Réveil FM, la première radio libre et citoyenne de Kinshasa en République démocratique du Congo !

jeudi 16 avril 2020

France: Belle âme, Patricia Eketebi, une grande patriote !

France: Belle âme, Patricia Eketebi, une grande patriote !

Freddy Mulongo, Réveil FM International

Le Coronavirus-Covid 19 vient de faucher la vie de Patricia Eketebi. Grande combattante de la cause des femmes congolaises victimes de viols à l'Est de la République démocratique du Congo. Patriote et généreuse, Patricia Eketebi croyait en son Zaïre-Congo. Elle se battait pour un autre Congo. Nos condoléances à sa famille. La communauté congolaise de France a perdu.

Freddy Mulongo-Eketebi.jpg, avr. 2020

Patricia Eketebi était une vraie "Muana Poto", avec son français châtié, toujours ponctuelle au rendez-vous réglée comme une aiguille suisse. Une grande activiste dont la présence et voix portaient au sein de la communauté congolaise résistante. Intelligente et réfléchie, les violeurs à l'Est de la République démocratique du Congo en ont eu pour leur grade. Toujours polie,Patricia Eketebi était une non-violente. Les violences contre les vielles dames, femmes et bébés dans le Grand Kivu mettaient Patricia dans tous ses états.

Freddy Mulongo-Eketebi 1.jpg, avr. 2020

La généreuse banquière n'hésitait pas à aider des compatriotes à accéder aux crédits. Femme combattante et des convictions, Patricia Eketebi aimait son Zaïre-Congo. Elle battait les pavés parisiennes pour défendre son pays.

Organisée par Roger Bongos (Afrique Rédaction) et Freddy Mulongo (Réveil FM International) au Press club de France à Paris-Montparnasse Le jeudi 27 mars 2014, au Press Club de France à Paris, une centaine de personnes ont participé au Forum International sur la liberté de la presse, pour les droits de l'homme et contre l'impunité.

Pour une première à Paris, c'en était une ! Le succès de l'organisation du Forum était du à la qualité des intervenants et participants. La parole a été libérée au Press Club de France à Paris-Montparnasse où chacun a pu s'exprimer librement.

La joie affichée de Patricia Eketebi, photo que j'ai prise parce qu'elle était la première à arriver au Press club, résume le succès du Forum sur la liberté de la presse, pour les droits de l'homme et contre l'impunité.

La communauté congolaise a perdu une grande dame. Patricia Eketebi a été connue avec les marches de Kabila dégage. Avec le Coronavirus-Covid 19, nous n'avons plus le droit de nous réunir à plus de 20 personnes. Il nous faut déjà commencer à la reconversion de notre noble combat pour la libération du pays.

Femme des prières, lorsque je pense à Patricia Eketebi depuis l'annonce de son départ, c'est 1 Timothée 6: 11-13 qui vient à l'esprit: "Pour toi, homme de Dieu (femme de Dieu), fuis ces choses, et recherche la justice, la piété, la foi, la charité, la patience, la douceur. Combats le bon combat de la foi, saisis la vie éternelle, à laquelle tu as été appelé, et pour laquelle tu as fait une belle confession en présence d'un grand nombre de témoins. Je te recommande, devant Dieu qui donne la vie à toutes choses, et devant Jésus-Christ, qui fit une belle confession devant Ponce Pilate,…"

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jeudi 26 mars 2020

RDC: Quel héritage de Me Jean-Joseph Mukendi au Congo ? Son neveu Angwalima Tshilombo Tshintuntu catapulté sur le trône du Congo!

RDC: Quel héritage de Me Jean-Joseph Mukendi au Congo ? Son neveu Angwalima Tshilombo Tshintuntu catapulté sur le trône du Congo!

Freddy Mulongo, Réveil FM International

Freddy Mulongo-Me Mukendi jean Joseph 4.jpg, mar. 2020


Personne à risque, il était allé en France pour un check-up et a, par la même occasion, contracté le Covid-19, d'après les membres de sa famille. A son retour à Kinshasa, les difficultés respiratoires ont commencé et le Coronavirus l'a emporté. Si sur le plan humain, Me Jean-Joseph Mukendi wa Mulumba a été sympathique, courtois voire respectable et respecté. Sur le plan Congo, notre pays, son héritage est monstrueux. Election du 30 décembre 2018: Accompagné d'une quarantaine d'avocats, Me Jean-Joseph Mukendi wa Mulumba est allé à la Cour Constitutionnelle défendre le putsch électoral de son neveu Angwalima Tshilombo, faussaire, fraudeur, tricheur, imposteur, usurpateur, traître et collabo pour en faire Président Nommé de la République démocratique du Congo. Quelle monstruosité ! Il nous laisse à la tête du pays, un nullard-médiocre et incapacitaire Angwalima Tshilombo, pseudo président étiquette, qui ne contrôle et dirige rien. Il est le pantin, marionnette et masque d'Alias Kabila qui l'a nommé. Bénéficiaire d'une Nomination Électorale est un Tshintuntu-Tshifueba, rien de plus.

