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vendredi 6 août 2021

RDC : Pouvoir de Tshilombo "Au nom du clan Luba Kasaï"!

Pouvoir de Tshilombo : au nom du Clan Luba Kasaï !

Par Mohamed Mboyo Ey’ekula

Freddy Mulongo-Faussaire Tshilombo 257.jpg, août 2021

La monarchie clanique-tyrannique de Tshilombo, en trois ans de pouvoir usurpé, exaspère le peuple congolais. Le parvenu croit se maintenir en boutiquant toutes les institutions de la République. L'article de Mohamed Mboyo Ey’ekula est sans complaisance avec l'enjambeur de la grille du palais de la Nation et voleur de destin du peuple congolais.

freddy-mulongo-faussaire-tshilombo-257

Sous Mobutu, la géopolitique était la règle en matière de nominations politiques. Mais, malgré cela, l’UDPS,  parti dominé par les luba, ne ratait jamais l’occasion de dénoncer le tribalisme en s’appuyant sur la prédominance des bangala -un moulage purement belge du reste- au sein des forces armées zairoises. Arrivé au pouvoir en 2018, par un deal honteux, le parti des 12 parlementaires devenu clanique sinon familial s'entremêle les pinceaux.

Félix Tshilombo, président de l’Udps et chef de l’Etat failli du Congo -je n’ai pas dit président de la République à Démocratiser du Congo- par la seule volonté de ‘’Joseph Kabila’’; a, en trois ans seulement, reconfiguré le pays en quasi-monarchie clanique. Il faut dire que dans le Congo-Kinshasa défiguré par Tshilombo, à part la langue officielle qu’il envisagerait probablement de changer, tout est à coloration ethnique. Le tribalisme est légalisé et le dénoncer expose à des représailles de la ''talibanie'' qui est parvenue à gangrenner toutes les institutions représentatives.

L'archevêque de KInshasa, dans l’exercice de la mission prophétique de l’église, décrie les inégalités sociales et la mauvaise gouvernance devenues des normes, le clan, depuis son fief de Limeté, décrète la fatwa. contre l’église catholique et la mise à mort du porteur de la pourpre cardinalice. Kabuya, secrétaire général illégitime de l’Udps aile familiale -il y en a légion- promet de distribuer les armes et de faire la guerre à tous ceux qui, comme le cardinal Ambongo, s’oppose au nouvel ordre : le pouvoir ‘’divin’’ du fils du démiurge décédé de Limeté. Ô misère! Le décor d’un retour aux années de l’anarchie et du chaos est planté…

Sous Tshilombo, dont le parti dénonçait il y a peu l’oligarchie swahiliphone, l’ethnie du chef de l’Etat doit tout contrôler : tous les segments de la justice, la présidence de la république tribale, la majorité de médias soudoyée et soumise et, aussi et surtout, le gouvernement dompté. Et, pour boucler la boucle, il manoeuvre pour empocher la Ceni afin de rééditer le forfait de décembre 2018 Se sachant vomi par le peuple, le rejeton d’Etienne Tshisekedi a programmé la fraude comme moyen de survie politique. La démocratie et l’Etat de droit dont on s’était fait le chantre n’étaient alors que de creux slogans!

La loi de la jungle…

Dans la monarchie clanique de Tshilombo, la loi n’existe que pour réprimer, faire taire et faire chanter. Le droit,lui, est dit à la tête du client et la violence et les violations des droits et libertés sont devenues des faits d’une banalité! Mais, comme si cela ne suffisait pas, la justice populaire s’est frayée un chemin et évolue sans froisser le dépositaire du slogan ‘’le peuple d’abord’’/ Quand les militants de l’Udps marchent, même contre l’ordre, ils bénéficient de la bienveillance des services de police et de sécurité là où les opposants sont systématiquement gazés, brutalisés et tués/

Tshilombo ne jure que par son ethnie et ne fait rien pour canaliser la barbarie qui s’est installée dans la gestion de la res publica autant que dans les rapports entre les citoyens congolais. Les militants de l’Udps ne sont pas justiciables dans la monarchie made in Kabeya Kamuanga. Quand Kabuya, Mukoko et Kabund profèrent des menaces, appellent à la rébellion et menacent de mort ou d’extermination certaines composantes de la société congolaise, la justice se fait sourd, muet et aveugle. Du coup, comme à la vieille époque de la royauté en France, le Congo est divisé en deux : le Congo d’en haut, celui des nobles que constituent le pouvoir et son cercle de courtisans tribaux et celui d’en bas, celui du peuple paupérisé et, corvéable

