
Avec bonheur, je couvre la campagne présidentielle en France pour Réveil FM International. C'est claire ma tête et mon esprit,les différences entre la gauche, la droite, l'écologie, l'extrême droite...j'ai appris à découvrir, apprécier le programme de chaque candidat surtout le quinté des favoris de la prochaine élection présidentielle. Hier soir j'étais vraiment heureux de vivre à Paris, la ville lumière, dans cette douce France, mon pays d'adoption. Les principaux candidats à la présidentielle se sont affronter dans l'arène, sans coups de poings et pieds. Les idées priment à la place des muscles ni kalachnikov. Après le débat, aucun journaliste qui a posé des questions aux candidats n'a été interpellé ni arrêté ni jeté en prison.
Cinq candidats sont montés sur le ring:
Jean-Luc Mélenchon, candidat de la 6è République contre la Monarchie présidentielle. Pour le Président de la France Insoumise, à la verve facile, il est temps de changer de logitiel politique.
Emmanuel Macron, candidat d'En Marche, légitime dans ce premier grand débat qui est aussi sa "Primaire". Le plus jeune de tous est un vieux briscard qui ne s'est pas laissé faire. "Madame Le Pen. Je ne vous fais pas parler. Je n'ai pas besoin d'un ventriloque ". Nocice dans l'exercice de débat, Macron a servi de punching-Ball aux quatre autres mais a bien résisté et ena étonné plus d'un. Décidement, "Vous vous ennuyerez sans moi" a-t-il lancé à ses débateurs !
François Fillon, candidat des Républicains, avec ses casseroles retentissantes, mis en examen pour détournements de fonds publics...L'ancien Premier ministre, plus expérimenté, plus matois sans modestie assure que lui aurait une majorité parlementaire s'il était élu président.
Benoit Hamon, le breton qui n'a pas la nuque raide est allé chercher Macron dans son coin. Il a mis Macron en demeure de s'engagger à faire la lumière sur le financement de sa campagne avec ses gros donateurs. Il s'attaque à Macron qui fait exposer le parti socialiste.
Marine Le Pen sa marque de fabrique ses invectives. Programme du répli de soi, anti-européen, anti-immigrés, pro-rétablissement des frontières...
En République démocratique du Congo, même la bêtise, on la fait mal. Etre le singe de l'autre n'est pas facile. Nous sommes en 2002 à Kinshasa, en République démocratique du Congo, à l'issue du fameux dialogue Inter-congolais à Sun-City un gouvernement 1+4=0 des profito-situationnistes, politicailleurs, criminels et seigneurs de guerre est mis en place. Un gouvernement blancherie des pillards, voleurs, bandits de grand chemin...Après avoir usé et abusé des armes contre les populations civiles, ils sont contraints de gouverner ensemble. Ils se tiennent tous à la barbichette.
Placé à la tête de la Haute Autorité des Médias, une institution d'appui à la démocratie, par Alias Joseph Kabila, "Momo" Modeste Mutinga Mutuishayi devint un grand prédateur de la liberté de la presse en République démocratique du Congo. Contre espèces sonnantes et trébuchantes, Modeste Mutinga Mutuishayi, le chauve de Ngaba fut un deal avec Hippolyte Kanambe Kazembere Alias Joseph Kabila : Museler, baîlloner des journalistes, médias et opposants durant la transition, surtout ne pas organiser le débat démocratique inscrit dans la Constitution de transition entre les deux candidats arrivés en lice, en occurrence Jean-Pierre Bemba-Alias Jo Kabila. Le débat devait être radio-télévisée par tous les médias à travaers la République. Ventriote, Modeste Mutinga Mutuishayi priva 65 millions de congolais d'un débat démocratique pour un enrichissement personnel.