Emporté par le coronavirus, Me Jean-Joseph Mukendi wa Mulumba allait sur ses 74 ans. Il était le chef par intérim du conseil consultatif juridique de son neveu à la présidence usurpée.

Freddy Mulongo-Me Mukendi jean Joseph 5.jpg, mar. 2020

Me Jean-Joseph Mukendi wa Mulumba est l'homme orchestre des négociations secrètes et occultes entre l'Udps et le régime d'occupation et d'imposture d'Alias Kabila à Venise, Ibiza, Paris, Bruxelles et Kinshasa. Le tweet de Néhémie Mwilanya sur le FCC-Officiel est révélateur : "Me Mukendi fut un des artisans du dialogue de Venise, entre l’Udps et la MP en 2015. Il a contribué, à la mise en place d'un processus électoral apaisé. Sincères condoléances à sa famille biologique,à sa famille politique et à l'ordre national des avocats".

Néhémie Mwilanya Wilondja, coordonnateur du Front Commun pour le Congo (FCC) n'est rien d'autre que l'ancien directeur de cabinet d'Alias kabila et son bras droit. Donc l'homme de kingakati remercie Me Mukendi à travers son homme de main , néhémie Mwilanya pour l'avoir aidé à demeurer deux années de plus, en toute illégitimité et impunité alors qu'il était fin mandat depuis 2016.

Donc pendant que le peuple congolais décriait le régime d'occupation et d'imposture d'Alias Kabila. Pendant que le peuple congolais était massacré dans la rue pour avoir réclamé l'instauration de la démocratie...pendant que les jeunes Rossy Mukendi, Thérése kapangala que les prêtres étaient dénudés dans des paroisses...Me Jean-Joseph Mukendi wa Mulumba étaient chef de délégation de l'Udps, dans des palaces à Ibiza, Venise, Paris, Bruxelles entrain de négocier avec des tortionnaires du régime d'Alias Kabila !

Grand avocat respecté ? Pour son ventre et sa famille, pas pour le Congo. Me Jean-Joseph Mukendi wa Mulumba a contribué à ce que le Congo est aujourd'hui. Après 18 ans, d'un homme qui arrivé au Congo avec ses bottes de jardinier et sa kalachnikov en bandoulière: Alias Kabila ! Nous voilà avec un ancien distributeur des prospectus et pizzaïolo à la tête du pays. Simplement parce qu'Angwalima Tshilombo est son neveu. La fibre tribale y est pour quelque chose.

Pourquoi Me Jean-Joseph Mukendi wa Mulumba qui s'est ramené avec une cohorte d'avocats, pour montrer sa puissance n'a-t-il pas pensé un seul instant de confier le pays à l'un de ses avocats ?

A 74 ans, il s'attendait à être nommé Président de la Cour Constitutionnelle afin de préparer et pérenniser la fraude électorale de son neveu. C'est pourquoi donc que Kabunda wa Kabunda, le Kasaïen faux Katangais déclarait qu'Angwalima Tshilombo sera président du Congo jusqu'au retour du Christ ? Me Jean-Joseph Mukendi wa Mulumba était donc l'homme orchestre de cette machination contre la République ? Coronavirus est passé avant, on ne saura jamais tout ! 

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jeudi 17 octobre 2019

Déclaration franco-allemande de Toulouse !

Déclaration franco-allemande de Toulouse

Mercredi 16 octobre 2019, Angela Merkel et Emmanuel Macron à  Toulouse,

à€ l'issue du 21ème Conseil des ministres franco-allemand, les deux pays se sont engagés sur une feuille de route commune, baptisée "La Déclaration de Toulouse". Le président de la République et la chancelière allemande ont prévu de renforcer leur collaboration notamment dans le spatial et autour d'un programme commun de R&D consacré à  l'intelligence artificielle. "En compagnie de nos ministres respectifs, la chancelière et moi avons partagé nos préoccupations sur la situation économique mondiale en raison des tensions commerciales qui règnent actuellement. Mais ces tensions commerciales ne font pas tout et l'Europe doit être en mesure de reprendre la bataille de l'investissement et de l'innovation. l'Union européenne doit également revoir ses règles de la concurrence et du commerce, et réguler les géants du numérique, pour s'adapter aux évolutions de notre écosystème", a déclaré le président de la République, Emmanuel Macron, lors d'une conférence de presse conjointe avec Angela Merkel.

La France et l`Allemagne, dans le prolongement des engagements pris lors du Conseil des ministres franco-allemand en juillet 2017, à  Meseberg en juin 2018 et dans le Traité sur la coopération et l`intégration franco-allemandes, signé à  Aix-la Chapelle le 22 janvier 2019, rappellent leur détermination commune à  promouvoir une Union européenne plus souveraine et plus efficace en cette période où les défis géopolitiques se multiplient. Dans ce contexte, la France et l`Allemagne soutiennent sans réserve l`agenda stratégique adopté par le Conseil européen en juin 2019 et les priorités politiques de la prochaine Commission européenne présentées par Ursula von der Leyen.