En définitive, la fracture est irrémédiable entre le pouvoir illégitime qui s’appuie sur la contrainte armée pour s’imposer et la majorité de citoyens qui ne rêve que d’en découdre. Dans ce contexte, le pays avance vers des périodes incertaines. Qu’est-ce qui arrivera demain quand le peuple sera poussé dans ses derniers retranchements? L’histoire des dictatures est pleine de leçons instructives. Tshilombo, le dealer de décembre, aurait dû faire amende honorable pour avoir pris le pouvoir en déniant le verdict des urnes mais, il a choisi le raccourci : défier le peuple comme d’autres avant lui. Seulement, il a oublié l’épitaphe qui honore Rossy Tshimanga Mukendi : ‘’le peuple gagne toujours’’.

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samedi 4 juillet 2020

Jean Bosco Kanyemesha, tribaliste et faux pasteur à Londres !

Jean Bosco Kanyemesha, tribaliste et faux pasteur à Londres !

Freddy Mulongo, Réveil FM International

Freddy Mulongo-Jean Bosco Kanyemesha.jpg, juil. 2020

Tribaliste patenté, autoproclamé Pasteur de Binzambi Nzambi à Londres, Jean Bosco Kanyemesha est un individu instable qui roule pour son frère de tribu Àngwalima Tshilombo Tshintuntu Tshifueba. Avec son français de Bena Mpuka, ce Tshilomboïste tribaliste a cru bon de se transformer en donneur de leçon. Avec qu' Àngwalima Tshilombo et ses checkuleurs tribaux pillent le Congo, ce faux pasteur de Bena Mpuka, Jean Bosco Kanyemesha par coterie tribale s'est invité tout seul sur mon mur, se croyant dans son église, il a commencé à faire des remontrances comme si le Congo était le Ligablo de Tshilombo et ses 400 voleurs tribalistes.

Freddy Mulongo-Jean Bosco Kanyemesha 1.jpg, juil. 2020


Sauf que ce faux pasteur, qui ignore l'exégèse biblique et ignore également que la christologie de Karl Barth: Christ est le centre du message biblique. Or Christ a déclaré : "Je suis le chemin, la vérité et la vie". Jean Bosco Kanyemesha à choisi de défendre le faussaire, fourbe, roublard, traître et collabo : Àngwalima Tshilombo Tshintuntu Tshifueba, voleur du destin de notre peuple.

Jean Bosco Kanyemesha s'est autoproclamé pasteur ! A-t-il vraiment la vocation pastorale ? Le Congo se meurt, Jean Bosco Kanyemesha prêche les mensonges, faussetés et Tribalisme. Pauvre type !

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samedi 7 mars 2020

RDC: Tribaliste patenté, Tshilombo un petit demi-dieu veut casser le pays avec ses extrémistes Bena Mpuka tribalisés !

RDC: Tribaliste patenté, Tshilombo un petit demi-dieu veut casser le pays avec ses extrémistes Bena Mpuka tribalisés !

Freddy Mulongo, Réveil FM International

Freddy Mulongo-Angwalima Tshilombo Tshintuntu.jpg, mar. 2020


Jamais la République démocratique du Congo, ex-Zaïre, n'a été aussi proche de son explosion depuis la Nomination Électorale d'Angwalima Tshislombo. Monsieur 15% nommé est une calamité pour le Congo. Voici les raisons qui risquent d'imploser le pays:

1. Lorsqu'on est bénéficiaire d'une Nomination Électorale et que des compatriotes de Beni, Butembo et Yumbi ont été privés du droit de vote, on fait tout pour rassembler et fédérer le peuple. Servir la République, c'est rassembler et fédérer pas autre chose. C'est agir au nom de tous les Congolais même ceux qui ne vous aiment pas. Un président n'est pas là pour être aimé, applaudi, encensé, déifié...il est là pour agir. Angwalima Tshilombo n'est pas le président de tous les Congolais. Il se comporte en petit demi-dieu des Bena Mpuka, Talibans et Tribalo-Ethniques. Il est entrain de casser le pays. Et le jour que le Congo va brûler, il sera trop tard. "Je ne suis pas là pour fouiner dans le passé", "Les 12 millions des morts Congolais sont morts par "Effets Collatéraux" du Rwanda", "Je ne dialogue pas avec des opposants, ils n'ont qu'à attendre 2023"...l'arrogance et l'ignorance en politique se payent "Cash" ! L'Udps, à part la présidence de la République, n'a que 15 députés nationaux et 1 gouverneur de province. Comment Tshilombo a -t-il gagné l'élection présidentielle ?

