Réveil FM, la première radio libre et citoyenne de Kinshasa en République démocratique du Congo !

Mot-clé - cardinal Etsou

Fil des billets Fil des commentaires

samedi 6 août 2022

Bena Mpuka: A quoi servent nos hôpitaux ? Nos politicailleurs ventriotes et ventripotents meurent à l'étranger en majorité à Bruxelles en Belgique !

Bena Mpuka: A quoi servent nos hôpitaux ? Nos politicailleurs ventriotes et ventripotents meurent à l'étranger en majorité à Bruxelles en Belgique !

Freddy Mulongo Mukena, Réveil FM International 

FB_IMG_1659792025519.jpg, août 2022

Se faire soigner à l’étranger ne garantit pas la guérison. Beaucoup ont été admis dans les meilleurs hôpitaux d’Europe, mais ils y sont morts.

1.  JUSTIN MARIE BOMBOKO, le Patriarche des Anamongo est décédé est mort, le jeudi 10 avril 2014, à Bruxelles en Belgique. À l'accession du pays à l'indépendance, il a été nommé commissaire général (l'équivalent de ministre) aux Affaires étrangères et au Commerce extérieur dans le gouvernement de Patrice Emery Lumumba - assassiné en janvier 1961 - puis président du Collège des commissaires généraux en 1960-1961, ministre des Affaires étrangères de 1960 à 1963, et de 1965 à 1969.

FB_IMG_1659792030691.jpg, août 2022

2. ANDRÉ BO-BOLIKO LOKONGA est l'un 

des pères de l'indépendance congolaise et ex-Premier ministre zaïrois, le sénateur André Bo-Boliko Lokonga Monse Mihambo, est décédé le vendredi 30 mars 2018 en Belgique à l'âge de 83 ans.

Né le 15 août 1934 à Lobamiti dans le Bandundu (ouest de l'actuelle République démocratique du Congo, à l'époque Congo belge), cet ancien syndicaliste - il avait présidé l'Union des travailleurs du Congo - a contribué à l'élaboration de la première Constitution du pays. 

Bo-Boliko avait ensuite été président de Conseil législatif (Assemblée nationale) puis Premier commissaire d'État (Premier ministre) du Zaïre du 6 mars 1979 au 29 août 1980, alors que le maréchal Mobutu Sese Seko dirigeait le pays.

En 1990 avec le retour du multipartisme, il passe à l'opposition et crée le Parti démocrate et social chrétien (PDSC, qui est donc l'un des plus anciens partis d'opposition congolais) avec Joseph dit "Papa" Ileo.

De 1992 à 1997, il fut vice-Président du Haut Conseil de la République, le parlement de transition issu de la Conférence nationale souveraine (CNS), qui visait à introduire la démocratie au Zaïre.

Ce vieux routier de la politique congolaise avait été élu sénateur en 2007.

FB_IMG_1659792034320.jpg, août 2022

3. JOSEPH ILÉO SONGO AMBA , né le 15 septembre 1921, mort le 19 septembre 1994, à Bruxelles en Belgique.

Lorsque les violences s'aggravent  subitement en 1959, et la Belgique est contrainte d'organiser à Bruxelles une "table ronde" pour octroyer l'indépendance factice. Y participent entre autres Ileo, Kasa-Vubu et Lumumba (20 janvier - 20 février 1960).

Papa Iléo est un homme d'État kino-congolais, il a été le second Premier ministre de la République démocratique du Congo, nommé par Joseph Kasa-Vubu pour remplacer Patrice Lumumba, ce du 5 septembre jusqu'au 20 septembre 1960. Lorsque Joseph-Désiré Mobutu fait un coup d'État et met en place le Collège des commissaires généraux ; et une deuxième fois du 9 février au 27 juillet 1961.