LA FRANCE ET L`ALLEMAGNE PRÉCONISENT L`ADOPTION RAPIDE DU PACTE VERT POUR L`EUROPE QUI SERA PROPOSÉ PAR LA PRÉSIDENTE ÉLUE, URSULA VON DER LEYEN.

Les deux pays souhaitent que l`Union européenne parvienne à  la neutralité carbone d`ici à  2050. La France et l`Allemagne examineront les moyens de mettre en oeuvre une taxe carbone aux frontières compatible avec les règles de l`OMC. La France et l`Allemagne sont favorables à  l`introduction dans le système d`échange de droits d`émission de l`UE (ETS) d`un prix minimum du carbone. En étroite coopération avec la Commission européenne, nous voulons travailler à  l`introduction possible d`un système d`échange de droits d`émission européen (ETS) couvrant tous les secteurs. Pour faciliter la transition, il est aussi crucial de réorienter les flux financiers : la France et l`Allemagne soutiennent l`idée du renforcement du rà´le de la Banque européenne d`investissement dans le financement de l`action climatique afin d`accroître les investissements publics et privés dans les projets verts et de faire de la BEI la ``Banque du climat» de l`Union européenne.

En ce qui concerne la biodiversité, dans la perspective de la COP15, la France et l`Allemagne travailleront en étroite coopération afin d`intégrer la biodiversité dans toutes les politiques sectorielles concernées et agiront en vue de la conclusion d`ici à  2020 d`un traité des Nations Unies sur la protection de la biodiversité des océans et le développement des pratiques durables. Les deux pays demanderont à  la Commission de proposer des initiatives législatives ou non législatives de l`Union européenne, compatibles avec le droit de l`OMC, afin d`éviter les importations de produits issus de la déforestation.

LA FRANCE ET L`ALLEMAGNE PARTAGENT L`OBJECTIF D`UNE ÉCONOMIE EUROPÉENNE FORTE CAPABLE DE RELEVER LES DÉFIS MONDIAUX ACTUELS.

Les tensions commerciales doivent être résolues et les deux pays réaffirment leur volonté de travailler dans le cadre de l`UE pour protéger et renforcer le système commercial multilatéral, fondé sur une OMC réformée :

• en travaillant à  améliorer les règles (transferts de technologies, propriété intellectuelle, surcapacités, etc.);

• en renforçant les mécanismes de suivi et de mise en œ“uvre des règles ;

• en mettant en place un système de règlement des différends à  deux niveaux, qui soit robuste et efficace.

En particulier, l`UE doit rester déterminée à  dialoguer avec les États-Unis et d`autres partenaires, tout en restant prête à  défendre ses intérêts légitimes. L`UE doit poursuivre son soutien au système commercial multilatéral en conservant un agenda commercial ambitieux. La France et l`Allemagne soutiennent la prochaine Commission dans ses efforts pour définir un agenda commercial réformé, en faveur de l`égalité des conditions de concurrence internationale et de l`amélioration du suivi des règles et accords commerciaux. En outre, les deux pays sont favorables à  ce que notre politique commerciale soit compatible avec les politiques climatiques de l`UE et leurs dimensions sociales et environnementales.

Les perspectives économiques dépendent également d`évolutions de fond, notamment la transformation numérique, la transition énergétique et la concurrence européenne et internationale. La France et l`Allemagne soulignent l`importance d`une base économique, technologique et industrielle durable et solide en Europe, ce qui nécessite d`améliorer le fonctionnement du marché unique, notamment dans ses aspects numériques, d`actualiser la réglementation pour éviter les charges administratives inutiles, de tenir compte du nouveau cadre concurrentiel international et du pouvoir de marché des plateformes numériques, de doter l`UE d`un budget qui soutienne davantage l`innovation et l`investissement, de mettre en œ“uvre rapidement l`instrument budgétaire de convergence et de compétitivité pour la zone euro et d`améliorer la coordination bilatérale de nos politiques économiques.

LA FRANCE ET L`ALLEMAGNE SONT FAVORABLES à€ UN NIVEAU D`AMBITION PLUS ÉLEVÉ EN MATIàˆRE INNOVATION DANS LES TECHNOLOGIES DE RUPTURE ET INTELLIGENCE ARTIFICIELLE, EN TENANT COMPTE DES PRINCIPES ÉTHIQUES APPLICABLES AUX NOUVELLES TECHNOLOGIES.

Au niveau bilatéral, l`Allemagne et la France encouragent le `` Conseil pour l`Innovation» (``Grands défis») et l```Agentur fà¼r Sprunginnovationen» à  développer et à  soutenir des projets communs en 2020. à€ cette fin, les deux gouvernements ont signé une feuille de route pour un réseau franco-allemand de recherche et d`innovation en matière d`intelligence artificielle.

