Paris: La gare de Lyon en feu, pour le concert de Fally Ipupa à Bercy, le modus operandi de Paul Kagame, Hitler Noir mis à nu !
Freddy Mulongo, Réveil FM International
Violents incendies de la gare de Lyon, les enquêteurs français ne doivent négliger aucune piste y compris celle de l'homme fort de Kigali. Paul Kagamé, Hitler Noir, dictateur rwandais et bourreau du peuple congolais a une haine viscérale contre la France. Son objectif rabaisser et humilier la France, par tous les moyens. Cela ne nous étonnerait pas que la main noire soit Paul Kagamé.
L'ogre de Kigali, avec Angwalima Tshilombo son pantin et marionnette ont financé le concert de Fally Ipupa auprès de Bolloré, qui est responsable de Yuma Prod et propriétaire de l'AccorHotels Arena. Le modus operandi est connu et mis à nu. Paul Kagame a fait infiltrer des Rwandais parmi des Congolais qui ont mis des feux aux voitures, scooters et magasins à la gare de Lyon. Pour preuve, le gouvernement de Tshilombo a accepté de payer dégâts et casses du concert de Fally Ipupa. Peut-on encore parler de concert culturel ou purement politique et politisé?
Violents incendies en marge du concert de Fally Ipupa à l'AccorHotels Arena, dans le 12è arrondissement de Paris. La question logique demeure sur toutes les lèvres: pour quelle raison Paris doit être le théâtre de cette sauvagerie à récuser ?
Le peuple congolais n'est pas violent, il est victime de la violence des autres. Paul Kagamé en veut toujours en France. Sachant que la Fatwa Anti-Concerts, acceptée par toute la diaspora congolaise du monde, était en vigueur depuis 10 ans sans violences. Elle avait produit ses fruits: des jeunes congolais ont repris le chemin de l'école, ne vole plus dans des magasins pour la sape. Les jeunes filles ne traînent plus avec des poussettes. C'est Paul Kagamé, qui le premier avait déclaré publiquement que les Congolais ne méritent pas le Congo. ils sont assis sur des ressources mais ne font rien ! Le concert de Fally, imposé aux Congolais, était l'opportunité rêvé pour obliger la diaspora a redevenir "BMW": Beer Music Wife ce que ne veulent plus les patriotes et résistants congolais. Dans ces violents incendies de la gare de Lyon, la main noire de Paul Kagamé n'est pas loin. Des sbires de kagamé se sont engouffrés pour créer du désordre et mettre cela sur le dos des Congolais.
Paul Kagamé, Hitler Noir est le plus grand "négationniste" de ses crimes au Rwanda et au Congo.
Au pays des Milles Collines, au nom de la lutte contre "les terroristes", Paul Kagamé, Hitler noir, a choisi de revendiquer les assassinats politiques commis et à commettre par ses services secrets, y compris à l'extérieur du Rwanda. Derrière en date, à Kigali, il vient de faire assassiner le jeune Tutsi de 38 ans, Kizito Mihigo, chanteur de gospel, en prison que son régime a tenté de maquillé en suicide.
Paul Kagamé a éliminé tous les Ntwa (Pygmées), tous les Hutus sont des "génocidaires" y compris les bébés qui naissent aujourd'hui, dans des brousses congolaises.
Le 6 avril 1994, deux missiles sol-air atteignent l'avion du président rwandais d'ethnie hutu, Juvénal Habyarimana, en phase d'atterrissage à Kigali. Cet événement qui lui coûta la vie est considéré comme le déclencheur du génocide qui fit 800 000 morts.
Paul Kagame n’est pas un dictateur africain comme et parmi d’autres. Protégé par le blindage génocidaire, il sait pouvoir faire pratiquement ce qu’il veut. D’ailleurs il a toujours gagné : échapper au destin d’un réfugié apatride pour accéder aux plus hauts niveaux du pouvoir en Ouganda, prendre le contrôle du FPR, gagner une seconde guerre civile au Rwanda en dissimulant ses propres violences grâce à l’apocalypse génocidaire, créer un gouvernement "d’union nationale" après le génocide, puis l’abolir à l’occasion d’un massacre commis par ses propres troupes (Kibeho. 1995) et finalement prendre le pouvoir absolu grâce à des scores électoraux dignes de Staline (95 % en 2003, 93 % en 2010 et 99 % en 2017). Il n’a même pas besoin de frauder, tout le monde vote réellement pour lui. La peur est telle que l’obéissance est réelle. Et la communauté internationale, prisonnière de ses remords et séduite par les progrès qu’il introduit, acquiesce. Il y aura quand même une grosse bévue : son invasion du Congo. 12 millions de morts, pillages et recel des ressources de la République démocratique du Congo.