Réveil FM, la première radio libre et citoyenne de Kinshasa en République démocratique du Congo !

Mot-clé - Noêl Tshiani

Fil des billets Fil des commentaires

dimanche 18 février 2018

Collabo et suppôt du Rwanda, Noël Tshiani "Mutakalisé" par l'avocat de Roger Bongos au palais de justice à  Paris!

Noà«l Tshiani suppà´t du Rwanda

Palais de justice de Paris, le Kadogoïsme de Noël Tshiani a été mis en exergue par l'avocat de Roger Bongos. En effet, c'est avec un AK-47, c'est-à -dire une kalachnikov que Noël Tshiani a menacé Marie-Louise Tshiani, son ex-épouse, la mère de ses enfants. Or pour les Congolais, la Kalachnikov signifie viols des femmes par la soldatesque rwandaise sur le sol et territoire congolais. La Kalachnikov signifie aussi l'arrivée au Congo de l'imposteur Alias Joseph Kabila Kanambe Kazembere Mtwale auNoà«l Tshiani, en 1997 comme Kadogo, avec ses bottes de jardinier.

Lorsqu'on a des casseroles qui sont retentissantes, que le concert porte haut et loin les sons de casseroles: on ne menace jamais personne surtout pas un ou des journalistes. Prétentieux surtout ambitieux, Noël Tshiani s'arroge le droit d'intimider et de menacer des journalistes.

Noël Tshiani et Louise Mushikiwabo, bras droit de Paul Kagame, Hitler Africain

L'homme de Ngandajika a largement échoué dans sa mission orchestrée par ses mentors et financiers rwandais: s'approcher du journaliste Roger Bongos et l'assassiner. Depuis qu'il a été découvert, Noël Tshiani joue à  la meilleure tactique: attaquer Roger Bongos en justice pour mieux contribuer à  le précariser. Le suppôt du Rwanda réclame 50.000 $ au journaliste Roger Bongos pour diffamation. La moitié de la somme que Noël Tshiani devra débourser pour sa candidature à  la présidence de la République. Rien n'est encore enclencher pour des élections hypothétiques en République démocratique du Congo.

Noël Tshiani adoubé par Paul Kagame du Rwanda

Vendredi 16 février, il est 10h au palais de justice de Paris. L'avocat de Roger Bongos est déjà  là . On voit un avocat faire les 100 pas devant la 17è chambre correctionnelle, son téléphone accroché à  son oreille. Maître n'est pas content. La veille, il a découvert les conclusions du conseil de Roger Bongos. Le juge président donne la parole en premier à  l'avocat du fuyard Noà«l Tshiani qui explique pourquoi son client absent se sent diffamé. Lorsque le juge donne la parole au conseil de Roger Bongos, un habitué de la 17è chambre, c'est d'ailleurs qui avait mis KO débout Kin Kiey Mulumba "MOYIBICRATE" ! Le jeune avocat pénaliste explique que la France n'était pas en guerre, il n'y a pas eu irruption volcanique et que le jugement en toute urgence de son client ne se justifier pas. En tant que journaliste et lanceur d'alerte, Roger Bongos a pleinement le droit d'informer la communauté congolaise sur la probité morale d'un prétendu candidat président de la République, sans candidature.

Noël Tshiani a menacé son épouse avec une Kalachnikov-AK-47

Le juge président et madame la greffière écarquillent les yeux, lorsque Maître parle de la "Jurisprudence Tshiani"rendue en dernier ressort par la Cour d`appel du Maryland le 19 décembre 2013 aux termes de laquelle celle-ci a confirmé la décision de la Court of Special Appeal du 21 novembre 2012 qui confirmait elle-même le jugement de divorce de première instance rendue le 7 janvier 2011 par la `` Circuit Court » que la Cour d`appel du Maryland retranscrit en ces termes :

Lors du divorce en 2011, le jugement de la "Circuit Court" a ordonné à  Noël de verser à  Marie-Louise une somme de 543.000,00 $, 23.493,75 $ de frais d'avocat, une pension alimentaire indéfinie, une pension alimentaire pour les trois enfants et 50% de la pension et une allocation de séparation qu`il pourrait éventuellement recevoir de son employeur. (TRADUCTION LIBRE)

Aux termes de l`arrêt de la  Court of Special Appeal of Maryland du 21 novembre 2012, il est indiqué que :