Au niveau de l`Union européenne, les deux pays préconiseront un programme ambitieux en matière de recherche et d`innovation, dans le cadre du prochain cadre financier pluriannuel, notamment pour le Conseil européen de la recherche et le Conseil européen de l`innovation nouvellement créé.

Les deux pays travailleront ensemble pour renforcer la capacité de l`Europe à  développer les technologies de pointe, notamment dans le domaine de l`intelligence artificielle. à€ cette fin, la possibilité de lancer de nouvelles initiatives bilatérales et européennes sera étudiée d`ici à  2020.

LA FRANCE ET L`ALLEMAGNE SONT EN FAVEUR D`UNE POLITIQUE SPATIALE EUROPÉENNE PLUS FORTE.

Les deux pays soulignent la dimension stratégique de l`accès indépendant de l`Europe à  l`espace. à€ cet égard, ils soutiennent le principe de préférence européenne concernant les lanceurs (Ariane 6) et ils reconnaissent que l`utilisation des services d`Ariane 6 par des utilisateurs institutionnels est un des facteurs déterminants pour consolider son exploitation. Des travaux conjoints sont également nécessaires concernant l`avenir de ce programme. Les gouvernements français et allemands appellent les acteurs industriels à  développer des mesures de consolidation afin d`améliorer la maîtrise des coà»ts et la compétitivité internationale, ainsi que de renforcer le secteur européen des lanceurs spatiaux, en étroite coopération avec leurs partenaires européens, notamment l`Italie.

La France et l`Allemagne soutiennent la mise en place de la nouvelle Direction générale de la Commission européenne consacrée notamment à  l`espace, en tenant compte du caractère civil des programmes spatiaux de l`UE.

LA FRANCE ET L`ALLEMAGNE INTENSIFIENT LEUR COOPÉRATION EN MATIàˆRE DE SÉCURITÉ ET DE DÉFENSE EUROPÉENNES. Dans le cadre du Conseil franco-allemand de défense et de sécurité qui s`est réuni aujourd`hui à  Toulouse, les deux gouvernements ont réaffirmé leur entière détermination à  bà¢tir progressivement une sécurité et une défense européennes efficaces, cohérentes et crédibles, ainsi qu`à  renforcer le pilier européen au sein de l`OTAN et à  utiliser pleinement l`Initiative européenne d`intervention visant à  développer une culture stratégique commune. à€ cet égard, ils ont réaffirmé leur soutien au renforcement des capacités militaires européennes grà¢ce aux projets de la Coopération structurée permanente et à  d`autres initiatives de défense de l`UE ainsi qu`à  la coopération industrielle, notamment les programmes que sont la prochaine génération de système d`armes/système de combat aérien futur (NGWS/FCAS) et le système principal de combat terrestre (MGCS). Cette coopération requiert confiance mutuelle et règles communes : le gouvernement français et le gouvernement allemand sont convenus dans le Traité sur la coopération et l`intégration franco-allemandes d`élaborer une approche commune en matière d`exportation d`armements. Aujourd`hui, les deux parties ont conclu leurs négociations aboutissant à  un accord juridiquement contraignant dont les dernières étapes vont être mises en oeuvre dès que possible.

LA FRANCE ET L`ALLEMAGNE RELANCERONT LES RÉFORMES DE L`UE SUR LA MIGRATION ET L`ASILE.

Un accord a été trouvé à  Malte concernant les débarquements en mer Méditerranée; la Présidente élue de la Commission a promis une nouvelle dynamique sur cette question d`ensemble. La France et l`Allemagne soutiennent ensemble la présentation et l`adoption rapides d`un nouveau paquet législatif réformant le régime d`asile européen (comprenant les règles de Dublin et de Schengen), sur la base d`une responsabilité équitable et d`une solidarité pragmatique.

Les deux pays encouragent également la Commission à  proposer un véritable Office européen de l`asile harmonisant les règles et pratiques en matière d`asile dans toute l`UE, ainsi qu`une base de données européennes en matière d`asile qui offre une vision globale des demandes d`asile et de la manière dont celles-ci affectent les États membres.

LA FRANCE ET L`ALLEMAGNE DÉFENDENT LA CULTURE ET LA CRÉATION EUROPÉENNES.

La France et l`Allemagne réaffirment leur détermination à  mettre en oeuvre la nouvelle directive européenne sur le droit d`auteur et à  assurer le plein respect de ces règles.

LA FRANCE ET L`ALLEMAGNE ENTENDENT DONNER UNE NOUVELLE IMPULSION à€ LA DÉMOCRATIE EUROPÉENNE.

La France et l`Allemagne soutiennent la conférence sur l`avenir de l`Union européenne qui commencera en 2020. Elles feront des propositions communes pour que cette initiative implique les citoyens de l`UE et leur permette d`y participer activement, tout en reflétant le rà´le essentiel des États membres de l`UE.