Élection Louis Michel 2006, "Momo" Modeste Mutinga Mutuishayi convoque les responsables des médias dans l`enceinte de la Monuc, ils sont contraint de signer un "contrat de bonne conduite" devant les Ambassadeurs de la CIAT. C'est bien Johan Swinnen, l`ancien Ambassadeur de la Belgique en RDC qui est derrière Modeste Mutinga Mutuishayi et derrière Kimpolongo de la RTNC, Roger Meece, ancien ambassadeur des Etats-Unis. Dans quel pays a-t-on vu des ambassadeurs porter caution à la répression contre les médias et s'immiscer dans les affaires de la presse ? Réveil FM n'a jamais posé sa signature sur un code bidon de "Bonne conduite". Photo Réveil FM, archives
Lors des élections Louis Michel 2006, fourbe, roublard et grand requin "Momo" Modeste Mutinga Mutuishayi excella dans un autocratisme Brejnevienne. En toute impunité, la Haute Autorité des Médias (HAM) devint le bras armé d'Alias Joseph Kabila, distribuant des sanctions à la pelle aux journalistes, médias et acteurs politiques de l'opposition. On compris très vite que l'arriviste et parvenu "Momo" Modeste Mutinga Mutuishayi roulait pour Alias Joseph Kabila pour bà¢illonner et museler les journalistes et médias congolais. Prédateur de la liberté d'expression, celui qui devint l'autocrate de la HAM, dans son deal avec Joseph Kabila avait négocié son parachutage au Sénat comme Rapporteur. Corrompu jusqu'à la moelle épinière, le Matador contre la liberté de presse en République démocratique du Congo, l'ogre de la HAM avait pu quitter la maison familiale de Ngaba-Makala pour se construire plusieurs villas dans la capitale villa à Mbinza et un appartement à la Gombé.
corrompu jusqu'à la moelle épinière, Modeste Mutunga Mutuishayi a retrouvé ses anciens réflexes de gendarme de Mobutu: méthodes de flicages, accusations fortuites des confrères auprès de services, médisances, livraison des journalistes à l'ANR...Sous le rire narquois de Modeste Mutinga Mutuishayi, c'est un pitbull tueur et corrompu qui s'y est caché. Venant de la presse écrite sans aucune notion de l'audiovisuel, on aurait pensé dans l'esprit de la confrérie que Modeste Mutinga Mutuishayi serait proche des journalistes et médias. Erreur, l'homme de Ngaba-Makala s'est révélé être un prédateur de presse, avec sa HAM, étouffoir des libertés, il a muselé des journalistes, bà¢illonné des médias.
Kinshasa, le vendredi 28 juillet 2006, la Haute Autorité des Médias (HAM), institution la plus controversée, scélérate a été saccagée, pillée et incendiée par les Congolais furieux. Photo Réveil FM, archives
Pour s'assurer que son contrat avec Jo Ka allait être respecté, l'orgre et chauve de la HAM ne savait pas "déléguer", il lisait tout seul ses farfelues suspensions des journalistes et des médias, des acteurs politiques etc. Par manque de pédagogie et la volonté de personnaliser à outrance le pouvoir de la HAM, institution d'appui à la démocratie qui devint folle et anti-démocratique. D'ailleurs, les suspensions étaient lues à la RTNC et les chaines privées sans au préalable que les intéressés soient signifiés. Un confrère avait même appris sa suspension en écoutant la radio dans un taxi à Kinshasa.
La photocopieuse de la fameuse et défunte HAM.
La volonté de dominer voire d'écraser les journalistes était manifeste dans le chef de Modeste Mutinga Mutuishayi, lui qui n'avait rien eu de Mobutu ni de M'zée Laurent-Désiré Kabila, il avait une chance inouïe avec le Kadogo. Censeur et prédateur de la liberté de presse, "Momo" Modeste Mutinga Mutuishayi est passé à cà´té de l'histoire. Il est bon pour la poubelle de celle-ci. "Momo" aurait dà» organiser le premier débat démocratique inscrit dans la Constitution de la transition. En voyant son pauvre ventre, en se faisant corrompre pour museler journalistes, médias et opposants pour sefaire nommer Rapporteur au Sénat, le chauve de Ngaba demeurera dans l'histoire du Congo comme l'un des insconscient de la République.
Les dossiers éparpillés, sans doute aussi des BI que la HAM transmettait à l'ANR contre des journalistes, médias et acteurs politiques.
La notion de pouvoir, sa lecture , sa compréhension chez une partie de l`intelligentsia congolaise sont empreintes d'un caractère "féodal". La féodalité ayant pour faculté dans l'existence sociétale de générer le rapport "Dominant- Dominé" et non pas citoyen ni républicain. Les Bantous disent:"Un chef qui crie pour se faire entendre ce qu'il lui manque quelque chose". L'autoritarisme affichait par certains hauts fonctionnaires en République démocratique du Congo est le signe patent du complexe les habitant. Il est révélateur du déficit argumentaire du détenteur de la petite parcelle du pouvoir face a son contradicteur. La culture de l'excellence a pour terroir le choc des idées. N'est pas chef ni autorité celui qui use des stratagèmes liberticides, qui étouffe " les vérités" des autres; car personne n'a de science infuse. L' abus de pouvoir est la concaténation d'une conception dégénérative du pouvoir. Museler les autres devient ainsi facteur et vecteur d'affirmation de sa toute puissance, preuve de "Haute" autorité.