`` Les deux partis sont originaires de Kinshasa, en République Démocratique du Congo (ex-Zaïre). Marie-Louise et Noël se sont rencontrés au Congo en 1993. Marie-Louise avait 18 ans et Noël 35 ans. Selon Marie-Louise, après cinq mois de fréquentation, ils se sont mariés le 23 décembre 1993 à  Kinshasa. Elle a témoigné que Noël n'était pas présent physiquement au mariage parce qu` il était en mission dans [un autre pays d'Afrique] et ne pouvait pas faire le voyage.» Noël a désigné son cousin pour le représenter. L'une des familles a donné à  l'autre 200 $ en cash, des vêtements et une chèvre vivante. Noël a participé à  la cérémonie par téléphone.

Selon Marie-Louise, sa famille a posé trois questions à  Noël et aux membres de sa famille pour savoir si Noël connaissait la mariée, s'il l'aimait et s'il voulait échanger une dot. Noël a répondu par l'affirmative.

Selon Marie-Louise, "la tradition exige que la femme parte [ ] avec la famille du mari, puis va [ ] vivre avec le mari.» Après la cérémonie, Marie-Louise passa la nuit chez le cousin de Noël. Le lendemain, elle a voyagé pour vivre avec Noël à  Arlington, en Virginie.

Depuis le mariage, le couple vit ensemble et se représente comme mari et femme. Ils ont d'abord habité dans un appartement en Virginie, puis acheté une maison à  Bethesda, Maryland, en janvier 1994.

Les parties ont acheté une autre propriété à  Potomac, Maryland, comme "locataires à  part entière". Les parties avaient trois enfants ensemble: P.E. est né le 8 juin 1995, J.H. est né le 29 octobre 1997 et D.G. est né le 6 décembre 1998.

Le 16 avril 1994, les parties ont participé à  une cérémonie de ``renouvellement des vœux» à  l'église de la cathédrale de Saint Thomas Moore à  Arlington. Le couple a obtenu une ``preuve de mariage» de l'ambassade congolaise et l'a apportée à  la cérémonie en Virginie. L'église leur a fourni un certificat attestant qu'ils étaient ``unis dans le mariage en conformité avec les lois de l'État de Virginie et de la République du Zaïre. » Le certificat attestait également qu'il y avait des témoins présents à  la cérémonie, y compris un membre de la famille de [Noël] ».

Noël a demandé une ``allocation pour charge de famille» pour Marie-Louise auprès de son employeur (la Banque mondiale) et joint un ``Certificat de mariage coutumier de l'Ambassade du Zaïre» ou ``Attestation de Mariage Coutumier» daté du 25 janvier 1994. Il a demandé et a reçu une couverture d'assurance-maladie pour Marie-Louise et a demandé à  la Banque mondiale ``d'ajouter ma femme comme bénéficiaire» de sa police d'assurance-vie.

Noël s'est également rendu au Service de l'immigration des États-Unis pour obtenir le statut d'étranger permanent (carte verte) pour Marie-Louise, affirmant qu'elle était sa femme.

Depuis 1994, Noël a déposé une déclaration d'impôt fédérale et d'État conjointe, en inscrivant Marie-Louise comme épouse. De plus, lors d'une audience portant sur une ordonnance de protection, Noël a désigné Marie-Louise comme son épouse.

Bien qu'il ait déposé une réponse modifiée, lorsque Marie-Louise a demandé le divorce absolu pour la première fois, la réponse de Noël a admis que lui et Marie-Louise étaient mariés. Finalement, Noël a écrit dans sa requête pour rejeter la plainte de Marie-Louise pour divorce absolu, ``les parties ont été réunies dans une union basée sur les pratiques congolaises».

A l'audience devant la ``Circuit Court», Noël a louvoyé lorsqu'on lui a posé des questions sur presque tous les faits susmentionnés. Il a témoigné qu'il n'avait "pas participé" au mariage congolais "par téléphone ou tout autre moyen". Il a prétendu qu'il "n'en était pas conscient".

Le tribunal a déclaré que "[Noël] soutenait que la cérémonie de mariage au Congo n'était pas reconnu en dehors du Congo, mais a échoué à  fournir un soutien juridique ou autre pour cette affirmation. "Il a également dit du mariage de Virginie: il est "d`usage qu'il y ait un service catholique pour les personnes pas nécessairement mariées pour vivre en Virginie ".