LA FRANCE ET L`ALLEMAGNE Bà‚TISSENT UN AVENIR COMMUN EN RENFORà‡ANT LEUR COOPÉRATION ET LEUR INTÉGRATION (TRAITÉ D`AIX-LA-CHAPELLE).

La France et l`Allemagne ont déjà  pris des mesures concrètes pour mettre en oeuvre la vision du Traité d`Aix-la-Chapelle en portant une attention particulière à  la nécessité de renforcer les liens entre nos concitoyens. Le Fonds commun pour les citoyens encouragera les projets citoyens franco-allemands dès le début 2020. Il soutiendra les initiatives des citoyens et associations afin de faciliter les rencontres, les programmes d`échanges et les projets communs. Les programmes de mobilité pour les jeunes seront développés en 2020. L`Office franco-allemand pour la jeunesse a pour objectif de toucher 20 % des jeunes ayant des besoins spécifiques dans ses programmes 2020. En outre, la France et l`Allemagne encourageront la reconnaissance mutuelle des diplà´mes et des filières ainsi que les nouveaux `` campus des métiers » et programmes de doubles diplà´mes franco-allemands intégrés, élaboreront des stratégies en faveur du bilinguisme dans les régions frontalières et encourageront l`apprentissage des langues en général. Le comité de coopération transfrontalière a été créé et commencera à  apporter des solutions aux difficultés transfrontalières quotidiennes.

Nous avons adopté un cahier des charges pour permettre au Forum pour l`avenir franco-allemand de débattre des processus de transformation de nos sociétés en nous inspirant notamment du Programme de développement durable à  l`horizon 2030 des Nations Unies. Les premiers projets débuteront en 2020, le Forum servant de plateforme de dialogue entre experts, acteurs et citoyens sur les principaux enjeux sociaux, environnementaux, technologiques et économiques.

Dans le même esprit d`amélioration de l`entente et de coordination, le Conseil franco-allemand d`experts économiques a été mis en place et a commencé ses travaux. Pour faire progresser et suivre la mise en œ“uvre du Traité d`Aix-la-Chapelle, les deux gouvernements continueront de mettre en oeuvre et d`adapter le programme pluriannuel de projets de coopération défini à  l`article 23 du Traité d`Aix-la-Chapelle.

LA FRANCE ET L`ALLEMAGNE œ’UVRENT ENSEMBLE POUR LA PAIX ET LA STABILITÉ, EN S`APPUYANT SUR LEUR CONVICTION QUE LA DIPLOMATIE ET LE DROIT INTERNATIONAL PRIMENT LORSQU`IL S`AGIT DE TROUVER DES SOLUTIONS DURABLES à€ DES CRISES COMPLEXES TOUCHANT à€ LA SÉCURITÉ DE L`EUROPE.

Nous nous félicitons de l`évolution positive récente dans la mise en œ“uvre des accords de Minsk et nous attendons avec intérêt la tenue d`un sommet à  Paris en format Normandie afin de progresser vers le règlement du conflit à  l`Est de l`Ukraine. Nous soulignons notre position de principe sur l`annexion illégale de la Crimée par la Russie. Nous réaffirmons également notre volonté de poursuivre notre dialogue avec la Russie sur la base des principes communs de l`UE, notamment dans le domaine du contrà´le des armes et de la non-prolifération.

Au Proche-Orient, nous condamnons les activités militaires menées actuellement par la Turquie dans le Nord-Est de la Syrie et nous demandons instamment à  ce pays de changer de politique, tout en rappelant les obligations de la Turquie en vertu du droit international, notamment du droit humanitaire international. La reprise des hostilités dans le Nord-Est de la Syrie risque de porter atteinte à  la stabilité de l`ensemble de la région, d`exacerber les souffrances des civils et de provoquer de nouveaux déplacements de populations. L`action militaire unilatérale dans le Nord-Est de la Syrie remet gravement en cause les progrès accomplis par la Coalition internationale contre Daech, à  laquelle la France, l`Allemagne et la Turquie participent. Les critères internationaux de retour des réfugiés tels que définis par le HCR (retour volontaire, dans la sécurité et la dignité) doivent être respectés. La fin des actions militaires et le début d`un processus politique facilité par l`ONU sont nécessaires de toute urgence. Nous demeurons vivement préoccupés par l`aggravation des tensions dans la région du Golfe à  la suite de l`attaque contre une infrastructure saoudienne et contre la liberté de la navigation dans le détroit d`Ormuz. La France et l`Allemagne sont déterminées à  poursuivre leurs efforts diplomatiques, aux cà´tés de la Grande-Bretagne, pour créer les conditions propices et faciliter le dialogue avec tous les partenaires soucieux de réduire les tensions au Moyen-Orient. Nous réaffirmons notre ferme volonté de préserver et de mettre en œ“uvre intégralement le Plan d`action global commun. Dans ce contexte, nous demandons instamment à  l`Iran de se conformer à  nouveau à  toutes ses obligations en vertu de l`accord nucléaire. En nous appuyant sur le Plan d`action global commun, nous sommes convaincus de la nécessité d`ouvrir des négociations avec l`Iran sur le cadre de long terme de son programme nucléaire ainsi que sur les questions liées à  la sécurité régionale, notamment son programme de missiles et d`autres vecteurs.

