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Jeanine Mabunda, présidente de l'Assemblée nationale
Le Général De Gaulle parlait depuis Londres pour la résistance française. Angwalima Tshilombo "Tshintuntu-Tshifueba" à Londres, au lieu de pousser les Congolais à un sursaut patriotique, à l'amour de la patrie et à l'apport de la diaspora pour la construction du Grand Congo...Il a passé son temps à invectiver et menacer, oubliant que c'est lui qui a déclaré qu'Alias Kabila était le père de la démocratie et qu'il était son partenaire.
Un président de la République légitime, élu par le peuple n'étale jamais ses divergences avec d'autres institutions républicaines lors qu'il est à l'étranger.
A Londres, devant une salle de Bena Mpuka, Talibans et Tribalo-ethniques, tous acquis à sa cause, 400 dollars par personne pour porter T-shirt et pagne à l'effigie de Fatshi. L'imposteur-usurpateur, Angwalima Tshilombo "Tshintuntu-Tshifueba", le fameux et cupide fils de Tshisekedi s'est cru pousser des ailes. En deux minutes, Tshilombo, Monsieur 15% et gourou des Bena Mpuka a oublié qu'il n'est pas légitime, pas élu du peuple congolais, il a fait un deal pour sa nomination électorale et déclare pompeusement: "Nos détracteurs commencent déjà à murmurer et à nous prêter des mauvaises intentions en disant qu`après une année, conformément à la constitution, le président devrait dissoudre le parlement. Alors que moi personnellement, je ne rêve pas pour le moment de le dissoudre pour éviter une crise au pays. "Par contre", poursuit-il, "si vous me poussez ou me mettez dans une situation telle que je ne sois plus à mesure de servir mon peuple comme il se doit et que j`estime la mission pour laquelle j`ai été porté à la tête de l`Etat est étouffée, je n`aurai d`autre choix que de dissoudre le parlement", Menace voilée pour un incapacitaire habitué aux déclarations fracassantes sans effets sur terrain. N'est-ce pas le même individu qui avait déclarer qu'il allait "déboulonner" son partenaire Alias Kabila et son régime. Jusque là rien !
Angwalima Tshilombo "Tshintuntu-Tshifueba" parle depuis Londres, pour accorder collectivement la nationalité aux Banyamulenge, une ethnie qui n'existe pas au Congo. Et pour faire plaisir à ses affidés, courtisans et partisans va jusqu'à menacer de dissoudre le parlement.
Jeanine Mabunda, la présidente de l'Assemblée nationale a expliqué aux journalistes réunis à l`hà´tel Sultani à Kinshasa que les responsables de deux chambres du parlement avaient rencontré Tshilombo le 13 janvier 2020. C'est-à -dire 6 jours avant son déplacement pour Londres.
`` J`ai le privilège de par ma fonction de ne pas avoir besoin d`attendre qu`il soit à l`extérieur pour parler de certains sujets. Comme les veulent les pratiques institutionnelles, nous avons eu un long entretien avec le président de la République », a dit la présidente de l`Assemblée nationale.
L`entretien a duré 2H30. Ils ont échangé sur `` des sujets qui sont des pointes d`alerte, des sujets qui peuvent mettre le citoyen congolais mal à l`aise, sur des sujets qui peuvent diviser ou qui ne peuvent pas faciliter la cohésion nationale », a révélé Jeanine Mabunda.
La thématique de dissolution de l`Assemblée nationale, la crise dans les provinces, les réformes institutionnelles étaient également au cœ“ur de ces échanges.
Jeanine Mabunda a aussi dit que c`était un entretien franc où `` chacun a ses convictions, son identité politique, son expérience institutionnelle ».
Jeanine Mabunda, présidente de l'Assemblée nationale et Alexis Thambwe Mwamba, président du Sénat, avaient rappelé à Félix Tshisekedi `` la ratio legis de l`article 148 de la constitution. Il ne faut pas jeter les articles de la constitution en pà¢ture, à des incompréhensions ou des malentendus », a dit Mabunda.
`` Le Congolais m`a confié une mission et je dois rendre compte à ce peuple. Et celui qui ne va pas suivre mes instructions et qui s`attachera aux instructions de sa famille politique, il sera viré », a déclaré Angwalima Tshilombo "Tshintuntu-Tshifueba" le 19 janvier devant les congolais de Londres.
Jeanine Mabunda est montée au créneau, car elle préside l'Assemblée nationale, qui avec le sénat forment le "Parlement". C'est son institution qui est menacé sans raison valable. Qui serait mieux placé qu'elle-présidente de l'Assemblée nationale pour remettre l'étourdi de Kabeya kamuanga à sa place ? Dans la bataille institution contre institution, les ripostes de Henri Mova Sankany, Emmanuel Shadary, Nehemie Mwilanya et autres cadres du FCC n'auraient pas d'impact,ces derniers n'étant ps des officiels.
Quand ça bloque, c'est le FCC et quand ça marche, c'est Fatshi Béton. Bande des hypocrites !
C'est avec éloquence, que Jeanine Mabunda depuis Kinshasa a rappelé au Magellan congolais, le respect des textes constitutionnels. Pour dissoudre le Parlement, il faut un stylo rouge or celui de Tshilombo n'a même pas d'encre.