onana n'a jamais dirigé un pays ni fait un coup d'état pour se faire intronisé ou adoubé. Charles Onana est un journaliste d'investigation expert des pays des Grands Lacs.

En France, un fameux avocat d'affaire de Pontoise , Richard Gisagara, membre influent Du FPR de Paul Kagame, s'est acharné de faire dépublier tous nos articles sur Charles Onana, pour "Négationnisme". Or le vrai "Négationniste" c'est Paul Kagame qui nie ses crimes de 12 millions de morts en République démocratique du Congo. Ses rébellions fabriquées, ses pillages et récels des ressources de la RDC.

Nous croyons que la Francophonie renferme des valeurs démocratiques qui sont universelles opposables à tous les membres. Bannir Charles Onana au lieu d'affronter ses écrits par des arguments, est un faux fuyant. Louis Mushikiwabo qui instrumentalise la fameuse "Communauté Rwandaise de France", une vraie nébuleuse, uniquement constituée que des Tutsis, sans Hutus ni Twa. C'est elle qui porte plainte et Richard Gisagara sort sa mise en demeure pour intimider et menacer chaque média qui donne la parole à Onana.

Nous sommes en France, nous n'allons pas nous laisser faire. Au Sénégal le bureau de la BBC Afrique doit s'arranger avec sa patate chaude. L'affaire Jacques Matand fait bouillonner l'Afrique. Il y en a qui préconise le boycott, d'autres veulent le retrait pur et simple du licenciement du journaliste.

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jeudi 20 février 2020

RDC: Jacques Matand Diyambi, journaliste congolais viré de la BBC Afrique pour avoir interviewé Charles Onana sur son livre: " Rwanda, la vérité sur l'opération Turquoise" !

RDC: Jacques Matand Diyambi, journaliste congolais viré de la BBC Afrique pour avoir interviewé Charles Onana sur son livre: " Rwanda, la vérité sur l'opération Turquoise" !

Freddy Mulongo, Réveil FM International

freddy-mulongo-charles-onana.jpg, fév. 2020





Médias indépendants, impartiaux et libres ? Mon oeil ! L'indépendance des médias publics occidentaux est une équation à plusieurs variantes. Croire que l'on a plus d'indépendance en travaillant pour des médias voix de leurs maîtres, c'est une chimère. Qui paye commande et tout est question d'intérêts. La vraie indépendance est celle de travailler entant qu'indépendant pour défendre des causes et convictions. Notre jeune confrère Jacques Matandi vient d'être licencier pour avoir accordé une interview à Charles Onana, journaliste-politicologue, expert des pays des Grands Lacs. Qui l'aurait cru ? La BBC censure ? Et oui, les anglo-saxons soutiennent, Paul Kagamé, Hiitler Noir, dictateur Rwandais et bourreau du peuple congolais. Avec ses plus de 12 millions de morts congolais, pillages et recels des ressources de la République démocratique du Congo par le Rwanda, pays frégate de leurs crimes sur le continent africain. Paul Kagame a acheté des journalistes et intellectuels occidentaux pour défendre à sa place des faussetés et mensonges made Kigali. Avec l'argent de ses crimes au Congo, l'ogre de Kigali fait taire tous les journalistes qui donnent la parole à Charles Onana, ami et porte flambeau de Pierre Péan, accusé faussement par des extrémistes sanguinaires tutsis de négationniste.

freddy-mulongo-jacques-matand.jpg, fév. 2020

Nous en savons quelque chose: Tous nos articles publiés sur Charles Onana sont dépubliés sur Mediapart ! La censure contre ce grand journaliste d'investigation, Charles Onana, est sournoise, virulente et abjecte. Pourquoi refuse-t-on l'autre son de cloche, tant enseignée dans les écoles de journalisme, à Charles Onana qui sonne allègrement sa cloche avec retentissement ? On ne cache pas le soleil avec sa main. La vérité est vérité. Elle est éternelle et intemporelle. Viré de la BBC Afrique, c'est encore Charles Onana qui vient à la rescousse de Jacques Matand: "Devant la difficulté à contredire les faits et les documents qui ont permis la réalisation de ce travail de recherche, certains ont préféré s'en prendre lâchement au journaliste Jacques Matand. C'est plutôt au livre de Charles Onana qu'il faut s'en prendre, pas à celui qui a posé des questions sur ce livre. Ce serait plus courageux, plus correcte si certains veulent réellement qu'on clarifie l'histoire de la tragédie du Rwanda et de la République Démocratique du Congo. Je dispose encore de dizaines de caisses de documents pour répondre point par point aux interrogations des uns et des autres. C'est peut-être de cela qu'on a peur" écrit-il.