2. Même sous Joseph Kasa-Vubu, le Maréchal Mobutu, l'Afldl, Alias Kabila, on avait jamais vécu un tribalisme exacerbé comme actuellement avec Angwalima Tshilombo, dans sa présidence usurpée. Tribaliste patenté, Tshilombo a 92 conseillers tribaux à sa présidence usurpée. Cela ne choque pas sa petite conscience. Tous des Bena Mpuka incompétents , checkuleurs et Frappeurs. Les scandales financiers se succèdent en cascade à la présidence de Tshilombo. Lorsque l'Udps, est un parti familial sans cadres ni élites.

3. Un président de la République ne doit jamais insulter ses compatriotes. On se souvient tous de "Casse toi pauv'con" de Nicolas Sarkozy en France, qui l'a poursuivi toute sa présidence et l'a fait dégager pour l'élection présidentielle de 2017. En effet, "Casse-toi, pauv' con !" est une phrase prononcée par Nicolas Sarkozy, alors en fonction de président de la République française, en réponse à une personne refusant sa poignée de main et lui ayant déclaré : "Ah non, touche-moi pas ! Tu me salis !". Prononcée lors de sa visite officielle au Salon de l'agriculture le 23 février 2008, cette réplique est rapidement devenue célèbre grâce à la reproduction de l'enregistrement vidéo et à sa diffusion par Internet. Angwalima Tshilombo a chacune de ses déplacements à l'étranger n'hésite pas du haut de la tribune d'insulter publiquement les Congolais de la diaspora: "Ba Nyngalakata" à Bruxelles, "Ba Ndoki" à Paris et "Ba Combat Ntaba" à Londres. Mieux ses petits soldats, des extrémistes Bena Mpuka excellent dans les injures et insultent sur les réseaux sociaux contre les compatriotes des autres provinces. "Haineux, Jaloux, Boko Mesana...sont leurs insultes préférées. Les Kasaïens à eux-seuls peuvent-ils gagner une élection au Congo ?

Aucun acteur politique Kasaïen en fonctionne ne lève son petit doigt pour dénoncer la dangerosité de cette démarche de haine, stigmatisation et diabolisation des autres Congolais. Facile demain de jouer aux victimaires. Alors que c'est aujourd'hui et maintenant qu'il faut agir et mettre fin à cela.

On parle de "Non à la Balkanisation" mais l'implosion du Congo risque de venir de l’intérieur avec les comportements irascibles des Bena Mpuka, Talibans et Ethno-tribalistes qui soutiennent la présidence volée d'Angwalima Tshilombo par des insultes, matin, midi et soir aux autres Congolais. Ils ont des allumettes entre les mains et son entrain de brûler le pays.

"Bukalenga Buetu", c'est notre pouvoir ! Qu'est-ce qui a changé au Congo ? Rien ! Au Kasaï, des gens meurent de faim. A Kabeya kamuanga, des enfants mangent du sable et en meurent. Ceux qui avaient fui le massacre de Kamwina Nsapu, qui étaient partis en Angola et qui sont revenus parce que Tshilombo a été Nommé président, ils errent à Kananga, qui s'occupent d'eux ?

Les Congolais ont le droit et devoir d'interpeller Angwalima Tshilombo. Que cela plaise aux Kasaïens ou Non ! Il s'agit de la Res publica, qui n'est pas un "Ligablo" de Tshilombo et sa famille mafieuse qui s'enrichit sur le dos du peuple congolais. Comment tshilombo peut-il avoir l'audace de parler de l'Anti-Corruption alors qu'il est le premier corrompu de la République ?

A Réveil FM International, au départ nous avions laissé faire. Depuis un certain temps, nous avons pris la résolution de répondre aux insultes et injures insensées et tarabiscotées des Bena Mpuka, Talibans et Ethno-tribalistes, petits soldats de Tshilombo qui écument les réseaux sociaux.