Concernant la Libye, la France et l`Allemagne ont la conviction que seule une solution politique pourra apporter la stabilité. Nous entendons nous engager avec nos partenaires pour permettre la mise en place d`un cessez-le-feu et le retour à  un processus politique facilité par l`ONU, en particulier grà¢ce au processus de Berlin.

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dimanche 29 septembre 2019

Bena Mpuka: Jacques Chirac, l'ancien président Français sera enterre dans un caveau familial, Etienne Tshisekedi simple opposant a un mausolée !

La France pleure son ancien président Jacques Chirac. Un pays entier est en deuil. Jacques Chirac est mort à  86 ans. Il fut 12 ans président de la République française, 2 fois Premier ministre, 3 fois maire de Paris et ministre à  répétition. Il sera enterré au cimetière parisien de Montparnasse dans un caveau familial. Etienne Tshisekedi simple opposant à  son ami Mobutu à  droit à  un Mausolée à  N'Sele pour n'avoir même pas construit un dispensaire à  Kabeya kamuanga pour le peuple congolais. Il aboyait le matin contre son ami et le soir il buvait du champagne avec lui et rentrait avec des cartons des billets verts...Quelle blague !

Et Angwalima Fà lix Pétain Bizimungu Tshilombo a fait de son père "héros National". Tshilombo, le laquais, garçon de course et valet de Paul kagamé, Hitler Africain et bourreau du peuple congolais croit que les Congolais sont ses otages et esclaves. La politique business a ses limites. Quand le peuple congolais prendra son destin en main, AKOSUTOKA ! L'héritage qu'Etienne Tshisekedi a laissé au peuple congolais. un fils cupide, voleur, anti-patrie Angwalima Félix Pétain Bizimungu Tshilombo 1000% Tribaliste et 1000000% Fakwa !

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mardi 28 août 2018

Démission de Nicolas Hulot, ministre d'Etat, des réactions !

Nicolas Hulot, Ministre d'Etat a démissionné

Le ministre de la Transition écologique a jeté l'éponge et pris tout le monde de court en annonçant sa décision à  l'antenne de France Inter mardi matin. Faute d`obtenir des avancées suffisantes en matière d`environnement, le ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot a annoncé mardi sur France Inter qu`il avait pris la décision de quitter le gouvernement, sans avoir prévenu au préalable ni l`Elysée ni Matignon.

La démission de Nicolas Hulot révèle qu'à  la tête de l'Etat le pouvoir de l'argent l'a emporté sur l'environnement.

Génération.s prend acte de la décision courageuse de Nicolas Hulot de quitter le gouvernement après le constat glaçant de l`impuissance qui était la sienne pour engager les transformations écologiques nécessaires.

Cette démission inédite sous la Vème République révèle l'ampleur du pouvoir de l'argent à  la tête de l'Etat. Elle constitue une affaire sans précédent impliquant un lobby. Cela montre leur omniprésence au coeur du pouvoir. La démission courageuse de Nicolas Hulot prouve qu'entre le pouvoir de l'argent et l'environnement, Emmanuel Macron a choisi dès le premier jour de son quinquennat. Cette décision montre la nécessité de constituer et de mettre en dynamique un vaste mouvement politique et citoyen pour hisser l`écologie politique à  la hauteur des enjeux de l`avenir et des urgences du présent. Benoît Hamon, Génération.s

Démission de Nicolas Hulot : "la transition écologique n'est pas soluble dans le libéralisme débridé" La décision lucide de Nicolas Hulot de quitter le gouvernement est la bienvenue : le pouvoir en place ne bénéficie plus de figure reconnue pour masquer la réalité d'une politique sacrifiant l'avenir de l'humanité au profit de quelques privilégiés. Il en tire enfin l'amer constat : la transition écologique n'est pas soluble dans le libéralisme débridé. Notre responsabilité est historique : l'urgence climatique appelle la mobilisation de tous pour réaliser la mutation indispensable du système économique. Guillaume Balas, député européen, Génération.s

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mardi 31 juillet 2018

Affaire Benalla : rejet des motions de censure contre Edouard Philippe et son gouvernement !

Edouard Philippe, Premier ministre

Le Premier ministre Edouard Philippe a répondu aux discours de Christian Jacob et André Chassaigne, avant des votes sur les motions de censure de droite, puis de gauche. Avec respectivement 143 et 74 voix, elles n'ont pas été adoptées.