FB_IMG_1659792037981.jpg, août 2022

4. ÉTIENNE TSHISEKEDI WA MULUMBA est mort le 1er février 2017 à Bruxelles en Belgique, seul dans sa chambre sans sa femme Marthe Kasalu Jibikila ni aucun de ses enfants à son chevet. Contrairement aux autres dignitaires KONGO dont le corps est retourné au pays après le décès, Étienne Tshisekedi wa Mulumba après deux ans de tergiversations familiales a été incinéré en Belgique. Son corps n'est jamais retourné au pays.

Le collaborateur de Mobutu depuis 1960, celui qui avait traité Lumumba de crapaud, aura occupé plusieurs fonctions sous la dictature de Mobutu. Il devint son faux opposant avec la création de 13 parlementaires fondateurs de l'Udps. Le deal était simple : Tshisekedi injuriait Mobutu Sese Seko, le matin et le soir, il allait au Mont-Ngaliema avec sa Jaguar récupérer des cartons de billets verts.

Les Talibans, tribalo-ethniques de l'Udps qui injurient tout le monde à longueur des journées sur les réseaux sociaux n'ont pour seul modèle qu'Etienne Tshisekedi qui n'a laissé pour héritage au KONGO : un fils voleur de destin de tout un peuple, un frappeur, checkuleur, fakwa, traître, collabo et Maréchal Pétain: ANGWALIMA TSHILOMBO TSHINTUNTU TSHIFUEBA.

5. KANANA TSHIONGO est l'un des 13 partenaires fondateurs de l'Udps. Revenant d'une visite aux États-Unis, il avait piqué une crise à l'aéroport de Zaventem en Belgique.

Il a été victime des tortures du régime de Mobutu. Dans une déposition aux ongs des droits humains on peut lire:

 L'auteur est membre fondateur de l'Union pour la démocratie et le progrès social — UDPS — parti politique qui était opposé au régime du Président Mobutua. Aux environs de 13 heures, le 1er mai 1989, des membres des forces de défense zaïroises auraient conduit l'auteur au siège de l'Agence nationale de documentation (AND), organe spécial de la police politique zaïroise. On lui aurait d'abord dit qu'il devait rencontrer le directeur de l'agence, mais, à son arrivée, il a été emmené dans ce qu'il appelle une chambre de torture. Il y serait resté seul jusqu'aux environs de 20 heures, heure à laquelle plusieurs personnes seraient entrées dans la cellule. L'auteur aurait été déshabillé et attaché au sol en ciment; aux environs de minuit, cinq hommes seraient entrés dans la cellule et auraient commencé à le torturer. Un sixième homme les aurait rejoints vers 2 heures du matin. Entre autres tortures, l'auteur aurait reçu des décharges électriques sur les organes génitaux et aurait été violemment frappé avec des barres de métal dont les extrémités avaient été entourées de fil de fer barbelé. Selon l'auteur, ce traitement se serait poursuivi jusqu'à ce qu'il perde conscience au petit matin le 2 mai 1989.

2.2 L'auteur a été laissé pour mort dans des buissons au bord de la route, à proximité du siège de l'AND. Il déclare qu'il a repris conscience vers 7 heures du matin le 2 mai et qu'il a réussi à attirer l'attention d'ouvriers qui l'ont transporté au bureau de la Croix-Rouge le plus proche d'où il a été emmené à l'hôpital américain pour y recevoir des soins d'urgence. Il a été hospitalisé pendant plusieurs jours.

FB_IMG_1659792054625.jpg, août 2022

6. Hospitalisé à Louvain en Belgique, le cardinal FRÉDÉRIC ETSOU, archevêque de Kinshasa, est mort samedi 6 janvier 2007 des suites d'un œdème pulmonaire. Il était âgé de 76 ans. Ordonné évêque en 1976, il avait succédé au cardinal Malula à Kinshasa en 1990. Jean-Paul II l'avait créé cardinal en 1991.

Le cardinal Etsou avait fait sensation en novembre 2006, pressant l'abbé fradeur Apollinaire Malu Malu de proclamer les vrais résultats de l'élection présidentielle Louis Michel 2006.