3. "Il est inacceptable que le pays soit pris en otage par un accord qui, du reste, est occulte." clament les évêques de la CENCO. Dans son communiqué au vitriol publié le lundi, les inquiétudes de la Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO) sont pointés sans ambages:
1. Un an après l’alternance au sommet de l’Etat, des crises multiformes surgissent et font planer des inquiétudes sur le changement social vivement attendu. En effet, une tension préoccupante qui couve au sein de la coalition au pouvoir, se répercute sur la gouvernance, et entame le fonctionnement de l’appareil de l’Etat. Les alliés semblent plus préoccupés par leur positionnement politique que par le service à rendre au Peuple qui continue à croupir dans la misère.
Beaucoup de problèmes auxquels le pays est confronté restent sans solutions adéquates, à cause de la crise qui mine la Coalition. Il est inacceptable que le pays soit pris en otage par un accord qui, du reste, est occulte.
2. En même temps, nous assistons à un enrichissement injustifiable et scandaleux d’une poignée d’acteurs politiques au détriment de la grande majorité de la population. La corruption et les détournements du denier public persistent. Le comble est que ces détournements sont l’œuvre de ceux-là mêmes qui sont appelés à être des garants du bien commun. Les mesures annoncées pour combattre ces maux demeurent sans effets.

3. Nous restons inquiets par la persistance de l’insécurité généralisée dans l’Est du pays, semée par des groupes armés locaux et étrangers, particulièrement dans les provinces de l’Ituri, du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. On n’a jamais compté autant des morts en moins d’une année dans cette partie du pays, comme c’est le cas actuellement. L’insécurité s’étend aussi sous d’autres formes dans les grandes agglomérations du pays, ce qui donne l’impression que le Peuple est abandonné à lui-même.
4. Le manque du recensement de la population et la problématique d’occupation des terres entraînent des conflits intercommunautaires, spécialement dans les zones où la population redoute la balkanisation du pays.
5. Malgré la pétition initiée par la CENCO et l’Eglise du Christ au Congo (ECC), et qui a recueilli plus de deux millions des signatures, les élections locales qui devraient garantir la proximité et la recevabilité des Gouvernants à la base, semblent être renvoyées aux calendes grecques et les réformes souhaitées avant ces élections ne sont pas encore entamées.

Le Congo est un géant aux pieds d'argile. Et Tshilombo et sa bande des frappeurs au lieu de renforcer la cohésion nationale en apportant des solutions aux problèmes de Congolais, ils s'évertuent à tribaliser le Congo.

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dimanche 5 janvier 2020

RDC: Angwalima Tshilombo dénonce le tribalisme et le népotisme dans son discours de vœ“ux 2020

C'est à  se tordre de rire ou à  pleurer jusqu'à  en mourir. Angwalima Tshilombo, depuis sa nomination électorale par Alias Kabila suite à  un odieux et satanique deal, est le plus grand tribaliste que la RDC n'a jamais connu.

1. Il a 720 conseillers à  sa présidence usurpée, tous des Bena Mpuka, Kasaïens-Luba et Tribalo-ethniques.

2. Son conseiller principal chargé des affaires privées, Gilbert Mundela qui est décédé le vendredi 27 décembre dernier, en piquant une crise cardiaque en pleine réunion à  Naïrobi au Kenya, était son cousin. Il était le représentant d'Etienne Tshisekedi pour l'Udps à  Washington. Mundela était au service de sa famille et non de la République depuis des lustres.

3. Sans froid aux yeux, Angwalima Tshilombo a nommé le frère de son père, un mitré retraité par le Vatican, Mgr. Gerard Mulumba 83 ans, comme responsable de la maison civile.

4. Fieffé menteur, Angwalima Tshilombo, au cours d'une interview de TV5 Monde, a tenté de faire croire qu'à  Kikwit on avait tué des Kasaïens parce que lui était élu. Un fake news monté des toutes pièces. Aucun Muluba n'a été tué par des Kikwitois. Tshilombo n'a jamais été élu par le peuple congolais. Le cupide Fils Tshisekedi est un imposteur-usurpateur, traître-collabo. Il a été nommé.

Il est étonnant pour ce grand voleur du destin du peuple, Tshilombo né à  Kinshasa, qui a vécu plusieurs années en Belgique, faisant des petits boulots: distributeur des pizza et prospectus n'ait jamais compris que Bruxelles est le siège de l'Union Européenne et de l'Otan. Sauf que le fils Tshisekedi a passé tout son temps à  Matongé-Ixelles ingurgitant des grosses boule de Fufu et buvant les Mongonzo à  crédit. Et Tshilombo à  55 ans est encore Tribaliste. Son cerveau de moineau n'a pas évolué d'un seul iota.

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