La Cour a rendu un jugement de divorce absolu. Quant à  la validité du mariage, le tribunal a jugé ce qui suit:

Les actions de [Noël] postérieures à  la cérémonie au Congo démontrent que [Noël] a reconnu qu'il y avait un mariage légal entre les parties. [Noël] a pris des mesures après la cérémonie de mariage au Congo pour faire reconnaître le mariage par la Banque mondiale en demandant un ``certificat de mariage» à  l'ambassade congolaise.

Bien que ce document n'ait pas été produit au procès, [Marie-Louise] a produit un document de l'ambassade de la République démocratique du Congo déclarant qu'un certificat de mariage avait été remis à  la Banque mondiale et qu`en raison ``d`inondations et de la destruction des archives », l'ambassade n'a pas pu fournir une autre copie.

Depuis 1994, [Noà«l] a déposé une déclaration de revenus fédérale et d'état avec [Noà«l] inscrivant [Marie-Louise] comme ``conjoint». [Noà«l] avait intitulé les biens immobiliers qu'il a achetés sur Raymond Lane à  Potomac, Maryland comme `` tenants by the entirety » qui est une forme de propriété foncière réservée aux couples mariés.

De plus, au cours d'une autre audience dans le cadre de laquelle [Marie-Louise] a obtenu une ordonnance de protection définitive contre lui, [Noà«l] a désigné [Marie-Louise] comme sa ``femme». [Noà«l] cherche à  expliquer cette désignation en disant que "au Congo, si vous vivez avec une femme, on l'appelle votre femme et par respect je l'appelle ma femme".

En effet, [Noà«l] est allé au Service de l'Immigration des Etats-Unis afin d'obtenir un carte verte pour [Marie-Louise] sur la base de son statut d'épouse. La prévarication de [Noà«l] sur cette question devient plus claire à  l'examen de sa demande de prestations de conjoint auprès de la Banque mondiale, qui comprenait une ``attestation de mariage coutumier» datée du 25 janvier 1994 pour appuyer la demande de [Noà«l] d'un mariage légal. [Noà«l] a demandé et obtenu une couverture d'assurance santé de [Marie-Louise] auprès de la Banque mondiale sur la base du statut d`épouse de [Marie-Louise]. [Noà«l a demandé à  la Banque mondiale "d'ajouter ma femme comme bénéficiaire" de sa police d'assurance-vie.

[Noà«l] est un menteur et un manipulateur. Soit il a menti à  la cour dans son témoignage concernant l'existence du mariage et sa participation à  celui-ci, soit il a menti à  la Banque mondiale, à  l'Internal Revenue Service et aux autorités de l'immigration.

Dans les deux cas, son témoignage n`est pas digne de confiance. La cour conclut qu'un mariage valide existait entre les parties et a eu lieu le 23 décembre 1993. »

Aux termes de la décision de la `` Court of Appeals of Maryland » du 19 décembre 2013, il est notamment indiqué :

`` Une quinzaine d'années plus tard, couronnée par une altercation au cours de laquelle il est prétendu que Noà«l aurait proféré une menace à  Marie-Louise impliquant un fusil automatique AK-47, la relation du couple s'est soldée par un divorce amer dans le Maryland, comme le révèle cette affaire. » (…)

`` Le mariage se détériorant, Marie-Louise quitta le foyer conjugal avec les trois enfants et obtint des ordonnances de protection contre Noà«l en raison d'allégations de violence conjugale. » (…)

`` Malheureusement pour Noà«l, le tribunal de première instance a conclu expressément que, de manière générale, en ce qui concerne sa crédibilité au procès, Noà«l était ``un menteur et un manipulateur» et que son témoignage manquait de crédibilité. La crédibilité des témoins est laissée à  l`appréciation des juges du fond et, à  l`audience d`appel, nous ``tenons dà»ment compte de la possibilité qu'a le tribunal de juger la crédibilité des témoins». (…) Ainsi, nous ne remettrons pas en cause l`appréciation du tribunal de première instance, en tant que juge des faits, et ne tiendrons pas compte du témoignage de Noel qui était contraire au témoignage de Marie-Louise. »