FB_IMG_1659792050209.jpg, août 2022

7. Le 16 mars 2013, décès de SETI YALE à Bruxelles. Conseiller "très spécial" de Mobutu, Seti était, deux décennies durant, l’homme le plus puissant du régime Mobutu, le redoutable homme de l’ombre qu’on appelait à la fois "Zéro One", "Ya Jean", "Spécial", "Roméo Golf".

Sur lui, Nimy Mayidika (DirCab Mobutu) a d'ailleurs écrit dans son livre "Je ne renie rien, Je raconte": "Aucun Congolais, hormis Seti et Kengo, n’auront, aux côtés de Mobutu, joui de pouvoirs, de la confiance, de l’influence politique, comparables à ceux de Bisengimana".

Seti Yale naît en juillet 1943 à Yakoma (Equateur). Il obtient un diplôme de licence en Sciences sociales à l'Université Lovanium (Kinshasa). Après ses études universitaires, il entre, au début des années 70, dans le service de la Sûreté nationale.

Cette année-là, la Sureté nationale venait d'être rebaptisée "Centre national de documentation", et recrutait les brillants jeunes universitaires. Seti prend la tête du département de contre-espionnage (Documentation intérieure) avec le titre d’administrateur principal.

En 1976, le contre-espionnage fusionne avec l’espionnage (Documentation extérieure). C’est Seti qui en prend la tête. En 1980, Mobutu décide de mieux assurer la coordination des services de sécurité (civils et militaires). Il crée le Conseil national de sécurité (CNS).

C'est Seti Yale qui prendra la direction du Conseil national de sécurité, comme Secrétaire général d’abord, puis comme Conseiller spécial du Chef de l’état en matière de sécurité. En 1986, il n’est plus conseiller spécial, mais Conseiller privé du Chef de l’état.

Lors de la longue transition (1990 à 1997), avec le débat sur la démocratisation, les procès publics et télévisés contre le régime, la famille biologique de Mobutu trouve un bouc émissaire. Seti Yale quitte définitivement le palais et va s’occuper de ses affaires privées.

On le voit à Faro (au Portugal), à Bruxelles (en Belgique) et à Paris (en France) où il possède des propriétés, à Abidjan (en Côte d’Ivoire) et à Rabat (au Maroc). En mai 1997, à la chute du Président Mobutu, Seti Yale décide de s’installe à l’étranger.

En 1998, lorsque Jean-Pierre Bemba lance le Mouvement de Libération du Congo (MLC), on voit Seti Yale à Gbadolite (siège du MLC), puis à Goma (siège du RCD), toujours aussi mystérieux, sans jouer un rôle de premier rang au sein des 2 mouvements.

C’est en 2004 que Seti Yale regagne le pays, au lendemain de la mise en place du gouvernement de transition (le "1+4") et l’entrée en fonctions de Jean-Pierre Bemba Gombo comme Vice-président de la République en charge du secteur économique et financier.

FB_IMG_1659792042468.jpg, août 2022

8. CHARLES MUANDO NSIMBA, le président du regroupement de l'opposition congolaise G7 et du parti Union nationale des démocrates fédéralistes (Unadef), l'ancien ministre de la Défense, Charles Mwando Nsimba, est décédé lundi 12 décembre 2016 à Bruxelles à l'âge de 80 ans des suites d'une longue maladie.

À un moment de retrait de la scène politique, il revient aux affaires en 2006, après l'élection de d'Alias Kabila. Il a été successivement ministre des Transports, du Développement rural et de la Défense. En 2012, il est élu vice-président de l'Assemblée nationale.

En septembre 2015, il décide de quitter la Majorité présidentielle (MP, qui soutient l'action de Joseph Kabila) avec six autres formations politiques. Ces partis ont formé le G7 dont Charles Mwando Nsimba est resté le leader jusqu'à son décès.