La première réaction de Charles Onana sur sa page Facebook est celle-ci: "Chers amis, chers lecteurs, je n'ai pas l'habitude de lancer des appels publics mais cette fois, c'est très important et grave. Un journaliste d'origine congolaise, Jacques Matand, qui m'avait interviewé sur les antennes de la BBC sur mon dernier livre '' Rwanda, la vérité sur l'opération Turquoise Turquoise, vient d'être licencié simplement pour avoir fait correctement son travail de journaliste, suite aux menaces violentes du régime de Kigali sur la chaîne britannique. On lui reproche de m'avoir donné la parole sur la BBC. C'est son crime ! Manifestement, cet ouvrage met le régime rwandais en état de fébrilité extrême. Après avoir exercé des pressions sur la chaîne française TF1 puis LCI et mécontents de mes analyses et travaux sur le Rwanda, les dirigeants rwandais se déchaînent désormais contre la BBC et particulièrement contre Jacques Matand dont ils ont demandé et obtenu la tête. Ce n'est pas la première fois que Kigali exerce des pressions inqualifiables sur la BBC et ses journalistes, voulant que le silence continu de régner sur ses crimes au Rwanda et en République Démocratique du Congo. Ce licenciement est une action délibérée visant à empêcher les journalistes du monde entier de parler librement de la tragédie de 1994 au Rwanda ainsi que du pillage et de la balkanisation du Congo dont Kigali est aujourd'hui et depuis deux décennies l'épicentre. Ce licenciement n'est ni plus ni moins qu'une incitation générale à l'autocensure des journalistes. Le monde entier doit célébrer un régime criminel et un État voyou au risque d'être mis à l'index, persécuté et harcelé. C'est déjà ce que vivent les Rwandais et les Rwandaises depuis 25 ans chez eux. C'est bien ce que le journaliste Anjan Sundaram révélait dans son livre courageux intitulé Bad news . L'une des dictatures les plus hargneuses et les plus sanglantes d'Afrique tente de mettre tout le monde au pas et n'hésite pas à signer, pour se donner un visage humain, des contrats publicitaires avec des équipes de football d'Europe alors que le peuple rwandais croupit dans une prison à ciel ouvert et dans la misère. Son objectif est de faire taire et de faire peur. Ainsi, beaucoup ont peur et se taisent. Même dans les pays occidentaux, certains tremblent encore de peur face à ce régime de terreur du Rwanda. Comment les rendre raisonnables et audacieux ? J'en appelle donc à la mobilisation générale des journalistes de la République Démocratique du Congo, aux organisations professionnelles nationales et internationales d'Afrique, d'Europe et des Amériques de soutenir Jacques Matand pour cet acte injuste, qui contrevient au droit sénégalais comme le dénonce le syndicat des journalistes du Sénégal. D'autres initiatives suivront afin que la soumission et la servilité des esprits vis-à-vis de la dictature rwandaise s'arrêtent sur les collines de Kigali. Rwanda, la vérité sur l'opération Turquoise fera son chemin et rien ne pourrait arrêter la marche inéluctable vers la vérité, celle que l'on tente d'étouffer par tous les moyens..."

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dimanche 20 janvier 2019

Charles Onana: Etienne Tshisekedi vivant serait-il aujourd'hui embarrassé, écoeuré ou fier?

Charles Onana, politicologue

Charles Onana est politicologue, l'un des meilleurs journalistes d'investigation qui fait la fierté de la corporation en France. Son analyse sur la nomination à  la tête du Congo de Félix Tshilombo, fils Tshisekedi est très pertinente.

Honte ou fierté avec ce qui vient de se produire dans l'un des pays les plus importants d'Afrique Centrale : celui du très honorable et respectable Patrice Lumumba ? La proclamation des résultats par la cour constitutionnelle de la RDC vient couronner la fraude et le manque total de respect envers les choix du peuple congolais depuis 2006. Ceux qui soutiennent à  cor et à  cri Félix Tshisekedi sont contents des résultats confirmés par la cour, peu importe qu'ils soient vrais ou faux. Peu importe qu'ils procèdent ou non de la fraude.

Etienne Tshisekedi Wa Mulumba "Mula Nkwasa"

Ceux qui soutiennent Martin Fayulu sont, de leur côté, abasourdis et se demandent si un jour le vote des Congolais sera respecté dans ce pays. Ils se demandent surtout de quel type de juristes est composée la cour constitutionnelle de la RDC. Sont-ce des personnalités qui œuvrent pour la démocratie, la paix, le progrès et la dignité de la RDC ou seraient-ce plutôt des individus qui se moquent de tout cela et jouent seulement pour leur carrière personnelle ? Comme on peut le constater, les juristes de la cour constitutionnelle n'ont pas brillé par leur imagination ni par leur originalité à  dire le droit. Ils ont suivi bille en tête les réquisitions du procureur et invalidé la requête de Martin Fayulu.

Il est vrai que beaucoup d'analystes doutaient déjà  du courage intellectuel et de l'impartialité de cette cour mais certains croyaient encore qu'elle était capable de trouver des ressources en son sein pour surprendre le monde en disant le droit, par exemple, en constatant que les fraudes sont avérées, que le travail de la CENI est ignominieux et que les Congolais méritent, en 2019, mieux qu'un bricolage électoral du type 2006 et 2011.