Il ressort de ces décisions judiciaires et des articles de presse et de doctrine y faisant référence qu`il existe bien une `` jurisprudence TSHIANI » aux Etats-Unis et qu`au regard de ces décisions :

Un divorce a bien été prononcé aux torts de M. TSHIANI qui contestait la réalité même de son mariage avec son ex-épouse, 15 ans plus tà´t ; Qu`un tribunal américain a traité M. TSHIANI de `` menteur » et de `` manipulateur » et affirmé que son témoignage n`était `` pas digne de confiance » ; Son ancienne épouse a bien quitté le domicile conjugal avec ses trois enfants après avoir obtenu des mesures de protection à  son encontre pour des faits allégués de violences conjugales, la Cour d`appel faisant même référence à  une menace `` impliquant un fusil automatique AK-47 ».

On ajoutera qu`aux termes d`un arrêt de la `` United States District Cour» du 18 juin 2015, Tshiani v. Monahan, il ressort notamment que : `` Tshiani n'a pas coopéré avec les efforts de Monahan pour vendre la propriété, et, par conséquent, la Circuit Court a pris un certain nombre d'ordres contraignant la coopération de Tshiani. (…).

En raison des échecs répétés de Tshiani à  coopérer, la Circuit Court a tenu une audience pour outrage civil le 25 avril 2014 (un mois après l'entrée en vigueur du sursis automatique) et a maintenu l'affaire en délibéré.

(…). Le 1er mai 2014, la Cour de circuit a déclaré Tshiani coupable d'outrage et a imposé une peine avec sursis et une amende. (…) Le 2 mai 2014, la Cour de circuit a rendu une ordonnance d`outrage amendé, concluant que M. Tshiani avait commis un outrage au Tribunal de circuit pour avoir violé une ordonnance du tribunal rendue par le juge Robert Greenberg le 4 février 2014, obligeant Tshiani à  quitter la Propriété. » (…)

`` Puis, le 1er juillet 2014, le tribunal des faillites a levé le sursis automatique en raison du ``mépris continu de Tshiani à  l'égard de la décision du tribunal d'État [obligeant Monahan à  vendre la propriété], son incapacité à  effectuer les paiements requis au Bank of America…” L`ensemble de ces éléments constitue une base factuelle suffisante pour permettre à  M. BONGOS, en toute bonne foi, d`attirer l`attention des citoyens congolais sur le comportement d`une personne ambitionnant de devenir leur Président de la République, ce qui constitue un but parfaitement légitime.

Lire la suite...

Partager sur : Partager

jeudi 8 février 2018

Le Rwanda veut la tête du journaliste Roger Bongos, le laquais Noêl Tshiani a promis de l'apporter grâce à  un procès bidon !

Noà«l Tshiani adoubé par Paul Kagame du Rwanda

Le Rwanda veut la tête du journaliste Roger Bongos, et c'est l'agent Noà«l Tshiani qui s'en charge avec une assignation en référé d'heure à  heure, en toute urgence. Tout est politique. Le procès de Noà«l Tshiani contre le journaliste d'investigation Roger Bongos est éminemment politique. Pour précariser des journalistes congolais de la résistance, des laquais rwandadisés usent et abusent du "Musellement judiciaire", arme de destruction massive. Sauf que Noël Tshiani risque une "Mutakalisation judiciaire" à  Paris. Procès contre des journalistes congolais engagés patriotes, ici Paris on déboute ! Kin Kiey Mulumba "MOYIBICRATE" en sait quelque chose. C'est d'ailleurs lui qui a commencé avec son pompeux titre du Ministre de la RDC. Malgré sa cohorte des féticheurs de Masimanimba Désir, le dernier ministre de l'information du dictateur Mobutu, ex-conseiller en communication du despote rwandais Paul Kagame et apparatchik du régime d'occupation et d'imposture d'alias Joseph Kabila Kanambe Kazembere Mtwale, a été débouté à  Paris, comme un va-nu-pied. Et pourtant il croyait impressionner et influencer des juges avec des papiers du ministère auprès du parlement de la RDC. Comme un chewing-gum qui colle à  ses souliers, le CV de Kin-Kiey Mulumba "MOYIBICRATE" s'est agrandi. L'histoire retiendra qu'il a été mis KO debout dans son procès contre le journaliste Freddy Mulongo à  Paris.