9. PIERRE KANYONGA MOBATELI azaki un homme politique, opposant na régime ya Président Mobutu, ngunda na royaume ya Belgique. Kuna na Belgique azalaki très actif na parti politique ebengami Mouvement d’Action pour la Résurrection du Congo (M.A.R.C.) Yango esalemaki clandestinement le, 24 juillet 1974 na Kinshasa. Baye basalaki yango bazali : Pierre Kanyonga Mobateli, Jean de Dieu Kudia Kubanza, Rudahingwa, Kanyonga Bidimpata. M.A.R.C. eyaki koyebana na plume ya Pierre kanyonga na Jean-Alidort Kalonga « Ali » na journal mensuel Miso Gaa oyo ebandaki kobima na Bruxelles.

Kanyonga azalaki très actif na Jeunesse du Mouvement Populaire de la Révolution (J.M.P.R.), section Belgique.

Na poto, M.A.R.C. ekomaki na audience mingi mpe ebandi koleka na ba journaux ya télévisions na ba radios mpe ba journalistes bazali kokoma ba articles na ba activités na yango. Na Belgique, parti e s’organisaki na lolenge liye : Président, Daniel Monguya Mbenge, Secrétaire général, Pierre Kanyonga Mobateli.

Pierre Kanyonga Mobateli baboma ye koboma na 1978, na Bruxelles, juste après condamnation na ye à mort par contumace na jugement rendu na Conseil de guerre ya ville de Kinshasa, le 17 mars 1978. Sima ya wana, na été 1978, pouvoir e utilisaki T.P. O.K Jazz na complicité ya Franco mpo na koboma Kanyonga. Assassinat na ye babongolaki yango na suicide alors que ezali ndenge wana te. Pour la petite histoire, ba présumés assassins ya Kanyonga bazalaki ba vrais-faux musiciens ya O.K. Jazz oyo bazalaki na délégation ya une trentaine de musiciens Franco awutaki na bango na Kinshasa. Ba vrais-faux musiciens et présumés assassins bakotelaki ye na appartement azalaki na copine na ye ya Irène (une métisse belge).

FB_IMG_1659792061682.jpg, août 2022

10. KISOMBE KIAKU MUISI, ex-Amasco. Le meilleur candidat de la campagne législatives de 1977 dans la ville de Kinshasa.

Il a été inhumé le jeudi 2 août 2007 à Ngandu, son village natal, près de Mbanza-Ngungu, dans le KONGO Central. Après des obsèques dignes de son rang à Kinshasa, plusieurs dizaines d'amis et connaissances ont accompagné les membres de la famille éplorée jusqu'à la dernière demeure de celui qui leur avait cher : Kisombe Kiaku Muisi.

Après une maladie, il a tiré sa révérence en plein exercice de ses dernières fonctions de vice-président de l'Assemblée provinciale du Bas-Congo, dont il était originaire. Il était aussi président du Mouvement pour la démocratie et le développement (MDD). Lui, c'est Augustin Kisombe Kiaku Muisi, plus de 75 ans. Evacué en Belgique pour des soins de santé, « Kis » était décédé le dimanche 22 juillet 2007 à 23 heures de Bruxelles.

11. ADRIENNE EKILA LIYONDA est décédée le 23 juin 2006. Elle souffrait d'asthme et vivait en Belgique depuis plusieurs années. Née le 16 octobre 1948 à Kinshasa, Adrienne Ekila était détentrice d'une licence en Droit de l'Université catholique de Louvain.

En 1974, elle est engagée à l'Agence congolaise de presse (ACP) en qualité de conseiller juridique, puis est devenue journaliste au service économique de l'agence. En 1977, elle est nommée conseiller juridique au Bureau du Président de la République. En 1981, elle est nommée secrétaire général au Comité exécutif du Mouvement populaire de la révolution (MPR) chargée de la Condition féminine et entre au Comité central du MPR en 1983.

Commissaire d'Etat (ministre) aux Affaires sociales et à la Condition féminine en 1983-1985, elle devient ambassadrice en Belgique, aux Pays-Bas et au Luxembourg de 1985 à 1987, avant d'assumer les fonctions de commissaire d'Etat aux Affaires étrangères, puis à l'Information et Presse jusqu'en 1990.