Eh bien non ! Cette cour a validé le travail pourri des clefs USB de la CENI et considéré les efforts réalisés par la CENCO comme inutiles. En clair, les juristes congolais ont préféré honorer le cadavre malodorant de la CENI qui empeste les élections présidentielles en RDC depuis 2006 plutôt que d'étonner les Congolais et l'Afrique par la rigueur de la science juridique. Pour sortir la RDC d'une humiliation électorale persistante par le haut -même en contestant l'Union Africaine et la communauté internationale- les juristes de cette cour n'ont-ils rien trouvé d'autre que le réquisitoire pré-rédigé du procureur désigné par Joseph Kabila ? Ce bout de papier sorti de la poche pendant les audiences et qui demandait l'invalidation de Martin Fayulu semble avoir été la seule pièce à  conviction des juristes de la cour constitutionnelle. Dans un moment aussi exceptionnel, on attendait un peu plus de panache ou un coup de génie des juristes de la cour pas une décision suspecte et prévisible.

Maintenant, après l'opération commando de Joseph Kabila plaçant Félix Tshisekedi à  la tête de la RDC comme il fut lui-même placé en 2001, 2006 et 2011, les Congolais sont à  nouveaux divisés, peu convaincus que leur vote a été respecté. Ils se sentent une fois de plus trahis et par la CENI et par la cour constitutionnelle, comme en 2006 et en 2011. C'est cette même trahison qu'Etienne Tshisekedi a longtemps dénoncé de son vivant. Lorsqu'il demandait à  ses partisans de ne pas voter le référendum sur la nouvelle constitution ou qu'il exigeait que des membres de l'UDPS participent au comité directeur de la CENI, c'est parce qu'il savait que les dés étaient pipés. Certains l'avaient critiqué pour sa `` rigidité » mais tout le monde savait qu'il avait raison et le résultat des élections de 2006 a prouvé que ce qu'il disait était fondé. La fraude avait gagné.

En 2011, Etienne Tshisekedi ne s'est pas découragé. Il a participé aux élections présidentielles et a remporté les élections comme Fayulu aujourd'hui. La CENCO avait, en son temps, dénoncé, comme aujourd'hui, le travail médiocre de la CENI. Les Congolais ont remué ciel et terre pour obtenir, comme aujourd'hui, la vérité des urnes. Rien n'a bougé. Dégoûté, Etienne Tshisekedi a refusé de saisir le Conseil constitutionnel tellement il le savait partial et corrompu. La déception fut grande chez les Congolais. On venait d'effacer leur choix à  la face du monde. Aujourd'hui, c'est la même chose mais les Congolais qui s'indignaient du vol de la victoire de Tshisekedi en 2011 et qui rejetaient Kabila et son système semblent accepter le vol de la victoire de Fayulu.

A quoi sert donc l'histoire ? Il est temps que les Africains réfléchissent à  leurs contradictions et à  leur attitude en général. En observant ces deux situations : celle de 2011 et de 2019, le même Kabila est à  la manœuvre et certains refusent de voir que rien n'a changé. Comment expliquer que Félix Tshisekedi, qui n'a jamais eu ni l'audience ni l'expérience de son père en RDC, gagne très facilement là  où son père a échoué avec un immense soutien populaire ? Pour comprendre le Congo, il faut avoir deux cerveaux dans la même boîte crânienne.

Etienne Tshisekedi, porté par tout un peuple qui voulait et espérait le changement, avait affirmé en 2011 que les résultats donnés par la cour constitutionnelle étaient "une véritable provocation", avant de conclure qu'il se considérait comme le président élu de la RDC . C'est aussi ce que pense en 2019 Martin Fayulu lorsqu'il déclare `` je me considère désormais comme le seul président légitime de la RDC. Au terme de cette petite réflexion, on peut se demander : qui de Martin Fayulu ou de Félix Tshisekedi est le vrai fils d'Etienne Tshisekedi ? Martin Fayulu et Etienne Tshisekedi partagent manifestement le même scepticisme sur la fiabilité et la crédibilité de la CENI et de la cour constitutionnelle au sujet des élections présidentielles en RDC. En saisissant la cour, Fayulu a testé jusqu'au bout cette crédibilité et il arrive à  la même conclusion qu'Etienne Tshisekedi en 2011 lorsque ce dernier jugeait cette institution indigne de recevoir la confiance des Congolais.

Aujourd'hui, si Etienne Tshisekedi était encore vivant, comment prendrait-il la "victoire de son fils" Félix proclamée par cette cour face à  Martin Fayulu ? Aurait-il été gêné, embarrassé, dégoûté ou enthousiaste ? Peut-être un peu tout cela car on aurait donné, en dépit de la vérité des urnes, à  son fils ce qu'on lui a refusé à  lui, malgré sa victoire incontestable.

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