Union Sacrée: Bemba et Moïse Katumbi, deux traîtres contre Lamuka peuple?
Freddy Mulongo Mukena, Réveil FM International

Complotiste, balkanisateur et liquidateur du Congo, Tshilombo piège Jean-Pierre Bemba et Moïse Katumbi, deux politico-affairistes pour exploser Lamuka. Le complot de Tshilombo a déjà échoué car Lamuka, c'est le peuple congolais. En politique, seule la constance est victorieuse. Katumbi mobilise des gros moyens pour une consultation d'un président faussaire contre son allié Jo Ka...
Aux Etats-Unis, une grande et vielle démocratie, le comptage des voix entre le président Donald Trump et Joe Biden, son challenger, doit se faire bureau de vote par bureau de vote, pour départager les deux candidats. Les Républicains comme les Démocrates exigent la vérité des urnes. On ne peut pas parler de démocratie sans respect de la vérité des urnes. Les Américains ne sont pas prêts d'accepter un faussaire des urnes diriger les Etats-Unis. C'est un échec de penser, que Tshilombo, Monsieur 15% et voleur du destin du peuple congolais va exploser Lamuka. Corrompre des fameux leaders, ce n'est pas corrompre les Congolais et tous les Congolais. "Lamuka , c'est le peuple congolais. Lamuka", c’est l’esprit du peuple congolais qui veut être dirigé par par des gens qui ont la légitimité du peuple. Le respect de la volonté du peuple est exigence politique. Le changement passe nécessairement par le respect de la vérité des urnes. En République démocratique du Congo, la classe politique la plus médiocre de la planète, est inconstante, versatile, cupide, corrompue...Les politicailleurs, ventriotes et Mabumucrates ne se battent jamais pour des principes et valeurs républicaines. Ils sont des opportunistes. Qu'est-ce-que les consultations politiques de Tshilombo, le voleur du destin du peuple congolais changent-elles dans le quotidien du peuple congolais ? Pourquoi Moïse Katumbi doit-il mobiliser au tant des fonds et moyens pour uniquement revenir à Kinshasa et rencontrer Tshilombo, l'Enfarineur ? Que veut prouver Moïse Katumbi ? S'il est populaire c'est dans les urnes qu'il doit le prouver. Moïse Katumbi est un frère Katangais et Congolais que je respecte. Il est entrain de griller son avenir politique. Ce n'est pas en tendant la main à un faussaire, checkuleur, complotiste, balkanisteur et liquidateur du Congo, qu'il va s'en sortir. On ne peut avoir décrié la fraude électorale contre le peuple congolais et s'amuser contre le peuple avec des arrangements politico-politiciens. C'est triste pour Moïse Katumbi. S'il agit de son propre chef, c'est grave. S'il est influencé par ses conseillers, ils l'amènent dans un trou. Les conséquences de son défi contre le peuple congolais vont s'averer néfastes pour son image politique hic et nunc.
Moise Katumbi est entrain de piétiner plusieurs points de la déclaration finale Lamuka du 30 juillet 2019 à Lubumbashi, le jour de la passation du flambeau de commandement à Jean-Pierre Bemba représenté par Eve Bazaïba. Réveil FM International republie cette déclaration qui met à nu le complot Tshilombo-Katumbi contre Lamuka.
5. Lamuka réaffirme sa victoire aux élections du 30 décembre 2018 et continue à dénoncer la fabrication des résultats tels qu'annoncés par la CENI et entérinées par la Cour Constitutionnelle. Lamuka dénonce également l'invalidation injuste de ses députés par la Cour Constitutionnelle.
6.Tous les membres du présidium réaffirment leur engagement à œuvrer dans la franche collaboration et de la cohésion au sein de la plate-forme, afin de poursuivre la noble lutte. Chacun des leaders s’emploiera à exhorter ses collaborateurs et son regroupement politique à demeurer unis, vigilants et mobilisés pour déraciner les antivaleurs qui handicapent le progrès de la société congolaise.
7. Le présidium appelle la population à rester vigilante et à être prête pour la défense de la Constitution, spécialement en ses articles intangibles.
11. Lamuka s’engage à mobiliser le peuple congolais pour la mise en place des réformes institutionnelles nécessaires notamment sur la Cour Constitutionnelle, la Commission électorale nationale indépendante (CENI), le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC) et la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH).
Jean-Pierre Bemba a quitté Mbandaka hier, il est venu à Kinshasa. Il a été reçu par Tshilombo. Ils ont parlé durant 30 minutes et il est rentré dans sa forêt. A-t-il eu peur de dormir encore sur une chaise à GB comme autrefois. A-t-il pris la décision de consulter les militants du MLC pour son agissement solitaire et anti-peuple ? C'est toujours facile d'accepter l'inacceptable. Il faut aussi savoir assumer. Les consultations ne sont pas un dialogue. La décision finale revient à un individu, qui de plus est lui-même le problème du pays.
En politique, lorsque l'on s'engage et que l'on prend une position, on s'y tient. Contre vents et marrées on s'y accroche. Il est dangereux en politique de changer des positions matin, midi et soir. Est girouette, celui qui change des positions au gré de vent. Cela est regrettable et insupportable. Personne n'ignore, comment Alias Kabila, a pesé de tout son poids pour empêcher Moïse Katumbi et Jean-Pierre Bemba de postuler à l'élection présidentielle du 30 décembre 2018. Mais cela ne nous oblige pas à être complaisant à leurs égards. Nous avions déjà eu l'occasion de relever les 5 erreurs de Moïse Katumbi contre Lamuka. La popularité de Moïse Katumbi est en berne au sein de la diaspora congolaise. Un désamour s'y est installé. Sa fameuse déclaration sur France 24, d'enjamber la vérité des urnes, pour se projeter déjà en 2023, avait déjà fait des remous. Ses accointances avec Félix Tshilombo, imposteur-usurpateur l'éloignent de plus en plus des objectifs de Lamuka.