Les députés ont examiné à  partir de 15 heures deux motions de censure, l'une de droite, l'autre de gauche, déposées à  la suite de l'affaire Benalla.

Christian Jacob, Président du groupe parlementaire Les Républicains

Les deux premiers signataires de chacune d'entre elles, Christian Jacob (LR) et André Chassaigne (PCF) ont pris la parole avant le reste des chefs de groupe. Le Premier ministre Edouard Philippe leur a répondu ensuite.

Avec 143 voix, la première motion de censure, issue de la droite, n'a pas été adoptée. La seconde, avec 74 voix, n'a pas été adoptée non plus. Le gouvernement reste donc en place.

19h42 : la deuxième motion également rejetée. Il y avait encore moins de suspense que pour la première motion, rejetée : la deuxième motion de censure, déposée par les trois groupes de gauche à  l'Assemblée nationale, n'a pas été adoptée. Avec 74 voix, la majorité absolue de 289 suffrages n'est une nouvelle fois pas atteinte. La séance est close et le gouvernement reste en place.

18h35 : la première motion rejetée. C'était attendu, c'est confirmé : la motion de censure déposée par LR n'a pas été adoptée. Avec 143 voix, elle n'atteint pas la majorité absolue nécessaire (289 suffrages). Les explications de vote sur la deuxième motion de censure s'enchaînent. Sébastien Jumel (GDR) la défend avec force tandis qu'Isabelle Florennes, pour le MoDem, la rejette, ainsi que Bruno Questel pour LREM.

Appelé à  la tribune pour le groupe Nouvelle Gauche, Olivier Faure défend une motion de censure qu'il a cosignée, tout en précisant que "le but n'est pas de faire tomber le gouvernement". Mathilde Panot de la France insoumise, elle, dénonce une "atmosphère irrespirable" dans une Assemblée "monolithique" où tout débat est devenu impossible. Et charge la majorité pour son "obstruction à  la vérité" dans l'affaire Benalla.

17h26 : on passe aux explications de vote. L'heure est désormais aux explications de vote. D'abord sur la motion de censure issue de la droite. Guillaume Larrivé, le co-rapporteur de la commission d'enquête qui a suspendu sa participation la semaine dernière, et député LR, la soutient bien évidemment. C'est aussi le cas, et c'est moins attendu, du groupe communiste. Du cà´té du MoDem, en revanche, on dénonce une alliance contre-nature des oppositions.

Tout en reconnaissant que la motion de censure des LR est "légitime", car l'affaire Benalla est "grave", le groupe Nouvelle Gauche ne veut pas la voter. Car son objectif n'est pas de renverser le gouvernement pour le remplacer. En revanche, la France Insoumise est bien décidée à  apporter sa voix aux LR. Sans surprise, les députés LREM dénoncent un dévoiement de l'utilisation de la motion de censure.

17h07 : Richard Ferrand clà´t le bal. Le président du groupe LREM, Richard Ferrand, est le dernier à  s'exprimer. Il regrette que les "beaux enjeux" ne soient pas à  l'ordre du jour. "Ces deux motions de censure qui nous préoccupent ont quelque chose de rance, de marécageux, aux antipodes du débat d'idées. Elles sont le symbole de manœ“uvres politiciennes qui ne trompent plus grand monde."

Richard Ferrand dénonce le blocage des débats sur la réforme constitutionnelle. "Vous tentez de mettre à  jour un complot qui n'existe pas", s'agace-t-il, pointant l'"aigreur de la défaite" et le "désir de revanche" de l'opposition. "Aujourd'hui, c'est la braderie des motions de censure. Deux pour le prix d'une. Elles finiront dans les archives de l'Assemblée nationale, parmi les moins glorieuses de l'Histoire."

17h02 : Sébastien Chenu (RN) parle pour les non-inscrits. Disposant de moins de temps que ses collègues, Sébastien Chenu (RN) monte à  la tribune. "L'affaire Benalla-Macron est le petit grain de sable qui met au jour une mécanique", fustige-t-il. "Notre démocratie est profondément malmenée, nous constatons une dérive autoritaire dans notre pays. Une sorte d'autoritarisme soft mal dissimulé derrière une bienveillance de façade." Selon Sébastien Chenu, l'affaire Benalla montre la constitution d'une "garde prétorienne" auprès du président de la République.

16h48 : Mélenchon fustige les "Pieds Nickelés de l'Élysée". Jean-Luc Mélenchon prend la parole pour le groupe de la France Insoumise et pointe du doigt les "Pieds Nickelés de l'Élysée", Alexandre Benalla et Vincent Crase. Il dénonce l'absence de réponse du gouvernement jusqu'ici, la communication de l'Élysée, et la "chaîne ininterrompue de turpitudes au sommet de l'État". Jean-Luc Mélenchon poursuit en appelant à  une VIe République et la mise en oeuvre d'une constituante.