Durant la Transition des années 90, elle fera partie de l'Union des démocrates indépendants (UDI) dont elle sera la présidente fédérale pour la ville de Kinshasa.

FB_IMG_1659792066576.jpg, août 2022

12. JEANNOT BEMBA SAOLONA ministre de M'zée Laurent-Desiré Kabila, il avait lancé un appel Patriotique à son criminel de fils de quitter la rébellion et de cesser de continuer de tuer ses compatriotes KONGO. Le sénateur et  père de l'ancien vice-président Jean-Pierre Bemba, est décédé dans la nuit de mercredi à jeudi 1 juillet 2009 à l'hôpital Saint-Jean de Bruxelles, où il avait été conduit après un malaise dans la soirée.

L'ancien homme d'affaires, qui fut longtemps président de la confédération patronale zaïroise, était âgé de 67 ans.

FB_IMG_1659792071636.jpg, août 2022

13. L'artiste congolais Lokanga Lua Djua Pene, très connu sous le nom de Luambo Makiadi Franco est décédé en Belgique le 12 octobre 1989, à l'âge de 51 ans.

De nombreux artistes ont évolué aux côtés de celui qu'on rappelait oncle Yorgo. Dans la foulée, nous pouvons citer Jolie Deta, Madilu Système, Josky Kiambukuta, Aimé Kiwakana, Djo Mpoyi, Lutumba Simaro, Jerry Dialungana, Makoso, Diato Lukoki, Malage, Lassa Carlito, Vicky Longomba, Michel Boyibanda, Brazos, Youlou Mabiala, Nino Malapet, Edo Nganga, Kwamy, Mujos Mulamba, Kiese Diambu, Ntesa Dalienst, Ndombe Opetum, cette liste n'est pas exhaustive.

l'immeuble un, deux, trois qui était le sanctuaire du Tout Puissant OK Jazz, l'orchestre cher à Franco, est l'objet d'une poursuite en justice et l'affaire n'est pas encore terminée.

FB_IMG_1659792075314.jpg, août 2022

14. Mort du « roi » de la rumba congolaise Tabu Ley Rochereau. Le chanteur et compositeur est décédé samedi 30 novembre 2013 à Bruxelles, à l'âge de 76 ans. Il fut le premier artiste africain à jouer à l'olympia à Paris. 

A quoi servent nos hôpitaux, plus de 62 ans après l’indépendance ? Le fait que nos dirigeants courent vers les hôpitaux étrangers, fait passer deux messages humiliants à la RDC. Le premier message : nos dirigeants sont incapables de redresser notre système de santé, d’équiper nos hôpitaux et d’y instaurer des soins de qualité pour tous en RDC.

Le second message est que les autorités se font soigner à l’étranger aux frais de l’État, c’est-à-dire, aux frais du contribuable congolais. Pourtant, elles ne font rien pour que les citoyens congolais bénéficient eux aussi localement du même genre de soins. Au bas mot, les autorités nous privent d’un des droits fondamentaux  de l’Homme : les soins de qualité.

Nos dirigeants pensent qu’il n’y a qu’eux qui ont le droit d’être bien soignés, pas le peuple. Oh peuple pitoyable, qui s’occupera de toi ? Quand est-ce que nos hôpitaux répondront aux standards internationaux ? Nos cliniques pourront-elles recevoir un jour des étrangers pour des soins ?

lorsqu’un homme politique sent un malaise dans son corps ou tombe malade, il préfère aller en Europe, en Afrique du Sud ou en Inde. Un avion médicalisé est affrété, pour des soins à l’étranger. Souvent, c’est aux frais du trésor public, alors que la population n’a pas accès à de pareils soins au pays.

Nos politicailleurs n’ont pas foi dans le système de santé congolais. Ils le savent défaillant et insuffisant. Pour eux, il faut recourir à une médecine sophistiquée à l’étranger.

Freddy Mulongo Mukena

Réveil FM international

Lire la suite...

Partager sur : Partager