Noà«l Tshiani et Louise Mushikiwabo, bras droit de Paul Kagame, Hitler Africain

Avec ce procès du musellement judiciaire d'un journaliste, nous irons jusqu'au bout. S'il faut aller au recours jusqu'à  la Cour des droits de l'homme à  Strasbourg, nous irons ! Le Rwanda manipulateur qui se présente en victime, ça on connaissait déjà . Mais nous sommes entrain de découvrir le rà´le néfaste de certains compatriotes collabos et rwandadisé. Larbin et laquais du régime rwandais de Paul Kagame à  Kigali, Noà«l Tshiani est entrain de commettre une énième erreur de sa vie. Alors que notre confrère Roger Bongos, Rédacteur en Chef d'Afrique Rédaction a été durant trois mois son responsable de communication à  Paris et Bruxelles, Noà«l Tshiani a promis la tête de Roger Bongos sur un plateau en or, comme jadis celle de Jean Baptiste au roi Hérode. Sauf que la tête de Roger Bongos n'est pas à  vendre. Comment Noà«l Tshiani peut-il prétendre qu'il a été diffamé en tant que candidat Président de la République sans élection en vue, sans base électorale, ne remplissant aucune case critorielle ? Un candidat putatif qui passe son temps à  rencontrer Alias Joseph Kabila Kanambe Kazembere Mtwale et il est invité à  toutes les chaînes de télévisions des apparatchiks du régime. Un prétendu opposant qui n'a jamais rencontré aucun opposant à  Kinshasa ! En bon journaliste d'investigation Roger Bongos a découvert le pot aux roses. Noà«l Tshiani travaille à  la Banque Mondiale pour le compte de la République démocratique du Congo. Avec un salaire de 50.000 dollars, pour qu'il y reste aussi longtemps il faut l'aval d'Alias Joseph Kabila Kanambe Kazembere Mtwale. Noà«l Tshiani est à  la mangeoire des Joséphistes au même titre: Alain Atundu, le Vuvuzélateur Lambert Mende Omalanga, Alphonse Ngoyi Kasanji, Evariste Boshab, Kin Kiey Mulumba "MOYIBICRATE", "Momo" Modeste Mutinga Mutuishayi...

Mathilde Mukantabana, ambassadrice du Rwanda à  Washington

Madame Mathilde Mukantabana, l'ambassadrice du Rwanda à  Washington a-t-elle réussi à  retourner Noà«l Tshiani ? Le prétendu candidat Président de la République-sans candidature-Noà«l Tshiani est rwandadisé sans doute pour ses accointances avec Madame l'ambassadrice du Rwanda à  Washington. Faut-il signaler, que Noà«l Tshiani dans son fameux plan Marshall ne parle même pas des femmes violées en République démocratique du Congo. Quel est ce plan Marshall qui ne prévoit rien pour celles qui ont souffert des agressions sexuelles ? Faut-il rappeler, que Roger Bongos est l'initiateur de la marche Paris-Bruxelles 309 Km contre les viols de femmes congolaises en RDC. 15 jours de marche, escortée par des gendarmes en France et par la police en Belgique. Partis de Paris le 30 juin 2011, les marcheurs étaient arrivés à  Bruxelles, le mardi 13 juillet 2011 à  16h25 en face de l`Union Européenne, au Rond-Point Schuman, avant de déposer le mémo !

Dans des salons huppés parisiens, tout le monde sait que Noà«l Tshiani vise la Primature. A Kinshasa, il a rencontré Alias Joseph Kabila Kanambe Kazembere Mtwale à  trois reprises sans témoin. Son objectif: remplacer Bruno Tshibala à  la Primature. Comme si après Samy Bandibanga, un Kasaïen; Bruno Tshibala, un autre Kasaïen; la RDC était condamné à  n'avoir que des premiers ministres kasaïens. Tous de l'Udps ou apparentés. Que Roger Bongos puisse titiller l'Udps y compris du vivant d'Etienne Tshisekedi, c'est sa liberté et son droit. Que Noël Tshiani profite de son anti-tshikedisme primaire pour livrer sa tête au Rwanda, cela frà´le l'incompréhension et la folie. Roger Bongos n'est pas un marche pied pour atteindre le Saint-Graal avec la complicité du Rwanda.

Lire la suite...

Partager sur : Partager