Voici les 5 erreurs politiques de Moïse Katumbi contre Lamuka (Réveil FM International, 6 juin 2019):
1. Martin Fayulu est allé au front électoral. Il a battu campagne. Partout où il est passé, ce fut effervescence populaire. Martin Fayulu a gagé haut la main, l'élection présidentielle du 30 décembre 2018. Avec 62,8%, il est le président élu du peuple congolais. Il est légitime. Il est Notre président. Il mérite le respect de tous, y compris des acteurs politique de Lamuka. Félix Tshilombo est un imposteur-usurpateur. Un grand mépris de notre peuple, il a fait un deal avec Alias Kabila, pour non changement dans la continuité. Agent de tutsi-Power et au service de la consolidation de l'occupation, Tshilombo est agent de l'impunité. Fayulu en homme intelligent a déposé son recours, à la Cour Constitutionnelle, des juges godillots aux mains gantées en blanc et aux ordres d'Alias Kabila pour récomptage des voix. Cette démarche n'a pas été approuvé par Moïse Katumbi. Et pourtant, c'est cette démarche de Fayulu qui a dévoilé au monde, la justice corrompue du Congo. Une Cour Constitutionnelle qui se réunit à l'heure de Nicodème, c'est-à-dire la nuit, pendant que le drapeau congolais n'est pas encore levé. Parodie de justice, au lieu que les juges disent la loi au nom de la RDC, les corrompus juges se sont discrédités eux-mêmes. Avec ses 16%, Félix Tshilombo a été proclamé frauduleusement vainqueur à 3h du matin. L'Udps avait 37 avocat pour défendre le Voleur des voix, Tshilombo, parmi eux Me Mukendi wa Mulumba, ancien bâtonnier, il était à la cour sans gène pour défendre son Angwalima et Fakwa de neveu.
2. La vérité des urnes, du Président Elu, Martin Fayulu dépasse sa modeste personne. C'est la victoire du peuple congolais qui a été volé. Tous les Congolais qui réclament la vérité des urnes ne sont pas des membres de Lamuka. Refuser la vérité des urnes, c'est cautionner le troisième hold-up d'Alias Kabila. Or Moïse Katumbi qui a tout fait pour empêcher un troisième penalty d'Alias Kabila comment peut-il cautionner le troisième hold-up d'Alias Kabila? Félix Tshilombo est un président Quado. Il est bénéficiaire d'une NOMINATION ÉLECTORALE. Il est pantin, masque-Kifwebe et bouclier d'Alias Kabila. Félix Tshilombo n'a aucun pouvoir.
3. Dans son interview sur France 24, Moïse Katumbi a dit qu'il faut tourner la page de la vérité des urnes, puisque la Cour Constitutionnelle avait proclamé Félix Pétain Bizimungu Tshilombo. Or cette haute cour corrompue a été condamnée par les États-Unis. La vérité des urnes est le passage obligée pour l'installation de la démocratie en RDC. Vouloir enjamber, la vérité des urnes comme le fait Moïse Katumbi, est une grave erreur politique. Il ne faut jamais mépriser le peuple.
4. Martin Fayulu, Président Elu du peuple congolais est le politicien le plus populaire de la RDC. Sa popularité dépasse de loin celle de Mobutu et Etienne Tshisekedi réunis. Aucun politicailleur ventriote n'arrive à la cheville de Fayulu: homme droit et intègre. Il faut que les choses soient claires: Martin Fayulu n'est pas le garçon de course de Lamuka. Il n'est pas non plus l'homme à tout faire de Lamuka. Chaque Congolais a le devoir de le soutenir, jusqu'à la victoire de la vérité des urnes.
5. C'est Alias Kabila qui dirige encore et encore la République démocratique du Congo. Les accointances de Moïse Katumbi avec Félix Tshilombo frise la trahison des aspirations de notre peuple. Il est dans la même ligne que Gabriel Kyungu qui a déclaré publiquement que Tshilombo est son fils. Résultat: A 81 ans, il vient d'être nommé à la SNCC. Etre avec le peuple, c'est accepter la CONSTANCE dans ses prises de positions politiques. Etre coordonnateur de Lamuka, avec le collectif "Ensemble" dont des Troubadours tel que Delly Sesanga et Claudel Lubaya attendent de pied ferme leur nomination ministériel, pose déjà problème. Moïse Katumbi est mal conseiller, qui lui rassure qu'en 2023, il sera candidat président de la République. Son propre conseiller spécial, Salomon SK Della, est privé de passeport biométrique, par son propre ami Félix Tshilombo. Cela n'interpelle pas sa conscience ? Pourquoi ne tonne-t-il pas pour exiger le passeport ? Martin Fayulu est et demeure le Président Élu. Celui qui le méprise, sera méprisé.
Aujourd'hui, le fait de vouloir quitter Lubumbashi et venir à Kinshasa, usant et abusant de tous les moyens de communication, pour des consultations Tshilombiennes qui n'en valent pas la peine, Moïse Katumbi se grille. Pas facile de retrouver sa vraie popularité d'antan.