: Valérie Rabault prend la parole. La présidente du groupe Nouvelle Gauche (PS), Valérie Rabault, monte à  son tour à  la tribune. Elle estime qu'avec une vraie sanction effective dès le 1er mai, "il n'y aurait pas eu d'affaire Benalla". "Mais il semble avoir été couvert", regrette-t-elle, avant de fustiger plus largement la "conception du pouvoir" du gouvernement et de la majorité. La députée fustige la gestion des auditions en commission d'enquête et le refus, par les élus LREM, d'élargir la liste des personnes entendues. "Le Sénat sauve heureusement l'honneur du Parlement", selon elle.

16h17 : Franck Riester s'exprime pour le groupe UDI, Agir et indépendants. "Les faits révélés par l'affaire Benalla sont graves", commence Franck Riester, appelé à  son tour à  la tribune. "Nos compatriotes ont le droit de connaître la vérité." Le député dénonce l'immixtion de "procès politique" dans les procédures d'enquête parlementaire. Il regrette le "lamentable spectacle" donné à  l'Assemblée, notamment le blocage des débats sur la réforme constitutionnelle, puis le "temps stupéfiant de la commission d'enquête". Franck Riester en profite pour tacler violemment ces élus qui se sont mués "en procureur politique" avant de "tuer la commission d'enquête". "C'est à  croire que la recherche de la vérité intéresse moins certains que la récupération politique."

Néanmoins, le député nuance son propos en appelant le gouvernement à  nuancer son projet de réforme constitutionnelle et mieux prendre en compte les corps intermédiaires en général.

16h01 : Marc Fesneau renvoie l'opposition à  ses "incompréhensibles alliances". C'est maintenant aux chefs de groupe de s'exprimer, en commençant par Marc Fesneau pour le MoDem. Celui-ci dénonce les "improbables et si incompréhensibles alliances" de la droite et la gauche d'opposition, qui ont selon lui "abandonné leur sens de l'histoire et de leurs propres responsabilités". "Qu'avez-vous en commun ? Rien. Partagez-vous la même vision institutionnelle du pays ? Même pas. Il n'y a qu'un motif à  vos attitudes : vous n'avez toujours pas accepté le sort des urnes de 2017."

15h55 : Edouard Philippe défend la politique gouvernementale. Dans sa réponse, le chef de gouvernement s'éloigne quelque peu du sujet pour défendre l'intégralité des réformes entreprises depuis un an. Puis, il esquisse les chantiers à  venir, de la retraite au plan pauvreté. "Hors sujet !", hurle l'opposition.

15h36 : Edouard Philippe à  la tribune. Le Premier ministre est appelé à  répondre à  l'opposition. Il a droit à  une standing ovation des députés LREM et des huées de l'opposition. Sa ligne de défense est claire : il appuie sur le fait que la "soi-disant grande affaire dite Benalla" ne relève que de mauvais comportements individuels. "C'est l'affaire de dysfonctionnements dans la préparation et le déroulement de cette mission d'observation [celle de Benalla]", explique-t-il. "C'est inacceptable, je l'ai dit devant votre Assemblée et devant le Sénat. Mais ce qui devait être fait l'a été."

Le chef du gouvernement reprend aussi un élément de langage largement développé par la majorité ces derniers jours : "la République exemplaire n'est pas la République infaillible." Il critique également la constitution de commissions d'enquête parlementaire alors qu'une instruction est en cours. "C'est une confusion institutionnelle", estime-t-il. Enfin, Edouard Philippe dénonce une "instrumentalisation politique" et "une volonté d'atteindre" Emmanuel Macron. Selon lui, cette crise politique permet à  l'opposition de "ralentir le rythme de transformation du pays". "Vos motions de censure ne sont rien d'autre que des motions de blocage."

15h21 : Au tour d'André Chassaigne. Le chef du groupe GDR monte à  son tour à  la tribune et n'a pas de mots plus tendres que son collègue LR. Il dénonce un "scandale d'État" qui "ternit l'image de la France à  l'international". "Ce scandale révèle les dérives que produit un régime hyper présidentialiste", s'agace-t-il, avant de fustiger la commission d'enquête de l'Assemblée nationale qui "s'achève dans l'indignité après seulement six auditions". Pour André Chassaigne, les députés LREM sont des "digéreurs, intestins silencieux de la bouche élyséenne". Le député communiste élargit quelque peu son propos en critiquant l'intégralité de la politique "néo-libérale" d'Emmanuel Macron, entre "cadeaux aux premiers de cordées" et hausse de CSG pour les retraités.

15h : Christian Jacob dénonce des "zones d'ombres". Premier à  prendre la parole pour 15 minutes, le chef du groupe LR à  l'Assemblée attaque fort, estimant que l'affaire Benalla "laissera des traces profondes, morales et politiques sur le chef de l'État". Fustigeant le "barbouze" de l'Élysée, Christian Jacob dénonce les "zones d'ombres" et les "mensonges" de la majorité. "Les Français restent sidérés par cette affaire."

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